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Grand Prix Cyclor Trek d'OyeuHistorique de Articles13.GrandPrixCyclorTrekDOyeuCacher les modifications mineures - Affichage du code 02/05/2013 19:05
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Lignes 57-61 modifiées:
A la vache, quel temps de chiotte. C'est bien simple, à l'heure de la course, j'avais les bonbons raccornis et la stalactite tellement retractée que je ressemblais à un hermaphrodite de Praxitèle. Vraiment pas un temps à sortir de chez soi. Pourtant ils sont quelques uns à avoir sortis le rond peau lisse de leurs mollets affutés dans le Nord Isère. Est-ce bien ce coin que l'on appelle les "terres froides" ?. Si c'est le cas je ne remets plus les pieds là bas d'ici qu'il fasse 30 degrès à Grenoble. Sauf que nous serons encore sous l'eau à Cras, et surement dans le froid là haut à Autrans (les données se contredisent cependant). Enfin trève de bavardage anticiclonique.
Pas d'échauffement, bien entendu, trop froid pour ça. J'avale mes pates 30 minutes avant le départ. Je suis également victime d'un complot lors de l'appel des coureurs où Gérard Pic, non sans ironie, me désigne "deuxième grand favoris du jour" derrière l'inoxidable Jacques Vial, le requin du SCALE. Bon je pense qu'il déconnait, d'ailleurs ça a bien fait rire les gros costauds à coté de moi qui se demandaient comment un petit gaillard pourrait les surprendre. Pourtant j'aurais pu, au vue de la course et de mes jambes, mais j'ai très mal géré mes efforts. Dès le départ, un coureur de Brison part seul. Je me mets, avec quelques autres, à la planche pour la poursuite, puis, une fois le fuyard repris, tente de partir en contre à plusieurs reprises, en suivant des coups (à 5 ou 6 reprises). Mais comme un vieillard grabataire qui tente d'échaper à son destin, la faucheuse du peloton nous reprend à chaque fois. Et une fois arrivé à notre hauteur, le couperet de la contre-attaque nous tombe dessus, sans pitié. en:
A la vache, quel temps de chiotte. C'est bien simple, à l'heure de la course, j'avais les bonbons racornis et la stalactite tellement rétractée que je ressemblais à un hermaphrodite de Praxitèle. Vraiment pas un temps à sortir de chez soi. Pourtant ils sont quelques uns à avoir sortis le rond peau lisse de leurs mollets affûtes dans le Nord Isère. Est-ce bien ce coin que l'on appelle les "terres froides" ?. Si c'est le cas je ne remets plus les pieds là bas d'ici qu'il fasse 30 degrés à Grenoble. Sauf que nous serons encore sous l'eau à Cras, et surement dans le froid là haut à Autrans (les données se contredisent cependant). Enfin trêve de bavardage anticyclonique.
Pas d'échauffement, bien entendu, trop froid pour ça. J'avale mes pâtes 30 minutes avant le départ. Je suis également victime d'un complot lors de l'appel des coureurs où Gérard Pic, non sans ironie, me désigne "deuxième grand favoris du jour" derrière l’inoxydable Jacques Vial, le requin du SCALE. Bon je pense qu'il déconnait, d'ailleurs ça a bien fait rire les gros costauds à coté de moi qui se demandaient comment un petit gaillard pourrait les surprendre. Pourtant j'aurais pu, au vue de la course et de mes jambes, mais j'ai très mal géré mes efforts. Dès le départ, un coureur de Brison part seul. Je me mets, avec quelques autres, à la planche pour la poursuite, puis, une fois le fuyard repris, tente de partir en contre à plusieurs reprises, en suivant des coups (à 5 ou 6 reprises). Mais comme un vieillard grabataire qui tente d'échaper à son destin, la faucheuse du peloton nous reprend à chaque fois. Et une fois arrivé à notre hauteur, le couperet de la contre-attaque nous tombe dessus, sans pitié. Lignes 64-65 modifiées:
La deuxième moitié de course est plus calme, et il faut attendre le dernier tour pour voir de vrais mouvements dans la côte. Dans les 3 premières places tout au long de la course (ça change), je suis les accélérations, et j'aurais dû contrer quand je suis rentré sur le groupe de Serge (Chatonnay) qui venait de se relever. J'avais mal aux cannes, mais les plus forts (qui sont finalement assez nombreux (j'ai recencé 5 vrais costauds) venaient de se relever à 300 mètres avant le sommet, et en négociant bien les virages j'aurai pu poser problème. Mais j'ai voulu controler, alors que je n'avais aucune chance au sprint. En effet, même si j'étais idéalement placé dans les derniers virages (je grille deux places grace au dossard 208 qui virait comme un manche pendant toute la course et a failli mettre tout le monde au tas) et me retrouve dans les 4 premiers dans le dernier coup de cul avant l'arrivée. Mais quand ça embraye devant, il me manque du jus. Je sprinte quand même, mais me relève à 40 mètres, les jambes en feu, pour prendre une toute petite place d'honneur (11ème). en:
La deuxième moitié de course est plus calme, et il faut attendre le dernier tour pour voir de vrais mouvements dans la côte. Dans les 3 premières places tout au long de la course (ça change), je suis les accélérations, et j'aurais dû contrer quand je suis rentré sur le groupe de Serge (Chatonnay) qui venait de se relever. J'avais mal aux cannes, mais les plus forts (qui sont finalement assez nombreux (j'ai recencé 5 vrais costauds) venaient de se relever à 300 mètres avant le sommet, et en négociant bien les virages j'aurai pu poser problème. Mais j'ai voulu contrôler, alors que je n'avais aucune chance au sprint. En effet, même si j'étais idéalement placé dans les derniers virages (je grille deux places grâce au dossard 208 qui virait comme un manche pendant toute la course et a failli mettre tout le monde au tas) et me retrouve dans les 4 premiers dans le dernier coup de cul avant l'arrivée. Mais quand ça embraye devant, il me manque du jus. Je sprinte quand même, mais me relève à 40 mètres, les jambes en feu, pour prendre une toute petite place d'honneur (11ème). Lignes 68-69 modifiées:
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30/04/2013 21:28
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Lignes 68-71 modifiées:
(A venir) en:
1ère course de la saison, je m'impatientais tellement de courir que j'avais dis à Pauline la veille "même s'il pleut,j'y vais !"
29/04/2013 21:17
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Ligne 57 modifiée:
Si bien qu'à la mi-course, alors que je récupéré d'une énième accélération, dans le long faux-plat (qui se monte à un faux rythme à chaque fois), un coup part, de 8 coureurs, et je laisse faire. A force de bons relais, nous reviendrons dans le faux-plat descendant, car ça freine toujours beaucoup trop devant. De toute façon, en ce qui me concerne, avec deux Zipp gonflées à 9 bars sur route mouillée, freiner ou pas ça revient globalement au même, mais je ne suis pas le moins habile, et met souvent trois bons mètres à chaque virage au coureur qui me précède. en:
Si bien qu'à la mi-course, alors que je récupérais d'une énième accélération, dans le long faux-plat (qui se monte à un faux rythme à chaque fois), un coup part, de 8 coureurs, et je laisse faire. A force de bons relais, nous reviendrons dans le faux-plat descendant, car ça freine toujours beaucoup trop devant. De toute façon, en ce qui me concerne, avec deux Zipp gonflées à 9 bars sur route mouillée, freiner ou pas ça revient globalement au même, mais je ne suis pas le moins habile, et met souvent trois bons mètres à chaque virage au coureur qui me précède. 29/04/2013 19:09
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Lignes 24-25 modifiées:
Côté course, les TVS étaient cette fois-ci sous représentés pour cause de stage de Pâques... En 1ère catégorie (seulement 15 partants), Franck P et Morten finissent dans un 2ème paquet, aux 9ème et 12ème places.
en:
Côté course, les TVS étaient cette fois-ci sous représentés pour cause de stage de Pâques... En 1ère catégorie (seulement 16 partants), Franck P et Morten finissent dans un 2ème paquet, aux 10ème et 13ème places.
Ligne 35 modifiée:
Au cours du 2ème tour, JB Lozano (du CAC) démarre en facteur dans la bosse. Je prends sa roue en compagnie de Philippe Despesse (du Fontanil) mais, bien que JB ne soit pas à bloc, j'ai du mal à monter à son rythme... Nous prenons quelques longueurs mais nous faisons reprendre à mi-pente, avant que JB ne place une nouvelle accélération que seul un coureur de Rives (Jérôme Mollard ?) parvient à suivre. en:
Au cours du 2ème tour, JB Lozano (du CAC) démarre en facteur dans la bosse. Je prends sa roue en compagnie de Philippe Despesse (du Fontanil) mais, bien que JB ne soit pas à bloc, j'ai du mal à monter à son rythme... Nous prenons quelques longueurs mais nous faisons reprendre à mi-pente, avant que JB ne place une nouvelle accélération que seul un coureur de Rives (Jérôme Mollard) parvient à suivre. Ligne 40 modifiée:
Notre groupe arrive à son tour. Nous nous battons pour une pauvre 8ème place. Morten n'a plus le jus nécessaire et se relève avant l'emballage. Pour ma part, je me place dans la roue de Michel Boin que je pense le plus rapide du groupe, mais c'est sans compter sur Philippe Despesse dont j'aurais dû me souvenir qu'il était aussi un bon sprinter. Philippe attaque aux 200 mètres, Michel le suit mais décroche un peu, alors je le passe aux 100 mètres (il me confiera qu'il était mal toute la course) mais ne parviens pas à remonter Philippe. Je finis donc 2e de mon groupe, et 9ème de la course. C'est pas terrible. en:
Notre groupe arrive à son tour. Nous nous battons pour une pauvre 9ème place. Morten n'a plus le jus nécessaire et se relève avant l'emballage. Pour ma part, je me place dans la roue de Michel Boin que je pense le plus rapide du groupe, mais c'est sans compter sur Philippe Despesse dont j'aurais dû me souvenir qu'il était aussi un bon sprinter. Philippe attaque aux 200 mètres, Michel le suit mais décroche un peu, alors je le passe aux 100 mètres (il me confiera qu'il était mal toute la course) mais ne parviens pas à remonter Philippe. Je finis donc 2e de mon groupe, et 10ème de la course. C'est pas terrible. Lignes 52-57 modifiées:
A la vache, quel temps de chiottes. C'est bien simple, à l'heure de la course, j'avais les bonbons raccornis et la stalactite tellement retractée que je ressemblais à un hermaphrodite de Praxitèle. Vraiment pas un temps à sortir de chez soit. Pourtant ils sont quelques uns à avoir sortis le rond peau lisse de leurs mollets affutés dans le Nord Isère. Est-ce bien ce coin que l'on appelle les "terres froides"?. Si c'est le cas je ne remets plus les pieds là bas d'ici qu'il fasse 30 degrès à Grenoble. Sauf que nous serons encore sous l'eau à Cras, et surement dans le froid là haut à Autrans (les données se contredisent cependant). Enfin trève de bavardage anticiclonique.
en:
A la vache, quel temps de chiotte. C'est bien simple, à l'heure de la course, j'avais les bonbons raccornis et la stalactite tellement retractée que je ressemblais à un hermaphrodite de Praxitèle. Vraiment pas un temps à sortir de chez soi. Pourtant ils sont quelques uns à avoir sortis le rond peau lisse de leurs mollets affutés dans le Nord Isère. Est-ce bien ce coin que l'on appelle les "terres froides" ?. Si c'est le cas je ne remets plus les pieds là bas d'ici qu'il fasse 30 degrès à Grenoble. Sauf que nous serons encore sous l'eau à Cras, et surement dans le froid là haut à Autrans (les données se contredisent cependant). Enfin trève de bavardage anticiclonique.
29/04/2013 15:47
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Ligne 111 modifiée:
C'est tout à ton honneur de le signaler Gianni, je le précise à l'organisateur de la course. Sinon, quel courage à tous de participer ET nettoyer ensuite son vélo (j'ai passé une bonne partie de mon dimanche sur le 2ème point suite au stage...). en:
C'est tout à ton honneur de le signaler Gianni, je le précise à l'organisateur de la course. Sinon, quel courage à tous de participer dans ces conditions ET de nettoyer ensuite son vélo (j'ai passé une bonne partie de mon dimanche sur le 2ème point suite au stage...). 29/04/2013 15:46
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Ligne 111 modifiée:
C'est tout à ton honneur de le signaler Gianni, je le précise à l'organisateur de la course. Sinon, quel courage à tous de participer ET nettoyer ensuite son vélo (j'ai passé une bonne partie de mon dimanche sur le 2ème point...). en:
C'est tout à ton honneur de le signaler Gianni, je le précise à l'organisateur de la course. Sinon, quel courage à tous de participer ET nettoyer ensuite son vélo (j'ai passé une bonne partie de mon dimanche sur le 2ème point suite au stage...). 29/04/2013 15:45
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Ligne 111 modifiée:
C'est tout à ton honneur de le signaler Gianni, je le précise à l'organisateur de la course. en:
C'est tout à ton honneur de le signaler Gianni, je le précise à l'organisateur de la course. Sinon, quel courage à tous de participer ET nettoyer ensuite son vélo (j'ai passé une bonne partie de mon dimanche sur le 2ème point...). 29/04/2013 13:52
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Ligne 99 modifiée:
Laurent, sur le classement ils m'ont mis 13éme parceque je suis arrivé en même temps mais avec un tour de retard, sic... Je ne sais pas si c'est important mais je tenais à le signaler. en:
29/04/2013 13:51
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Ligne 99 modifiée:
en:
Laurent, sur le classement ils m'ont mis 13éme parceque je suis arrivé en même temps mais avec un tour de retard, sic... Je ne sais pas si c'est important mais je tenais à le signaler. 29/04/2013 13:24
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Ligne 25 modifiée:
En 2ème caté (20 partants), c'est un peloton groupé qui se dispute le sprint et Vincent se classe lui aussi aux alentours de la 8 ou 9ème place. en:
En 2ème caté (20 partants), c'est un peloton groupé qui se dispute le sprint et Vincent se classe lui aussi aux alentours de la 10ème place. Ligne 56 modifiée:
La deuxième moitié de course est plus calme, et il faut attendre le dernier tour pour voir de vrais mouvements dans la cote. Dans les 3 premières places tout au long de la course (ça change), je suis les accélérations, et j'aurais dû contrer quand je suis rentré sur le groupe de Serge (Chatonnay) qui venait de se relever. J'avais mal aux cannes, mais les plus forts (qui sont finalement assez nombreux: j'en ai recencé 5 vrais costauds) venaient de se relever à 300 mètres avant le sommet, et en négociants bien les virages j'aurai pu poser problème. Mais j'ai voulu controler, alors que je n'avais aucune chance au sprint. En effet, même si j'étais idéalement placé dans les derniers virages (je grille deux places grace au 208 qui virait comme un manche pendant toute la course et a failli mettre tout le monde au tas)et me retrouve dans les 4 premiers dans le dernier coup de cul avant l'arrivée. mais quand ça embraye devant, il me manque du jus. Je sprint quand même, mais me relève à 40 mètres, les jambes en feu, pour prendre une toute petite place d'honneur (8, 9 ou 10). en:
La deuxième moitié de course est plus calme, et il faut attendre le dernier tour pour voir de vrais mouvements dans la cote. Dans les 3 premières places tout au long de la course (ça change), je suis les accélérations, et j'aurais dû contrer quand je suis rentré sur le groupe de Serge (Chatonnay) qui venait de se relever. J'avais mal aux cannes, mais les plus forts (qui sont finalement assez nombreux: j'en ai recencé 5 vrais costauds) venaient de se relever à 300 mètres avant le sommet, et en négociants bien les virages j'aurai pu poser problème. Mais j'ai voulu controler, alors que je n'avais aucune chance au sprint. En effet, même si j'étais idéalement placé dans les derniers virages (je grille deux places grace au 208 qui virait comme un manche pendant toute la course et a failli mettre tout le monde au tas)et me retrouve dans les 4 premiers dans le dernier coup de cul avant l'arrivée. mais quand ça embraye devant, il me manque du jus. Je sprint quand même, mais me relève à 40 mètres, les jambes en feu, pour prendre une toute petite place d'honneur (11ème). Ligne 75 ajoutée:
29/04/2013 10:49
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Ligne 54 modifiée:
Pas d'échauffement, bien entendu, trop froid pour ça. J'avale mes pates 30 min avant le départ. Je suis également victime d'un complot lors de l'appel des coureurs où Gérard Pic, non sans ironie, me désigne "deuxième grand favoris du jour" derrière l'inoxidable Jacques Vial, le requin du SCAL. Bon je pense qu'il déconnait, d'ailleurs ça a bien fait rire les gros costauds à coté de moi qui se demandait comment un petit gaillard pourrait les surprendre. Pourtant j'aurais pu, au vue de la course et de mes jambes, mais j'ai très mal géré mes efforts. Dès le départ, un coureur de Brison (de mémoire) part seul. Je me met, avec quelques autres, à la planche pour la poursuite, puis, une fois le fuillard repris, tente de partir en contre à plusieurs reprise, en suivant des coups (à 5 ou 6 reprises). Mais comme un vieillard grabataire qui tente d'échaper à son destin, la faucheuse du pelton nous reprend à chaque fois. Et une fois arrivé à notre hauteur, le couperet de la contre-attaque nous tombe dessus, sans pitiée. en:
Pas d'échauffement, bien entendu, trop froid pour ça. J'avale mes pates 30 min avant le départ. Je suis également victime d'un complot lors de l'appel des coureurs où Gérard Pic, non sans ironie, me désigne "deuxième grand favoris du jour" derrière l'inoxidable Jacques Vial, le requin du SCAL. Bon je pense qu'il déconnait, d'ailleurs ça a bien fait rire les gros costauds à coté de moi qui se demandaient comment un petit gaillard pourrait les surprendre. Pourtant j'aurais pu, au vue de la course et de mes jambes, mais j'ai très mal géré mes efforts. Dès le départ, un coureur de Brison (de mémoire) part seul. Je me met, avec quelques autres, à la planche pour la poursuite, puis, une fois le fuillard repris, tente de partir en contre à plusieurs reprise, en suivant des coups (à 5 ou 6 reprises). Mais comme un vieillard grabataire qui tente d'échaper à son destin, la faucheuse du pelton nous reprend à chaque fois. Et une fois arrivé à notre hauteur, le couperet de la contre-attaque nous tombe dessus, sans pitiée. 29/04/2013 10:47
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Lignes 52-58 modifiées:
A la vache, quel temps de chiottes. C'est bien simple, à l'heure de la course, j'avais les bonbons raccornis et la stalactite tellement retractée que je renssemblais à un hermaphrodite de Praxitèle. Vraiment pas un temps à sortir de chez soit. Pourtant ils sont quelques uns à avoir sortis le rond peau lisse de leurs mollets affutés dans le Nord Isère. Est-ce bien ce coin que l'on appelle les "terres froides"?. Si c'est le cas je ne remets plus les pieds là bas d'ici qu'il fasse 30 degrès à Grenoble. Sauf que nous serons encore sous l'eau à Cras, et surement dans le froid là haut à Autrans (les données se contredisent cependant). Enfin trève de bavardage anticiclonique.
en:
A la vache, quel temps de chiottes. C'est bien simple, à l'heure de la course, j'avais les bonbons raccornis et la stalactite tellement retractée que je ressemblais à un hermaphrodite de Praxitèle. Vraiment pas un temps à sortir de chez soit. Pourtant ils sont quelques uns à avoir sortis le rond peau lisse de leurs mollets affutés dans le Nord Isère. Est-ce bien ce coin que l'on appelle les "terres froides"?. Si c'est le cas je ne remets plus les pieds là bas d'ici qu'il fasse 30 degrès à Grenoble. Sauf que nous serons encore sous l'eau à Cras, et surement dans le froid là haut à Autrans (les données se contredisent cependant). Enfin trève de bavardage anticiclonique.
29/04/2013 10:39
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Lignes 72-73 modifiées:
Bon et bien les courses se ressemblent, j'ai tout fait tout seul et fini par me faire prendre un tour par les premiers juste à la fin, mais bon... Vu le temps j'étais venu pour mettre un peu de nos couleurs dans le peloton car je savais qu'avec le stage on ne serait pas nombreux. Objectif atteint puisqu'on étaient présents dans chaque catégorie. Côté course, il faisait froid et la pluie a redoublé au départ des 3éme et 4éme catégories. J'ai sauté dans ce premier long faux-plat et ensuite j'ai roulé seul. Un gars du Fontanil a sauté en même temps que moi mais quand je me suis retourné pour voir si on pourrait rouler à deux, il était déjà loin et je crois qu'il a abandonné très vite. J'ai surtout fait attention de ne pas glisser vu la chaussée humide. Un petit bémol sur la sécurité : j'ai trouvé la circulation des voitures dangereuse sur le faux plat montant. J'étais garé à cet endroit et j'ai vu un paquet de voitures s'immiscer entre les groupes de coureurs. Il y a d'ailleurs eu une chute d'un coureur surpris par une voiture qui doublait un groupe. Une petite moto derrière le peloton aurait été bien mais c'est vrai qu'il est difficile d'organiser des courses de nos jours surtout par ce temps. en:
Bon et bien les courses se ressemblent, j'ai tout fait tout seul et fini par me faire prendre un tour par les premiers juste à la fin, mais bon... Vu le temps j'étais venu pour mettre un peu de nos couleurs dans le peloton car je savais qu'avec le stage on ne serait pas nombreux. Objectif atteint puisqu'on étaient présents dans chaque catégorie. Côté course, il faisait froid et la pluie a redoublé au départ des 3éme et 4éme catégories. J'ai sauté dans ce premier long faux-plat et ensuite j'ai roulé seul. Un gars du Fontanil a sauté en même temps que moi mais quand je me suis retourné pour voir si on pourrait rouler à deux, il était déjà loin et je crois qu'il a abandonné très vite. J'ai surtout fait attention de ne pas glisser vu la chaussée humide. 29/04/2013 10:36
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Lignes 52-59 modifiées:
(A venir) en:
A la vache, quel temps de chiottes. C'est bien simple, à l'heure de la course, j'avais les bonbons raccornis et la stalactite tellement retractée que je renssemblais à un hermaphrodite de Praxitèle. Vraiment pas un temps à sortir de chez soit. Pourtant ils sont quelques uns à avoir sortis le rond peau lisse de leurs mollets affutés dans le Nord Isère. Est-ce bien ce coin que l'on appelle les "terres froides"?. Si c'est le cas je ne remets plus les pieds là bas d'ici qu'il fasse 30 degrès à Grenoble. Sauf que nous serons encore sous l'eau à Cras, et surement dans le froid là haut à Autrans (les données se contredisent cependant). Enfin trève de bavardage anticiclonique.
29/04/2013 10:04
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Lignes 64-65 modifiées:
(A venir) en:
Qu'est-ce que c'est sympa le vélo sous l'eau...
29/04/2013 00:23
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Ligne 36 modifiée:
L'écart se creuse de tours en tours et comme personne ne prend l'initiative de rouler, je tente de partir en contre à deux ou trois reprises, mais sans succès. C'est d'ailleurs l'une de ces tentatives qui me sera fatale : on est à la mi-course, j'attaque dans le faux-plat descendant, suis repris au pied de la bosse et subis illico l'accélération de plusieurs coureurs dans la montée. Le peloton (enfin, la dizaine de coureurs qui restent dans ce groupe) se scinde en deux et, bien évidemment, je ne suis pas dans la bonne moitié. en:
L'écart se creuse de tours en tours et comme personne ne prend l'initiative de rouler, je tente de partir en contre à deux ou trois reprises, mais sans succès. C'est d'ailleurs l'une de ces tentatives qui me sera fatale : on est à la mi-course, j'attaque dans le faux-plat descendant, suis repris au pied de la bosse et subis illico l'accélération de plusieurs coureurs dans la montée. Le peloton (enfin, la dizaine de coureurs qui restent dans ce groupe) se scinde en deux et, bien évidemment, je ne suis pas dans la bonne moitié. Les plus costauds (Picard, Giraud, Mazza, Pelloux-Tytgat), eux, ont pris le bon wagon. 29/04/2013 00:17
par -
Lignes 32-38 modifiées:
Une suite de désagréments... D'abord la météo : la pluie et le froid, tout ce qu'on aime pour faire du vélo. Ensuite la préparation : rentré la veille du stage de Pâques avec 500 bornes dans les pattes, je me couche à 2h00 du mat' après une séance de visionnage des (trop nombreuses) photos de vacances. Enfin, pour couronner le tout, je ne trouve rien de mieux que de me nourrir au Mc Do la veille au soir, sur la route du retour du stage... Bref, une préparation de véritable champion !
en:
Une suite de désagréments... D'abord la météo : la pluie et le froid, tout ce qu'on aime pour faire du vélo. Ensuite la préparation : rentré la veille du stage de Pâques avec 500 bornes dans les pattes, je me couche à 2h00 du mat' après une séance de visionnage des (trop nombreuses) photos de vacances. Enfin, pour couronner le tout, je ne trouve rien de mieux que de me nourrir au Mc Do la veille d'une course... Bref, une préparation de véritable champion !
Ligne 40 modifiée:
Notre groupe arrive à son tour. Nous sprintons malgré tout pour une 8ème place. Morten n'a plus le jus nécessaire et se relève avant l'emballage. Pour ma part, je me place dans la roue de Michel Boin que je pense le plus rapide du groupe, mais c'est sans compter sur Philippe Despesse dont j'aurais dû me souvenir qu'il était aussi un sprinter. Philippe attaque aux 200 mètres, je passe Michel dans les derniers 100 mètres (il me confiera qu'il était mal toute la course) mais ne parviens pas à remonter Philippe. Je fais donc 2 de mon groupe, et 9ème de la course. C'est pas brillant. en:
Notre groupe arrive à son tour. Nous nous battons pour une pauvre 8ème place. Morten n'a plus le jus nécessaire et se relève avant l'emballage. Pour ma part, je me place dans la roue de Michel Boin que je pense le plus rapide du groupe, mais c'est sans compter sur Philippe Despesse dont j'aurais dû me souvenir qu'il était aussi un bon sprinter. Philippe attaque aux 200 mètres, Michel le suit mais décroche un peu, alors je le passe aux 100 mètres (il me confiera qu'il était mal toute la course) mais ne parviens pas à remonter Philippe. Je finis donc 2e de mon groupe, et 9ème de la course. C'est pas terrible. 29/04/2013 00:09
par -
Ligne 32 modifiée:
Une suite de désagréments... D'abord la météo : la pluie et le froid, tout ce que j'aime. Ensuite la préparation : rentré la vieille du stage de Pâques avec 500 bornes dans les pattes, je me couche à 2h00 du mat' après une séance de visionnage des (trop nombreuses) photos de vacances. Enfin, pour couronner le tout, je ne trouve rien de mieux que de me nourrir au Mc Do la veille au soir, sur la route du retour du stage... Bref, une préparation de véritable champion ! en:
Une suite de désagréments... D'abord la météo : la pluie et le froid, tout ce qu'on aime pour faire du vélo. Ensuite la préparation : rentré la veille du stage de Pâques avec 500 bornes dans les pattes, je me couche à 2h00 du mat' après une séance de visionnage des (trop nombreuses) photos de vacances. Enfin, pour couronner le tout, je ne trouve rien de mieux que de me nourrir au Mc Do la veille au soir, sur la route du retour du stage... Bref, une préparation de véritable champion ! 29/04/2013 00:06
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Ligne 25 modifiée:
En 2ème caté, c'est un peloton groupé qui se dispute le sprint et Vincent se classe lui aussi aux alentours de la 8 ou 9ème place. en:
En 2ème caté (20 partants), c'est un peloton groupé qui se dispute le sprint et Vincent se classe lui aussi aux alentours de la 8 ou 9ème place. Ligne 32 modifiée:
Une suite de désagrément... D'abord la météo : la pluie et le froid, tout ce que j'aime. Ensuite la préparation : rentré la vieille du stage de Pâques avec 500 bornes dans les pattes, je me couche à 2h00 du mat' après une séance de visionnage des (trop nombreuses) photos de vacances. Enfin, pour couronner le tout, je ne trouve rien de mieux que de me nourrir au Mc Do la veille au soir, sur la route du retour du stage... Bref, une préparation de véritable champion ! en:
Une suite de désagréments... D'abord la météo : la pluie et le froid, tout ce que j'aime. Ensuite la préparation : rentré la vieille du stage de Pâques avec 500 bornes dans les pattes, je me couche à 2h00 du mat' après une séance de visionnage des (trop nombreuses) photos de vacances. Enfin, pour couronner le tout, je ne trouve rien de mieux que de me nourrir au Mc Do la veille au soir, sur la route du retour du stage... Bref, une préparation de véritable champion ! 28/04/2013 23:35
par -
Lignes 22-23 modifiées:
Gérard Pic a le chic pour organiser des courses dans des conditions dantesques et le cru 2013 ne fait pas mentir l'adage. Nous avons encore en tête le championnat départemental organisé à Eydoche en 2010 avec seulement 10° à la mi-mai... Nous n'avons pas oublié non plus le championnat de l'Isère 2012 couru sous la pluie et agrémenté de quelques chutes mémorables (n'est-ce pas Gégé ?) mais, pour ce premier Grand Prix Cyclor Trek, ce fut encore mieux avec de la pluie, du froid (seulement 5° au compteur) et même des champs blanchis par la neige sur les hauteur d'Oyeu... rappelez-moi la date ? Ah oui, le 27 avril, bon... en:
Gérard Pic a le chic pour organiser des courses dans des conditions dantesques et le cru 2013 ne fait pas mentir l'adage. Nous avons encore en tête le championnat départemental organisé à Eydoche en 2010 avec seulement 10° à la mi-mai... Nous n'avons pas oublié non plus le championnat de l'Isère 2012 couru sous la pluie et agrémenté de quelques chutes mémorables (n'est-ce pas Gégé ?) mais, pour ce premier Grand Prix Cyclor Trek, ce fut encore mieux avec de la pluie, du froid (seulement 5° au compteur) et même des champs blanchis par la neige sur les hauteur d'Oyeu... rappelez-moi la date ? Ah oui, le 27 avril, bon... Dommage car le circuit est superbe et tout à fait sûr avec une faux plat descendant suivi d'une longue bosse roulante sur une large chaussée, avant un retour par une petite route serpentant au milieu des champs jusqu'à la ligne d'arrivée. Tout cela aurait mérité un grand soleil et une forte affluence... 28/04/2013 23:31
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Lignes 38-39 modifiées:
Bref, nous sprintons malgré tout pour une 8ème place. Morten n'a plus le jus nécessaire. Pour ma part, je me place dans la roue de Michel Boin que je pense le plus rapide du groupe, mais c'est sans compter sur Philippe Despesse dont j'aurais dû me souvenir qu'il était aussi un sprinter. Philippe attaque aux 200 mètres, je passe Michel dans les derniers 100 mètres (il me confiera qu'il était mal toute la course) mais ne parviens pas à remonter Philippe. Je fais donc 2 de mon groupe, et 9ème de la course. C'est pas brillant. en:
A l'avant, JB Lozano réalise un beau numéro. Il décroche son compagnon d'échappée plusieurs tours avant l'arrivée et s'impose avec environ 1 minute d'avance sur le groupe de contre. Du bel ouvrage !
28/04/2013 23:28
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Lignes 65-66 modifiées:
(:photo DSC05764.jpg taille=600;lien=visu:)
en:
(:photo 2013-04-670.jpg taille=600;lien=visu:)
28/04/2013 23:27
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Lignes 1-86 ajoutées:
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Course organisée par le VC Bièvre sur un circuit vallonné de 5 km. TVS représenté par 5 coureurs :
En résumé : Gérard Pic a le chic pour organiser des courses dans des conditions dantesques et le cru 2013 ne fait pas mentir l'adage. Nous avons encore en tête le championnat départemental organisé à Eydoche en 2010 avec seulement 10° à la mi-mai... Nous n'avons pas oublié non plus le championnat de l'Isère 2012 couru sous la pluie et agrémenté de quelques chutes mémorables (n'est-ce pas Gégé ?) mais, pour ce premier Grand Prix Cyclor Trek, ce fut encore mieux avec de la pluie, du froid (seulement 5° au compteur) et même des champs blanchis par la neige sur les hauteur d'Oyeu... rappelez-moi la date ? Ah oui, le 27 avril, bon...
Une suite de désagrément... D'abord la météo : la pluie et le froid, tout ce que j'aime. Ensuite la préparation : rentré la vieille du stage de Pâques avec 500 bornes dans les pattes, je me couche à 2h00 du mat' après une séance de visionnage des (trop nombreuses) photos de vacances. Enfin, pour couronner le tout, je ne trouve rien de mieux que de me nourrir au Mc Do la veille au soir, sur la route du retour du stage... Bref, une préparation de véritable champion !
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