Grand Prix de Cessieu

Un circuit digne d'un championnat. J'arrive sur la course un epu "à la bourre" car je me suisdécidé au dernier moment. Le peloton se scinde rapidement en 2 et nous nous retrouvons seulement une bonne quinzaine en tête. Pour une fois je m'économise, faute de m'être echauffer correctement. Pas mis une pédale devant l'autre avant que la chute (roure avant qui rippe, perte de l'adhérence, je me rattrappe mais une branche d'une haia touche mon épaule et termine de me déséquilibrer ! C'est la chute...Plus de peur que de mal. Du vernis ôté et les chances de disputer la gagne à 20 Km de l'arrivée avec :-(

Victor est fort, les Fontanil sont très forts, et le parcours était fort corsé. Aux 2 bosses initialement entrevues sur des profils récupérés ici ou là, s'en sont ajoutés d'autres, sûrement au cours de la nuit, arrosée, durant laquelle elles auront poussées comme des champignons. L'organisateur, aussi surpris que les coureurs par ce phénomène peu commun, dans son infinie bonté magnanime, raccourcira la course de 11 à 10 tours. La grande armée jaune et bleue SCALE n'est pas là, il faut toutefois faire face à l'impressionnante armada des bleus et jaunes. La vue de Patrick et Marie Jo sur le bord de la route donne discrètement le signal de la grande offensive, celle qui va tenter de renverser l'ordre établi. Las, cela revient et ensuite dans le maelstrom des attaques et contre attaques qui suivent, et dont le souvenir est plus qu'embrouillé dans mon esprit, nous finissons par nous échapper à deux, et par grande fainéantise je me résous au sprint où ce qui devait arriver arriva. Yann et Samuel, ont essayé lors des deux premières courses, Laurent et moi lors des deux suivantes mais rien à faire, TVS ne conclue pas. Notre arme fatale, Manu, celle qui fait couler froide la sueur et claquer des genoux nos concurrents, faisant guidonner les vélos dans les descentes n'est pas là et cela change tout. Le stage est là, permettant de ressouder les rangs, d'échaffauder tactiques, et vider quelques barriques. Pendant ce temps là, Laurent ira peut être porter le fer en plein coeur du fief ennemi, enfin, d'un de nos ennemis préférés, entendons nous bien.

Victor est fort, les Fontanil sont très forts, et le parcours était fort corsé. Aux 2 bosses initialement entrevues sur des profils récupérés ici ou là, s'en sont ajoutés d'autres, sûrement au cours de la nuit, arrosée, durant laquelle elles auront poussées comme des champignons. L'organisateur, aussi surpris que les coureurs par ce phénomène peu commun, dans son infinie bonté magnanime, raccourcira la course de 11 à 10 tours. La grande armée SCALE n'est pas là, il faut toutefois faire face à l'impressionnante armada des bleus et jaunes. La vue de Patrick et Marie Jo sur le bord de la route donne discrètement le signal de la grande offensive, celle qui va tenter de renverser l'ordre établi. Las, cela revient et ensuite dans le maelstrom des attaques et contre attaques qui suivent, et dont le souvenir est plus qu'embrouillé dans mon esprit, nous finissons par nous échapper à deux, et par grande fainéantise je me résous au sprint où ce qui devait arriver arriva. Yann et Samuel, ont essayé lors des deux premières courses, Laurent et moi lors des deux suivantes mais rien à faire, TVS ne conclue pas. Notre arme fatale, Manu, celle qui fait couler froide la sueur et claquer des genoux nos concurrents, faisant guidonner les vélos dans les descentes n'est pas là et cela change tout. Le stage est là, permettant de ressouder les rangs, d'échaffauder tactiques, et vider quelques barriques. Pendant ce temps là, Laurent ira peut être porter le fer en plein coeur du fief ennemi, enfin, d'un de nos ennemis préférés, entendons nous bien.

Victor est fort, les Fontanil sont très forts, et le parcours était fort corsé. Aux 2 bosses initialement entrevues sur des profils récupérés ici ou là, s'en sont ajoutés d'autres, sûrement au cours de la nuit, arrosée, durant laquelle elles auront poussées comme des champignons. L'organisateur, aussi surpris que les coureurs par ce phénomène peu commun, dans son infinie bonté magnanime, raccourcira la course de 11 à 10 tours. L'étau SCALE n'est pas là, il faut toutefois faire face à l'impressionnante armada des bleus et jaunes. La vue de Patrick et Marie Jo sur le bord de la route donne discrètement le signal de la grande offensive, celle qui va tenter de renverser l'ordre établi. Las, cela revient et ensuite dans le maelstrom des attaques et contre attaques suivent, et dont le souvenir est plus qu'embrouillé dans mon esprit, nous finissons par nous échapper à deux, et par grande fainéantise je me résous au sprint où ce qui devait arriver arriva. Yann et Samuel, ont essayé lors des deux premières courses, Laurent et moi lors des deux suivantes mais rien à faire, TVS ne conclue pas. Notre arme fatale, Manu, celle qui fait couler froide la sueur et claquer des genoux nos concurrents, faisant guidonner les vélos dans les descentes n'est pas là et cela change tout. Le stage est là, permettant de ressouder les rangs, d'échaffauder tactiques, et vider quelques barriques. Pendant ce temps là, Laurent ira peut être porter le fer en plein coeur du fief ennemi, enfin, d'un de nos ennemis préférés, entendons nous bien.