Grand Prix de Lalley

Effectivement nous n'étions pas nombreux...mais ne dit-on pas que les absents ont toujours tort ! Bref, j'ai eu froid du départ fictif au réel avec en guise d'accompagnateur un petit crachin bien désagréable. Puis, dès le départ donné à Lalley-Avers, route sèche et plus une goutte depluie durant la course. Cette dernière est partie calmement, jusqu'au passage de la bosse où les hostilités ont commencé. Je savais qu'il fallait être présent notamment ici, mais pas échauffé les 20 premiers kilomètres ont été difficiles. D'autant que la bonne se déclenche sous les coups de boutoir des gars de Gières qui dynamitent tout ça pour que nous nous retrouvions à 9 dont 4 de chez eux devant ! Quelques tours et deux d'entre eux prennent la poudre d'escampette encore une fois à la faveur de la difficullté du talus. On les garde quand même à distance raisonnable, jusqu'au moment où un "Damien" sociétaire du club organisateur m'embarque avec lui dans le fossé au passage de la ligne en voulant signaler que son bidon était vide !
Pas de chute, mais les gars ne nous attendent évidemmenr pas et le temps de repartir...je déraille à l'épingle qui suit la l'arrivée ! J'enrage contre le gars et mon vélo !
Je chasse un peu et au au 40ème kilomètre je sens des crampes venir à chaque jambes...Anormal !
je dois manquer de sel voire de magnésium car 3 courses et à chaque fois des crampes.
Je décide somme toute de terminer la course , bien déçu de ne pas être devant.

(A venir)

J'aurais volontiers continué sur ce rythme et avec ce groupe, mais les plus costauds d'entre nous (Charles Ricaud, Gérard Pic, Mathias Bugni, et un coureur du VC Villard-Bonnot dont j'ignore le nom) en décident autrement en accélérant soudainement dans la bosse vers la mi-course.

%blue%20 concurrent mais 1 seul TVS en course avec Alain. Il prend la 9ème place.

%blue%1 seul TVS en course avec Alain. Pas encore d'info sur le résultat de la course.


'''Les commentaires d'Alain :'''

%blue%Radu est le seul représentant de TVS ce dimanche chez les Grands Sportifs. Pas encore d'info sur le résultat de la course.

Tout d'abord un mot sur le parcours : il est de toute beauté, convenant à mon avis aux coureurs complets, capables de rouler en tête du peloton, de bien négocier les deux virages et de faire la différence dans la "courte" bosse (400m avec du 10%) juste à la fin du tour de piste. C'est justement dans cette bosse que j'ai souffert. Le reste du circuit m'a très bien convenu et j'ai pu me rendre compte que dans les parties roulantes je pouvais même "m'amuser". Mais dès l'entame de la bosse je me faisais doubler par tout le groupe. Sur une bosse de 600-800 m de long, je pourrais éventuellement revenir aux avant-postes, mais sur une bosse de 400 m ce ne fût pas possible. Ceci dit, je ne suis pas mécontent du tout. Je termine derrière le groupe de tête, sans être trop fatiqué. Je pense qu'aujourd'hui j'ai franchi un grand pas. Tout d'abord parce que j'ai bien repéré le point faible sur lequel je dois maintenant travailler, ensuite parce que j'ai senti un vrai plaisir à sortir la tête et à espérer pendant 1km que j'allais pouvoir lâcher tout le monde.

Tout d'abord un mot sur le parcours : il est de toute beauté, convenant à mon avis aux coureurs complets, capables de rouler en tête du peloton, de bien négocier les deux virages et de faire la différence dans la "courte" bosse (400m avec du 10%) juste à la fin du tour de piste. C'est justement dans cette bosse que j'ai souffert. Le reste du circuit m'a très bien convenu et j'ai pu me rendre compte que dans les parties roulantes je pouvais même "m'amuser". Mais dès l'entame de la bosse je me faisais doubler par tout le groupe. Sur une bosse de 600-800 m de long, je pourrais éventuellement revenir aux avant-postes, mais sur une bosse de 400 m ce ne fût pas possible. Ceci dit, je ne suis pas mécontent du tout. Je termine derrière le groupe de tête, sans être trop fatiqué. Je pense qu'aujourd'hui j'ai franchi un grand pas. Tout d'abord parce que j'ai bien repéré le point faible sur lequel je dois maintenant travailler, ensuite parce que j'ai senti un vrai plaisir à sortir du peloton et à espérer pendant 1km que j'allais pouvoir sortir du peloton.

Après un samedi bien rempli, j'avais plutôt l'intention de profiter de mon dimanche pour récupérer. C'était sans compter sur un mail de Gérard le samedi soir, qui rappelle les troupes à l'ordre pour Lalley. Et puis c'est vrai que j'ai un challenge UFOLEP Isère à remporter! Discussions, négociations, explications, tractations... et me voilà dans la voiture direction Lalley dimanche à la fraîche, avec la promesse d'être de retour pour 14H. Une fois sur place, il fait effectivement très frais, à peine 10°C et les troupes sont assez peu nombreuses sur la ligne de départ. Suffisamment tout de même pour se livrer à une belle bagarre sur le vélo avec mes nouveaux coéquipiers de première catégorie. Les quatre premiers kilomètres neutralisés jusque la ligne de départ se font en grelottant, mais bon, ça ne va pas durer longtemps. Effectivement, dès le départ donné, Pierre prend la course en main et maintient un bon tempo qui me sert d'échauffement. Après le premier passage de la bosse qui se fait beaucoup trop vite à mon goût, c'est bon je suis bien chaud! A peine cinq minutes plus tard on remet ça. J'essaie de temporiser mais cette fois, c'est bon, je suis chaud-bouillant! Il ne manque plus que Pierre me dise d'y aller pour que je me retrouve devant avec un coureur de Vaison La Romaine. S'en suit alors une loooongue partie de manivelles, avec cette saloperie de bosse qui revient toutes les 6 minutes et ce p... de compte-tours qui n'en finit pas de décompter. Heureusement il y a de longues parties roulantes où je me fais vraiment plaisir, un peu trop même... Mais difficile de ne pas aller titiller les 50km/h dans ces longs faux-plats descendants : chassez le naturel... A ce train-la, l'écart se creuse rapidement et ira même au-delà des deux minutes. Dernier tour, je choisis d'attendre les tous derniers mètres pour le sprint mais mon compagnon d'échappée me surprend en attaquant très tôt. Le temps de changer de vitesse il a déjà 10m d'avance, les cuisses tétanisent, impossible de rivaliser...

Après un samedi bien rempli, j'avais plutôt l'intention de profiter de mon dimanche pour récupérer. C'était sans compter sur un mail de Gérard le samedi soir, qui rappelle les troupes à l'ordre pour Lalley. Et puis c'est vrai que j'ai un challenge UFOLEP Isère à remporter! Discussions, négociations, explications, tractations... et me voilà dans la voiture direction Lalley dimanche à la fraîche, avec la promesse d'être de retour pour 14H. Une fois sur place, il fait effectivement très frais, à peine 10°C et les troupes sont assez peu nombreuses sur la ligne de départ. Suffisamment tout de même pour se livrer à une belle bagarre sur le vélo avec mes nouveaux coéquipiers de première catégorie. Les quatre premiers kilomètres neutralisés jusque la ligne de départ se font en grelottant, mais bon, ça ne va pas durer longtemps. Effectivement, dès le départ donné, Pierre prend les choses en main et maintien un bon tempo qui me sert d'échauffement. Après le premier passage de la bosse qui se fait beaucoup trop vite à mon goût, c'est bon je suis bien chaud! A peine cinq minutes plus tard on remet ça. J'essaie de temporiser mais cette fois, c'est bon, je suis chaud-bouillant! Il ne manque plus que Pierre me dise d'y aller pour que je me retrouve devant avec un coureur de Vaison La Romaine. S'en suit alors une loooongue partie de manivelles, avec cette saloperie de bosse qui revient toutes les 6 minutes et ce p... de compte-tours qui n'en finit pas de décompter. Heureusement il y a de longues parties roulantes où je me fais vraiment plaisir, un peu trop même... Mais difficile de ne pas aller titiller les 50km/h dans ces longs faux-plats descendants : chassez le naturel... A ce train-la, l'écart se creuse rapidement et ira même au-delà des deux minutes. Dernier tour, je choisis d'attendre les tous derniers mètres pour le sprint mais mon compagnon d'échappée me surprend en attaquant très tôt. Le temps de changer de vitesse il a déjà 10m d'avance, les cuisses tétanisent, impossible de rivaliser...

Après un samedi bien rempli, j'avais plutôt l'intention de profiter de mon dimanche pour récupérer. C'était sans compter sur un mail de Gérard le samedi soir, qui rappelle les troupes à l'ordre pour Lalley. Et puis c'est vrai que j'ai un challenge UFOLEP Isère à remporter! Discussions, négociations, explications, tractations... et me voilà dans la voiture direction Lalley dimanche à la fraîche avec la promesse d'être de retour pour 14H. Une fois sur place, il fait effectivement très frais, à peine 10°C et les troupes sont assez peu nombreuses sur la ligne de départ. Suffisamment tout de même pour se livrer à une belle bagarre sur le vélo avec mes nouveaux coéquipiers de première catégorie. Les quatre premiers kilomètres neutralisés jusque la ligne de départ se font en grelottant, mais bon, ça ne va pas durer longtemps. Effectivement, dès le départ donné, Pierre prend les choses en main et maintien un bon tempo qui me sert d'échauffement. Après le premier passage de la bosse qui se fait beaucoup trop vite à mon goût, c'est bon je suis bien chaud! A peine cinq minutes plus tard on remet ça. J'essaie de temporiser mais cette fois, c'est bon, je suis chaud-bouillant! Il ne manque plus que Pierre me dise d'y aller pour que je me retrouve devant avec un coureur de Vaison La Romaine. S'en suit alors une loooongue partie de manivelles, avec cette saloperie de bosse qui revient toutes les 6 minutes et ce p... de compte-tours qui n'en finit pas de décompter. Heureusement il y a de longues parties roulantes où je me fais vraiment plaisir, un peu trop même... Mais difficile de ne pas aller titiller les 50km/h dans ces longs faux-plats descendants : chassez le naturel... A ce train-la, l'écart se creuse rapidement et ira même au-delà des deux minutes. Dernier tour, je choisis d'attendre les tous derniers mètres pour le sprint mais mon compagnon d'échappée me surprend en attaquant très tôt. Le temps de changer de vitesse il a déjà 10m d'avance, les cuisses tétanisent, impossible de rivaliser...

Après un samedi bien rempli, j'avais plutôt l'intention de profiter de mon dimanche pour récupérer. C'était sans compter sur un mail de Gérard le samedi soir, qui rappelle les troupes à l'ordre pour Lalley. Et pus c'est vrai que j'ai un challenge UFOLEP Isère à remporter! Discussions, négociations, explications, tractations... et me voilà dans la voiture direction Lalley dimanche à la fraîche avec la promesse d'être de retour pour 14H. Une fois sur place, il fait effectivement très frais, à peine 10°C et les troupes sont assez peu nombreuses sur la ligne de départ. Suffisamment tout de même pour se livrer à une belle bagarre sur le vélo avec mes nouveaux coéquipiers de première catégorie. Les quatre premiers kilomètres neutralisés jusque la ligne de départ se font en grelottant, mais bon, ça ne va pas durer longtemps. Effectivement, dès le départ donné, Pierre prend les choses en main et maintien un bon tempo qui me sert d'échauffement. Après le premier passage de la bosse qui se fait beaucoup trop vite à mon goût, c'est bon je suis bien chaud! A peine cinq minutes plus tard on remet ça. J'essaie de temporiser mais cette fois, c'est bon, je suis chaud-bouillant! Il ne manque plus que Pierre me dise d'y aller pour que je me retrouve devant avec un coureur de Vaison La Romaine. S'en suit alors une loooongue partie de manivelles, avec cette saloperie de bosse qui revient toutes les 6 minutes et ce p... de compte-tours qui n'en finit pas de décompter. Heureusement il y a de longues parties roulantes où je me fais vraiment plaisir, un peu trop même... Mais difficile de ne pas aller titiller les 50km/h dans ces longs faux-plats descendants : chassez le naturel... A ce train-la, l'écart se creuse rapidement et ira même au-delà des deux minutes. Dernier tour, je choisis d'attendre les tous derniers mètres pour le sprint mais mon compagnon d'échappée me surprend en attaquant très tôt. Le temps de changer de vitesse il a déjà 10m d'avance, les cuisses tétanisent, impossible de rivaliser...

Un grand bravo à Laurent qui a fait tout le boulot de l'échappée. Un grand merci à Pierre pour ces conseils qui m'ont mis en confiance.

Frustré par mes 2 chronos manqués de la veille, j'ai décidé d'user et d'abuser de la puissance, même à tort et à travers, tant pis, sur le circuit de Lalley. On s'entend à merveille avec Laurent dès les premiers tours de roues, et comme il faut un peu l'énerver pour qu'il donne la pleine mesure de ses possibilités, je lui d'attaquer une première fois, et ensuite il remet une 2ème couche pour partir avec un coureur. Des sources bien informées à l'arrivée rapporteront même qu'il aurait pu espérer mieux, en croyant encore un petit plus en lui, et en s'appuyant pour cela sur ses points forts. De mon côté, j'ai secoué le cocotier dans tous les sens derrière, façon brute épaisse, en essayant de faire tomber un maximum de noix de coco, au risque d'en prendre une aussi sur la tête. C'est bien, comme cela l'allure n'était jamais régulière pour que le peloton ne s'organise pour rattraper les 2 fuyards. Je reste très admiratif de la performance de Laurent.

Frustré par mes 2 chronos manqués de la veille, j'ai décidé d'user et d'abuser de la puissance, même à tort et à travers, tant pis, sur le circuit de Lalley. On s'entend à merveille avec Laurent dès les premiers tours de roues, et comme il faut un peu l'énerver pour qu'il donne la pleine mesure de ses possibilités, je lui d'attaquer une première fois, et ensuite il remet une 2ème couche pour partir avec un coureur. Des sources bien informées à l'arrivée rapporteront même qu'il aurait pu espérer mieux, en croyant encore un petit plus en lui, et en s'appuyant pour cela sur ses points forts. De mon côté, j'ai secoué le cocotier dans tous les sens derrière, en essayant de faire tomber un maximum de noix de coco, au risque d'en prendre une aussi sur la tête. C'est bien, comme cela l'allure n'était jamais régulière pour que le peloton ne s'organise pour rattraper les 2 fuyards. Je reste très admiratif de la performance de Laurent.

Frustré par mes 2 chronos manqués de la veille, j'ai décidé d'user et d'abuser de la puissance sur le circuit de Lalley. On s'entend à merveille avec Laurent dès les premiers tours de roues, et comme il faut un peu l'énerver pour qu'il donne la pleine mesure de ses possibilités, je lui d'attaquer une première fois, et ensuite il remet une 2ème couche pour partir avec un coureur. Des sources bien informées à l'arrivée rapporteront même qu'il aurait pu espérer mieux, en croyant encore un petit plus en lui, et en s'appuyant pour cela sur ses points forts. De mon côté, j'ai secoué le cocotier dans tous les sens derrière, en essayant de faire tomber un maximum de noix de coco, au risque d'en prendre une aussi sur la tête. C'est bien, comme cela l'allure n'était jamais régulière pour que le peloton ne s'organise pour rattraper les 2 fuyards. Je reste très admiratif de la performance de Laurent.

Frustré par mes 2 chronos manqués de la veille, j'ai décidé d'user et d'abuser de la puissance sur le circuit de Lalley. On s'entend à merveille avec Laurent dès les premiers tours de roues, et comme il faut un peu l'énerver pour qu'il donne la pleine mesure de ses possibilités, je lui d'attaquer une première fois, et ensuite il remet une 2ème couche pour partir avec un coureur. Des sources bien informées à l'arrivée rapporteront même qu'il aurait pu espérer mieux, en croyant encore un petit plus en lui, et en s'appuyant pour cela sur ses points forts. De mon côté, j'ai secoué le cocotier dans tous les sens derrière, en essayant de faire tomber un maximum de noix de cocos, au risque d'en prendre une aussi sur la tête. C'est bien, comme cela l'allure n'était jamais régulière pour que le peloton ne s'organise pour rattraper les 2 fuyards. Je reste très admiratif de la performance de Laurent.

Frustré par mes 2 chronos manqués de la veille, j'ai décidé d'user et d'abuser de la puissance sur le circuit de Lalley. On s'entend à merveille avec Laurent dès les premiers tours de roues, et comme il faut un peu l'énerver pour qu'il donne la pleine mesure de ses possibilités, je lui d'attaquer une première fois, et ensuite il remet une 2ème couche pour partir avec un coureur. Des sources bien informées à l'arrivée rapporteront même qu'il aurait pu espérer mieux, en croyant encore un petit plus en lui, et en s'appuyant pour cela sur ses points forts. De mon côté, j'ai secoué le cocotier dans tous les sens derrière, en essayant de faire tomber un maximum de noix de cocos, au risque d'en prendre une aussi sur la tête. C'est bien, comme cela l'allure n'était jamais régulière pour que le peloton ne s'organise pour rattraper les 2 fuyards.

Frustré par mes 2 chronos manqués de la veille, j'ai décidé d'user et d'abuser de la puissance sur le circuit de Lalley. On s'entend à merveille avec Laurent dès les premiers tours de roues, et comme il faut un peu l'énerver pour qu'il donne la pleine mesure de ses possibilités, je lui d'attaquer une première fois, et ensuite il remet une 2ème couche pour partir avec un coureur. Des sources bien informées à l'arrivé rapporteront même qu'il aurait pu espérer mieux en croyant plus à ses points forts. De mon côté, j'ai secoué le cocotier dans tous les sens derrière, en essayant de faire tomber un maximum de noix de cocos, au risque d'en prendre une aussi sur la tête. C'est bien, comme cela l'allure n'était jamais régulière pour que le peloton ne s'organise pour rattraper les 2 fuyards.

Tout d'abord un mot sur le parcours : il est de toute beauté, convenant à mon avis aux coureurs complets, capables de rouler en tête du peloton, de bien négocier les deux virages et de faire la différence dans la "courte" bosse (400m avec du 10%) juste à la fin du tour de piste. C'est justement dans cette bosse que j'ai souffert. Le reste du circuit m'a très bien convenu et j'ai pu me rendre compte que dans les parties roulantes je pouvais même "m'amuser". Mais dès l'entame de la bosse je me faisais doubler par tout le groupe. Sur une bosse de 600-800 m de long, je pourrai éventuellement revenir aux avant-postes, mais sur une bosse de 400 m ce ne fût pas possible. Ceci dit, je ne suis pas mécontent du tout. Je termine derrière le groupe de tête, sans être trop fatiqué. Je pense qu'aujourd'hui j'ai franchi un grand pas. Tout d'abord parce que j'ai bien repéré le point faible sur lequel je dois maintenant travailler, ensuite parce que j'ai senti un vrai plaisir à sortir du peloton et à espérer pendant 1km que j'allais pouvoir faire éclater le groupe de tête.

Tout d'abord un mot sur le parcours : il est de toute beauté, convenant à mon avis aux coureurs complets, capables de rouler en tête du peloton, de bien négocier les deux virages et de faire la différence dans la "courte" bosse (400m avec du du 10%) juste à la fin du tour de piste. C'est justement dans cette bosse que j'ai souffert. Le reste du circuit m'a très bien convenu et j'ai pu me rendre compte que dans les parties roulantes je peux même "m'amuser". Mais dès l'entame de la bosse je me faisais doubler par tout le groupe. Sur une bosse de 600-800 m de long, je pourrai éventuellement revenir aux avant-postes, mais sur une bosse de 400 m ce ne fût pas possible. Ceci dit, je ne suis pas mécontent du tout. Je termine derrière le groupe de tête, sans être trop fatiqué. Je pense qu'aujourd'hui j'ai franchi un grand pas. Tout d'abord parce que j'ai bien repéré le point faible sur lequel je dois maintenant travailler, ensuite parce que j'ai senti un vrai plaisir à sortir du peloton et à espérer pendant 1km que j'allais pouvoir faire éclater le groupe de tête.

(A venir)

N'ayant toujours pas retrouvé mes jambes, je me retrouve aussi décroché de ce groupe là, et si je continue, ce n'est que pas solidarité avec mes deux derniers compagnons d'infortune (Céline et Alexandre Auber, de Villard-Bonnot, 17 ans, la vache, ça file un coup de vieux !) pour leur prendre des relais.

%blue%En raison d'une assez faible mobilisation des coureurs, les organisateurs ont décidé de faire courir les 1ere et les 2ème caté ensemble. Pas de représentant pour TVS (puisque notre Président est désormais en 1ème caté) mais une belle victoire de Christophe Ionher (VC Villard-Bonnot) qui, en plus d'être un gars sympa, est un bon coureur.

N'ayant toujours pas retrouvé mes jambes, je me retrouve aussi décroché de ce groupe là, et si je continue, ce n'est que pas solidarité avec mes deux derniers compagnons d'infortune (un jeune de Villard-Bonnot et Céline) pour leur prendre des relais.

Dès la fin du 1er tour (et donc le premier passage de la bosse), je suis déjà dans le dur, obligé de serrer les dents pour ne pas décrocher du paquet. Il faut dire que je fais l'erreur de la tenter sur la plaque quant un petit braquet aurait été bien plus adapté. Bon, ce n'était que reculer pour mieux sauter car, dès le 2ème tour, je tente de passer le petit plateau à l'entame de la bosse mais mon dérailleur "récalcitre" et j'opte donc pour une 2ème montée sur la plaque. Evidemment, ça ne passe pas et, cette fois, je me fais décrocher.

Notre groupe grossit à chaque tour en reprenant petit à petit d'autres cyclistes décrochés si bien que, au bout de quelques tours, nous sommes 9 à nous relayer (enfin, pas tout à fait 9, un coureur de Rives ne sachant visiblement pas que, dans un groupe, c'est quand même plus sympa pour les copains de prendre des relais...).

N'ayant toujours pas retrouvé mes jambes, je me retrouve aussi décroché de ce groupe là, et si je continue, ce n'est que pas solidarité avec mes deux derniers compagnons d'infortune (un jeune de Villard-Bonnot et Céline), de façon à partager les relais.
Cela ne tiendra que jusqu'au moment ou le TGV conduit par Laurent (avec un coureur du Vaucluse inconnu au bataillon mais dont la spécialité est vraisemblablement de surtout faire "wagon" laissant à notre Président vénéré le rôle de "locomotive") nous dépassera dans un souffle impressionnant et avec un différentiel de vitesse qui me fait réaliser que nous ne boxons décidément pas dans la même catégorie, si vous voulez bien me passer l'expression.
Je me dis que Laurent a des chances de l'emporter et que, compte-tenu de ma brillante prestation, je serais bien plus utile au bord de la route à prendre des photos plutôt que sur la route à risquer de ralentir les trains qui passent. Bref, il ne m'en fallait pas plus pour me convaincre de mettre le clignotant et rentrer directement à la voiture pour me changer et prendre mon appareil photo, donc...

%blue%Environ 25 coureurs au départ (1ère et 2ème catégories confondues). Laurent, pour sa première course en 1ère catégorie, a des jambes de feu : échappé dès le début de course en compagnie d'un coureur du Vaucluse, il va jusqu'au bout. Un peu trop généreux dans l'effort, il est battu au sprint et finit 2ème. Pierre, dans ce qui reste du peloton, prend la 5ème place. Franck, lâché, abandonne après 50 km.

%center%'''-Laurent, généreux dans l'effort, l'a payé dans l'ascension finale.-'''

%blue%Environ 25 coureurs au départ (1ère et 2ème catégories confondus). Laurent, pour sa première course en 1ère catégorie, a des jambes de feu : échappé dès le début de course en compagnie d'un coureur du Vaucluse, il va jusqu'au bout. Un peu trop généreux dans l'effort, il est battu au sprint et finit 2ème. Pierre, dans ce qui reste du peloton, prend la 5ème place. Franck, lâché, abandonne après 50 km.

Course en ligne organisée par le [[http://scale.over-blog.fr/|SCALE Echirolles]]sur un circuit vallonné de 3,7 km.

Comme la semaine précédente, j'hésite jusqu'à la dernière minute pour venir. Trois nuits trop courtes consécutives et une soirée qui finit tard la veille au soir auraient dû me faire entendre raison... Mais même pas ! Arrivé trop juste pour avoir le temps de m'échauffer (enfin, juste 2 petits kilomètres à tourner les jambes, c'est un peu léger comme échauffement...), je n'ai pas le loisir de reconnaître le circuit avant de l'emprunter en course. Sur la vidéo de reconnaissance réalisée par Gérard Pic [[http://www.veloclubdelabievre.fr/index.php?page=club&lvl2=actus&id=169|vidéo de reconnaissance réalisée par Gérard Pic]], j'avais eu l'impression que la bosse finale était relativement roulante. Mais en vrai, pas du tout ! Une saloperie à 10%, bien trop raide pour moi.
Dès la fin du 1er tour (et donc le premier passage de la bosse), je suis déjà dans le dur, obligé de serrer les dents pour ne pas décrocher du paquet. Il faut dire que je fais l'erreur de la tenter sur l plaque quand un petit braquet aurait été bien plus adapté. Bon, ce n'était que reculer pour mieux sauter car, dès le 2ème tour, je tente de passer le petit plateau à l'entame de la bosse mais mon déraille "récalcitre" et j'opte donc pour une 2ème montée sur la plaque. Evidemment, ça ne passe pas et, cette fois, je me fais décrocher.

Notre groupe grossit à chaque tour en reprenant petit à petit d'autres cyclistes décrochés si bien que, au bout de quelques tours, nous sommes 9 à nous relayer (enfin, pas tout à fait 9, un coureur de Rives ne sachant visiblement pas que, dans un groupe, c'est quand même plus sympa pour les copains de prendre des relais...). J'aurais volontiers continué sur ce rythme et avec ce groupe, mais les plus costauds d'entre nous (Charles Ricaud, Gérard Pic, Mathias Bugni, et un coureur du VC Villard-Bonnot dont j'ignore le nom) en décident autrement en accélérant soudainement dans la bosse vers la mi-course.
N'ayant toujours pas retrouvé mes jambes, je me retrouve aussi décroché de ce groupe là, et si je ne continue, ce n'est que pas solidarité avec mes deux derniers compagnons d'infortune (un jeune de Villard-Bonnot et Céline), de façon à partager les relais.
Cela ne tiendra que jusqu'au moment ou le TGV conduit par Laurent (avec un coureur du Vaucluse inconnu au bataillon mais dont la spécialité est vraisemblablement de surtout faire "wagon" laissant à notre Président vénéré le rôle de "locomotive") nous dépassera dans un souffle impressionnant et avec un différentiel de vitesse qui me fait réaliser que nous ne boxons décidément pas dans la même catégorie, si vous voulez bien me passer l'expression).
Je me dis que Laurent a des chances de l'emporter et que, compte-tenu de ma brillante prestation, je serai plus utile au bord de la route à prendre des photos plutôt que sur la route à risquer de ralentir les trains qui passent. Bref, il ne m'en fallait pas plus pour me convaincre de mettre le clignotant et rentrer directement à la voiture pour me changer et prendre mon appareil photo, donc...