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Course de VienneHistorique de Articles18.CourseDeVienneMontrer les modifications mineures - Affichage du code 09/04/2018 11:13
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Lignes 23-26 ajoutées:
Lignes 29-48 modifiées:
rdv est pris avec Bastien par un dimanche bien venteux
le départ donner je me replace tranquillement dans la 1er moitié du peloton et assez rapidement j'essaye de partir dans un coup .
je me laisse glisser un milieu de peloton en ayant auparavant avertie Bastien d'en faire de même par 2 fois mais il a l'air bien devant et continu de rester au vent. les 1er difficultés sont passer presque sans encombre et je suis toujours au contact du peloton d'ou 2 coureurs on reussi a sortir. le moment clé arrive après une descente ou je me place en dernière position du peloton pour récupérer, je repasse Bastien mal placé est l'encourage a prendre ma roue sans succès
après 2.3 km de recup vent de dos arrive la bosse du parcours j'essaye de prendre un rythme élevée sans me faire explosé non plus et je m’étonne de suivre des coureurs qui d'habitude me lâche facilement (comme quoi c'est bien de perdre du poids) on passe le sommet a une petite dizaine environ 1min derrière le peloton a ce moment il reste 22km de plu ou moins faux plat descendant
en:
Rendez-vous est pris avec Bastien par un dimanche bien venteux.
Le départ donné, je me replace tranquillement dans la 1ère moitié du peloton et assez rapidement j'essaye de partir dans un coup.
Je me laisse glisser en milieu de paquet en ayant auparavant averti Bastien d'en faire de même par deux foi,s mais il a l'air bien devant et continue de rester au vent. Les premières difficultés sont passées presque sans encombre et je suis toujours au contact du peloton d'où 2 coureurs ont réussi à s'extraire. Le moment clé arrive après une descente où je me place en dernière position du peloton pour récupérer, je dépasse Bastien mal placé et l'encourage à prendre ma roue sans succès. Je réussis à rester tant bien que mal dans le groupe, au prix d’un effort intense... Après 2 à 3 km de récup' vent de dos arrive la bosse du parcours. J'essaye de prendre un rythme élevé sans me faire exploser non plus et je m’étonne de suivre des coureurs qui d'habitude me lâchent facilement (comme quoi c'est bien de perdre du poids). On passe le sommet a une petite dizaine, environ 1 minute derrière le peloton. A ce moment, il reste 22 km de plus ou moins faux plat descendant. Les relais vont bien tourner, nous permettant ainsi de revenir sur le peloton a 5 km de l'arrivée où se jouera le sprint pour la 3ème place.
Lignes 50-51 ajoutées:
09/04/2018 09:58
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Lignes 25-26 modifiées:
(A venir) en:
rdv est pris avec Bastien par un dimanche bien venteux
le départ donner je me replace tranquillement dans la 1er moitié du peloton et assez rapidement j'essaye de partir dans un coup .
je me laisse glisser un milieu de peloton en ayant auparavant avertie Bastien d'en faire de même par 2 fois mais il a l'air bien devant et continu de rester au vent. les 1er difficultés sont passer presque sans encombre et je suis toujours au contact du peloton d'ou 2 coureurs on reussi a sortir. le moment clé arrive après une descente ou je me place en dernière position du peloton pour récupérer, je repasse Bastien mal placé est l'encourage a prendre ma roue sans succès
après 2.3 km de recup vent de dos arrive la bosse du parcours j'essaye de prendre un rythme élevée sans me faire explosé non plus et je m’étonne de suivre des coureurs qui d'habitude me lâche facilement (comme quoi c'est bien de perdre du poids) on passe le sommet a une petite dizaine environ 1min derrière le peloton a ce moment il reste 22km de plu ou moins faux plat descendant
08/04/2018 21:15
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Lignes 159-160 modifiées:
Vous savez ce que vous fis moi à tous et à CHA CHA en particulier en:
Vous savez ce que vous dis moi à tous et à CHA CHA en particulier
04/04/2018 13:50
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Ligne 42 modifiée:
On part s’échauffer avec Fabien, 10 min, 2 petits sprints histoire de faire monter le cardio… ça restera le pire échauffement de l’histoire des échauffements ! En revenant on entend l’organisation qui relance pour l’appel. On se regroupe tous. Yann m’indique que je fais probablement partie des 10 plus costauds de notre groupe d’environ 70 coureurs. Costaud physiquement certes, mais complètement inexpérimenté. Dans ma tête, je me dis que si le niveau d’un cycliste se décompose en deux parties à 50% de physique et 50% d'expérience, je ne suis qu’une moitié de cycliste, et sur les 50% physiques je ne suis assurément pas au top du tout ! Donc je m’attends à morfler ma race, et c’est cool : première compétition, de mauvaises jambes, du vent à faire décoller des parapentes à l’arrêt, un échauffement pourri, c’est la promesse d’une après-midi épique ! en:
On part s’échauffer avec Antoine, 10 min, 2 petits sprints histoire de faire monter le cardio… ça restera le pire échauffement de l’histoire des échauffements ! En revenant on entend l’organisation qui relance pour l’appel. On se regroupe tous. Yann m’indique que je fais probablement partie des 10 plus costauds de notre groupe d’environ 70 coureurs. Costaud physiquement certes, mais complètement inexpérimenté. Dans ma tête, je me dis que si le niveau d’un cycliste se décompose en deux parties à 50% de physique et 50% d'expérience, je ne suis qu’une moitié de cycliste, et sur les 50% physiques je ne suis assurément pas au top du tout ! Donc je m’attends à morfler ma race, et c’est cool : première compétition, de mauvaises jambes, du vent à faire décoller des parapentes à l’arrêt, un échauffement pourri, c’est la promesse d’une après-midi épique ! 03/04/2018 22:00
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Lignes 46-50 modifiées:
A partir de là et pendant 1h environ, je commets l’erreur de débutant que je suis de vouloir rester trop souvent devant, à me jeter sur une bonne partie des accélérations. Julien me le rappelle 2 fois... Je ne regarde pas le cardio mais je sens que j’explore plusieurs fois la zone rouge, et surtout aïe aux jambes, mais AIE putain !! A chaque bosse, je souffre, je vois la quasi-totalité du peloton me doubler…À chaque « sommet » je bascule dans les derniers, avec obligation de relancer pour rester au contact, et me cramer un peu plus. Chose positive, je me sens à l’aise en peloton, je me positionne, je remonte, je me laisse descendre, je relance etc...être serré ne m’inquiète guère, il faut juste rester concentré et vigilant. Arrivé au carrefour de Pommier-de-Beaurepaire, virage à angle droit avant une longue ligne droite d’environ 4kms, je suis donc en queue de peloton, et badaboum une nouvelle bordure, comme prévu par Yann avant le départ ! Je ne peux que constater les dégâts : ça s’effrite devant moi. Julien me double en costaud et m’encourage, il remonte et recolle. Pas moi. Je vois le paquet s’éloigner, enfin pas tout à fait, j’arrive pendant un moment à maintenir l’écart, à revenir sur un autre mec, que je double pour repartir vers le suivant etc…mais à chaque fois que je quitte un concurrent le peloton s’éloigne devant ! C’est fin...je coupe mon effort ! Je me retrouve dans un groupe de 4, on roule pas mal mais pas assez pour revenir. Dans la montée d’Arzay le groupe explose, je monte avec de bonnes sensations cardio mais des jambes en plein travaux. Je passe seul au sommet, je récupère en descente, mais arrivé en bas…un boulet…avec le vent je n’entends pas ce que dit le signaleur, mais il m’indique physiquement d’aller à droite…….Ah si j’avais étudié ou reconnu le parcours…où si j’avais collé au peloton…me revoilà lancé pour un tour de piste…quelques kms après l’erreur de route je m’arrête avec un partenaire d’infortune (qui devait être derrière moi dans la descente) auprès d’un signaleur, il n’est pas du coin et ne semble pas connaître le tracé, il nous indique juste de continuer dans le sens de la course plutôt que de faire demi-tour, et on obéit sagement, parce qu’on aime ça pédaler contre le vent ! Je m’arrête au signaleur suivant, pas mon collègue. Me voilà seul donc, en mode foncier pour finir la 2ème boucle. En repartant vers le point de départ, donc en roulant vers le nord-ouest, je souffre un peu moins du vent du Sud, mais faut bien s'accrocher quand même ! Je repars à appuyer sur les pédales, pour faire les 23 derniers kms à 40 de moyenne. Je suis rattrapé par les juniors, 2 échappées AG2R, c’est beau de se faire doubler par des vrais cyclistes ! Ensuite je suis doublé par un groupe de poursuivants, mené par qui ? des AG2R... puis 5 minutes plus tard par un autre groupe d’une douzaine de coureurs. Je m’accroche à ce dernier, sans trop de difficultés, je ne sais pas si j’ai le droit mais je ne pense pas gêner. Puis voyant que ça tourne bien, en 2 rangées, celle de droite qui remonte et celle de gauche qui descend, je m’incruste pour faire le job, par politesse…sauf qu’arrivé en pointe on me fait comprendre que je n’ai rien à foutre là (« dégage ! », « tu dois pas rester dans les roues ! » etc…), donc je sors gentiment et je les laisse entre péteux. Il me reste 4kms, tranquillou ! 85kms au lieu de 65, et 33.4 de moyenne, ça fait un bon entraînement, et une 1ère expérience bonne à prendre ! en:
A partir de là et pendant 1h environ, je commets l’erreur de débutant que je suis de vouloir rester trop souvent devant, à me jeter sur une bonne partie des accélérations. Julien me le rappelle 2 fois... Je ne regarde pas le cardio mais je sens que j’explore plusieurs fois la zone rouge, et surtout aïe aux jambes, mais AIE putain !! A chaque bosse, je souffre, je vois la quasi-totalité du peloton me doubler… À chaque « sommet » je bascule dans les derniers, avec obligation de relancer pour rester au contact, et me cramer un peu plus. Chose positive, je me sens à l’aise en peloton, je me positionne, je remonte, je me laisse descendre, je relance etc...être serré ne m’inquiète guère, il faut juste rester concentré et vigilant. Arrivé au carrefour de Pommier-de-Beaurepaire, virage à angle droit avant une longue ligne droite d’environ 4 kms, je suis donc en queue de peloton, et badaboum une nouvelle bordure, comme prévu par Yann avant le départ ! Je ne peux que constater les dégâts : ça s’effrite devant moi. Julien me double en costaud et m’encourage, il remonte et recolle. Pas moi. Je vois le paquet s’éloigner, enfin pas tout à fait, j’arrive pendant un moment à maintenir l’écart, à revenir sur un autre mec, que je double pour repartir vers le suivant etc… mais à chaque fois que je quitte un concurrent le peloton s’éloigne devant ! C’est fini... je coupe mon effort ! Je me retrouve dans un groupe de 4, on roule pas mal mais pas assez pour revenir. Dans la montée d’Arzay le groupe explose, je monte avec de bonnes sensations cardio mais des jambes en plein travaux. Je passe seul au sommet, je récupère en descente, mais arrivé en bas… un boulet… avec le vent je n’entends pas ce que dit le signaleur, mais il m’indique physiquement d’aller à droite…….Ah si j’avais étudié ou reconnu le parcours… où si j’avais collé au peloton… me revoilà lancé pour un tour de piste… quelques kms après l’erreur de route je m’arrête avec un partenaire d’infortune (qui devait être derrière moi dans la descente) auprès d’un signaleur, il n’est pas du coin et ne semble pas connaître le tracé, il nous indique juste de continuer dans le sens de la course plutôt que de faire demi-tour, et on obéit sagement, parce qu’on aime ça pédaler contre le vent ! Je m’arrête au signaleur suivant, pas mon collègue. Me voilà seul donc, en mode foncier pour finir la 2ème boucle. En repartant vers le point de départ, donc en roulant vers le nord-ouest, je souffre un peu moins du vent du Sud, mais faut bien s'accrocher quand même ! Je repars à appuyer sur les pédales, pour faire les 23 derniers kms à 40 de moyenne. Je suis rattrapé par les juniors, 2 échappées AG2R, c’est beau de se faire doubler par des vrais cyclistes ! Ensuite je suis doublé par un groupe de poursuivants, mené par qui ? des AG2R... puis 5 minutes plus tard par un autre groupe d’une douzaine de coureurs. Je m’accroche à ce dernier, sans trop de difficultés, je ne sais pas si j’ai le droit mais je ne pense pas gêner. Puis voyant que ça tourne bien, en 2 rangées, celle de droite qui remonte et celle de gauche qui descend, je m’incruste pour faire le job, par politesse… sauf qu’arrivé en pointe on me fait comprendre que je n’ai rien à foutre là (« dégage ! », « tu dois pas rester dans les roues ! » etc…), donc je sors gentiment et je les laisse entre péteux. Il me reste 4 kms, tranquillou ! 85 kms au lieu de 65, et 33.4 de moyenne, ça fait un bon entraînement, et une 1ère expérience bonne à prendre ! 03/04/2018 21:57
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Ligne 35 modifiée:
Je suis épuisé musculairement, je sors de mon plus gros mois d’entraînement depuis toujours : 26 activités en 31 jours, avec souvent de l’intensité. Il y a encore 2 semaines ma stratégie était de me flinguer sur mars, pour récupération et sur-compensation première semaine d’avril, avec 1ère course le 8...Tant pis, on y va avec la bite et le couteau, l’objectif est clairement d’apprendre à rouler en peloton. en:
Je suis épuisé musculairement, je sors de mon plus gros mois d’entraînement depuis toujours : 26 activités en 31 jours, avec souvent de l’intensité. Il y a encore 2 semaines ma stratégie était de me flinguer sur mars, pour récupération et sur-compensation première semaine d’avril, avec 1ère course le 8... Tant pis, on y va avec la bite et le couteau, l’objectif est clairement d’apprendre à rouler en peloton. Lignes 37-41 modifiées:
Sur l’autoroute entre Aiguebelette et Bourgoin, je sens assez bien les grosses rafales de vent de côté sur ma toute petite 108, qui m’obligent à serrer un peu plus le volant. Pensant que mon vélo et moi sommes environ 8 fois plus léger que la voiture, j’imagine qu’il va falloir s’accrocher sérieusement au guidon cet après-midi ! Les arbres penchées vers la droite ne font que confirmer cela, et je commence à me dire qu’on va tous souffrir ! Le parking, ce lieu où tout le monde se change, s’observe, patiente, vérifie son vélo etc…je retrouve Antoine et Fabien Lorigeon, puis Julien Marletaz. Je tombe dans le piège du bavardage ! On s’accroche nos dossards, on se briefe sur le parcours ainsi que les endroits stratégiques, j’essaie de mémoriser tout ça, mais ne connaissant pas la région, je n’ai pas de repère et d’image à associer au texte ! Du coup je préfère retenir qu’il faudra continuellement être bien placé, rester à l’abri mais plutôt devant.
en:
Sur l’autoroute entre Aiguebelette et Bourgoin, je sens assez bien les grosses rafales de vent de côté sur ma toute petite 108, qui m’obligent à serrer un peu plus le volant. Pensant que mon vélo et moi sommes environ 8 fois plus léger que la voiture, j’imagine qu’il va falloir s’accrocher sérieusement au guidon cet après-midi ! Les arbres penchés vers la droite ne font que confirmer cela, et je commence à me dire qu’on va tous souffrir ! Le parking, ce lieu où tout le monde se change, s’observe, patiente, vérifie son vélo etc… je retrouve Antoine et Fabien Lorigeon, puis Julien Marletaz. Je tombe dans le piège du bavardage ! On s’accroche nos dossards, on se briefe sur le parcours ainsi que les endroits stratégiques, j’essaie de mémoriser tout ça, mais ne connaissant pas la région, je n’ai pas de repère et d’image à associer au texte ! Du coup je préfère retenir qu’il faudra continuellement être bien placé, rester à l’abri mais plutôt devant.
Lignes 44-46 modifiées:
Le départ est donné après de longues minutes d’attente. Pour quitter le parking et retrouver la route il faut passer une bosselette de 100m, à mi pente j’aperçois déjà le peloton qui s’étire et s’éloigne à gauche sur la route, et j’ai déjà de mauvaises sensations dans cette putain de montée ridicule…ça promet ! Je fais donc un 1er effort, pour remonter le peloton et me replacer, sur le kilomètre qui nous amène au départ réel en passant sous l’arche de départ/arrivée. A partir de là et pendant 1h environ, je commets l’erreur de débutant que je suis de vouloir rester trop souvent devant, à me jeter sur une bonne partie des accélérations. Julien me le rappelle 2 fois...Je ne regarde pas le cardio mais je sens que j’explore plusieurs fois la zone rouge, et surtout aïe aux jambes, mais AIE putain !! A chaque bosse, je souffre, je vois la quasi-totalité du peloton me doubler…À chaque « sommet » je bascule dans les derniers, avec obligation de relancer pour rester au contact, et me cramer un peu plus. Chose positive, je me sens à l’aise en peloton, je me positionne, je remonte, je me laisse descendre, je relance etc...être serré ne m’inquiète guère, il faut juste rester concentré et vigilant. en:
Le départ est donné après de longues minutes d’attente. Pour quitter le parking et retrouver la route il faut passer une bosselette de 100m, à mi pente j’aperçois déjà le peloton qui s’étire et s’éloigne à gauche sur la route, et j’ai déjà de mauvaises sensations dans cette putain de montée ridicule… ça promet ! Je fais donc un 1er effort, pour remonter le peloton et me replacer, sur le kilomètre qui nous amène au départ réel en passant sous l’arche de départ/arrivée. A partir de là et pendant 1h environ, je commets l’erreur de débutant que je suis de vouloir rester trop souvent devant, à me jeter sur une bonne partie des accélérations. Julien me le rappelle 2 fois... Je ne regarde pas le cardio mais je sens que j’explore plusieurs fois la zone rouge, et surtout aïe aux jambes, mais AIE putain !! A chaque bosse, je souffre, je vois la quasi-totalité du peloton me doubler…À chaque « sommet » je bascule dans les derniers, avec obligation de relancer pour rester au contact, et me cramer un peu plus. Chose positive, je me sens à l’aise en peloton, je me positionne, je remonte, je me laisse descendre, je relance etc...être serré ne m’inquiète guère, il faut juste rester concentré et vigilant. 03/04/2018 21:54
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Lignes 42-43 modifiées:
On part s’échauffer avec Fabien, 10min, 2 petits sprints histoire de faire monter le cardio…ça restera le pire échauffement de l’histoire des échauffements ! En revenant on entend l’organisation qui relance pour l’appel. On se regroupe tous. Yann m’indique que je fais probablement partie des 10 plus costauds de notre groupe d’environ 70 coureurs. Costaud physiquement certe, mais complètement inexpérimenté. Dans ma tête, je me dis que si le niveau d’un cycliste se décompose en deux parties à 50% de physique et 50% d'expérience, je ne suis qu’une moitié de cycliste, et sur les 50% physiques je ne suis assurément pas au top du tout ! Donc je m’attends à morfler ma race, et c’est cool : première compétition, de mauvaises jambes, du vent à faire décoller des parapentes à l’arrêt, un échauffement pourri, c’est la promesse d’une après-midi épique ! en:
On part s’échauffer avec Fabien, 10 min, 2 petits sprints histoire de faire monter le cardio… ça restera le pire échauffement de l’histoire des échauffements ! En revenant on entend l’organisation qui relance pour l’appel. On se regroupe tous. Yann m’indique que je fais probablement partie des 10 plus costauds de notre groupe d’environ 70 coureurs. Costaud physiquement certes, mais complètement inexpérimenté. Dans ma tête, je me dis que si le niveau d’un cycliste se décompose en deux parties à 50% de physique et 50% d'expérience, je ne suis qu’une moitié de cycliste, et sur les 50% physiques je ne suis assurément pas au top du tout ! Donc je m’attends à morfler ma race, et c’est cool : première compétition, de mauvaises jambes, du vent à faire décoller des parapentes à l’arrêt, un échauffement pourri, c’est la promesse d’une après-midi épique ! Ligne 52 modifiée:
Sur le parking je retrouve Fabien et Antoine, qui avaient deviné pour mon tour bonus, puis qui m’expliquent alors la chute de Yann, au sprint ! J’oublie rapidement les kilomètres en trop et ce foutu le vent, je ne peux m’empêcher de relativiser et penser qu’en étant pas dans le peloton j’ai peut-être évité la chute, justement car je connais les compétences de Yann en placement et j’aurais tout fait pour le coller ! On voit à ce moment l’ambulance passer. Heureusement il n’a pas grand-chose, c’est costaud un Isérois ! Ensuite je croise mon collègue de galère, qui m’explique que le 2ème cycliste à avoir chuté est son frère, donc il file le rejoindre aux urgences. Je retrouve Julien, qui me donne plus de détails sur ce sprint, et la rafale de vent qui a provoqué l’écart. en:
Sur le parking je retrouve Fabien et Antoine, qui avaient deviné pour mon tour bonus, puis qui m’expliquent alors la chute de Yann, au sprint ! J’oublie rapidement les kilomètres en trop et ce foutu vent, je ne peux m’empêcher de relativiser et penser qu’en étant pas dans le peloton j’ai peut-être évité la chute, justement car je connais les compétences de Yann en placement et j’aurais tout fait pour le coller ! On voit à ce moment l’ambulance passer. Heureusement il n’a pas grand-chose, c’est costaud un Isérois ! Ensuite je croise mon collègue de galère, qui m’explique que le 2ème cycliste à avoir chuté est son frère, donc il file le rejoindre aux urgences. Je retrouve Julien, qui me donne plus de détails sur ce sprint, et la rafale de vent qui a provoqué l’écart. 03/04/2018 21:45
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Ligne 16 modifiée:
Beaucoup de vent et quelques mésaventures pour les deux TVS engagés, parmi lesquels Bastien pour qui il s'agissait de la toute première course de vélo. Un échauffement minimaliste, une erreur d'orientation et des classements hétéroclites à l'arrivée : une 12ème place pour Julien et... la dernière pour Bastien ! en:
Beaucoup de vent et quelques mésaventures pour les deux TVS engagés, parmi lesquels Bastien pour qui il s'agissait de la toute première course de vélo. Un échauffement minimaliste, une erreur d'orientation et des classements hétéroclites à l'arrivée : une 12ème place pour Julien et... la dernière pour Bastien ! Fabien ne figure pas au classement, on attend ses explications ! 03/04/2018 21:44
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Ligne 50 modifiée:
En repartant vers le point de départ, donc en roulant vers le nord-ouest, je souffre un peu moins du vent du Sud, mais faut bien s'accrocher quand même ! Je repars à appuyer sur les pédales, pour faire les 23 derniers kms à 40 de moyenne. Je suis rattrapé par les juniors, 2 échappées AG2R, c’est beau de se faire doubler par des vrais cyclistes ! Ensuite je suis doublé par un groupe de poursuivants, mené par qui ? des AG2R... puis 5 minutes plus tard par un autre groupe d’une douzaine de coureurs. Je m’accroche à ce dernier, sans trop de difficultés, je ne sais pas si j’ai le droit mais je ne pense pas gêner. Puis voyant que ça tourne bien, en 2 rangées, celle de droite qui remonte et celle de gauche qui descend, je m’incruste pour faire le job, par politesse…sauf qu’arrivé en pointe on me fait comprendre que je n’ai rien à foutre là (« dégage ! », « tu dois pas rester dans les roues ! » etc…), donc je sors gentiment et je les laisse entre péteux. Il me reste 4kms, tranquillou ! 85kms au lieu de 65, et 33.4 de moyenne, ça fait un bon entraînemen, et une 1ère expérience bonne à prendre ! en:
En repartant vers le point de départ, donc en roulant vers le nord-ouest, je souffre un peu moins du vent du Sud, mais faut bien s'accrocher quand même ! Je repars à appuyer sur les pédales, pour faire les 23 derniers kms à 40 de moyenne. Je suis rattrapé par les juniors, 2 échappées AG2R, c’est beau de se faire doubler par des vrais cyclistes ! Ensuite je suis doublé par un groupe de poursuivants, mené par qui ? des AG2R... puis 5 minutes plus tard par un autre groupe d’une douzaine de coureurs. Je m’accroche à ce dernier, sans trop de difficultés, je ne sais pas si j’ai le droit mais je ne pense pas gêner. Puis voyant que ça tourne bien, en 2 rangées, celle de droite qui remonte et celle de gauche qui descend, je m’incruste pour faire le job, par politesse…sauf qu’arrivé en pointe on me fait comprendre que je n’ai rien à foutre là (« dégage ! », « tu dois pas rester dans les roues ! » etc…), donc je sors gentiment et je les laisse entre péteux. Il me reste 4kms, tranquillou ! 85kms au lieu de 65, et 33.4 de moyenne, ça fait un bon entraînement, et une 1ère expérience bonne à prendre ! 03/04/2018 21:43
par -
Lignes 10-11 modifiées:
en:
Lignes 55-58 supprimées:
Lignes 58-62 modifiées:
en:
Le commentaire de Fabien : (A venir) 03/04/2018 21:42
par -
Ligne 32 ajoutée:
03/04/2018 21:41
par -
Ligne 33 ajoutée:
Ligne 37 ajoutée:
Ligne 40 ajoutée:
Ligne 42 ajoutée:
Ligne 44 ajoutée:
Ligne 46 ajoutée:
Ligne 48 ajoutée:
Ligne 50 ajoutée:
Ligne 52 ajoutée:
03/04/2018 21:41
par -
Lignes 31-32 modifiées:
(à venir) en:
Le grand jour !
Lignes 52-54 modifiées:
Le commentaire de Julien : (à venir) en:
03/04/2018 21:35
par -
Lignes 16-17 modifiées:
Beaucoup de vent et quelques mésaventures pour les deux TVS engagés, parmi lesquels Bastien pour qui il s'agissait de la toute première course de vélo. Un échauffement minimaliste, une erreur d'orientation et des classements hétéroclites... 12ème pour Julien et... dernier pour Bastien ! en:
Beaucoup de vent et quelques mésaventures pour les deux TVS engagés, parmi lesquels Bastien pour qui il s'agissait de la toute première course de vélo. Un échauffement minimaliste, une erreur d'orientation et des classements hétéroclites à l'arrivée : une 12ème place pour Julien et... la dernière pour Bastien ! Ligne 25 modifiée:
Parti comme un taré avec déjà 190 pulses au bout de seulement 500 mètres de course, j’ai mis un tour à reprendre mon souffle avant ensuite de remonter pas mal de concurrents pour finir à bout de forces, bien sec ! en:
(A venir) 03/04/2018 21:34
par -
Lignes 1-58 ajoutées:
(:table:)
En résumé : Beaucoup de vent et quelques mésaventures pour les deux TVS engagés, parmi lesquels Bastien pour qui il s'agissait de la toute première course de vélo. Un échauffement minimaliste, une erreur d'orientation et des classements hétéroclites... 12ème pour Julien et... dernier pour Bastien ! Voir le classement (:photo Bast-Ju.jpg taille=600 lien=visu:)
Le commentaire de Julien : Parti comme un taré avec déjà 190 pulses au bout de seulement 500 mètres de course, j’ai mis un tour à reprendre mon souffle avant ensuite de remonter pas mal de concurrents pour finir à bout de forces, bien sec ! Le commentaire de Bastien : (à venir) Le commentaire de Julien : (à venir)
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