Dans l'enfer du Vercors

Par Franck P

Dimanche 29 mai avait lieu le Challenge du Vercors, course cyclosportive disputée sur 168 km sur les routes du plateau du Vercors.
TVS représenté par 7 coureurs (Pierre, Radu, Franck C, Eddy, Benoît, Edouard et Marc) qui, pour certains, ont rencontrés quelques légers "problèmes"...


Les récits de chacun :

Et on commence avec Eddy pour qui la fête aura été de courte durée :
"CREVAISON ... donc ABANDON après seulement 5 kilomètres à l'entrée dans Autrans ! Jusque là rien de grave sauf que la pompe fait des caprices et casse subitement ... Et là pas d'assistance, la camion balai sans aucune pompe (merci Sport communication pour le prix de l'engagement et la non-assistance en cas de problème). Donc, retour en partie à pied avant de trouver un compagnon de galère ayant crevé un peu plus loin et qui m'a sauvé dans ma galère de retour sur Méaudre en faisant le même chemin retour que moi. J'étais donc de retour pour le repas de la fête des mères, ce qui était bien le plus important finalement... Dommage tout de même car les sensations étaient bonnes en cette matinée bien fraîche sur le Vercors. Revanche la semaine prochaine au Raid des Alpilles".


De son côté, Benoît, engagé sur le 100 km, n'a pas été épargné non plus par les pépins techniques mais est allé au bout :
J'ai disputé ce challenge en compagnie d'un ami avec lequel je roule de temps en temps et pour qui c’était la toute première cyclosportive. Nous avons prévu de faire l'Etape du Tour "Modale-L’Alpe d’Huez" ensemble et je lui avais conseillé de faire le challenge pour s’habituer à rouler en groupe.
Nous avons donc pris un départ très tranquille. A l’entrée d’Autrans (après 5 km), j’ai vu le malheureux Eddy sur le bord de la route, victime d'une crevaison. Puis, à la faible vitesse à laquelle je roulais, j'ai aussi vu Edouard me rattraper dans Autrans. Comme j’attendais mon ami, assez impressionné par l'allure du départ, je laisse filer Edouard sur les premières pentes de la Croix Perrin.
Puis c'est au tour de Radu de revenir à notre hauteur. Nous discutons un peu puis je le laisse filer aussi. La suite, c'est un travail spécifique avec montées rapides et alternées au cardio et attentes de mon ami en haut des cols. Dans les vallées, je visse un peu avec mon ami bien calé dans la roue, à l’abri.
Enfin j'ai aussi croisé Marc au ravitaillement de St Aignan. Il m’a expliqué ses mésaventures.
Sur le retour, au pied du col d’Herbouilly, je crève de la roue avant à la suite d'une hernie sur la chambre à air. Le pneu était déjanté sur 10cm ! Heureusement que la crevaison n’est pas survenue en descente sinon je ne vous raconte pas les dégâts...
En conclusion : une balade sympa avec un peu de frustration toutefois compensée par la possibilité qui m'a été faite de réaliser quelques exercices.
Benoit se classe 378ème du parcours 100 km en 4h48


Edouard s'est lui aussi inscrit sur le 100 km.
"C'est au dernier moment que je me suis décidé à disputer le Challenge et ma principale satisfaction est d'avoir évité les chutes ! Les sensations étaient plutôt bonnes compte-tenu du faible kilométrage que j'ai accumulé cette saison (1500 kms) mais le retour sur Herbouilly a été un peu dur sur le final. Une statistique pour l'illustrer : en bas d'Herbouilly, j'étais à 36 de moyenne et à l'arrivée à Méaudre à seulement 28,5... Je finis 205ème en 3h45 et me classe 74ème de ma catégorie. Bref, un bon début à suivre !"


Franck C, un peu à court d'entraînement cette saison, a préféré opter lui aussi pour le parcours intermédiaire (100 km) :
"Après un départ assez rapide et après avoir évité plusieurs chutes, la montée du col de la Croix Perrin me livre de bonnes indications sur ma réelle condition physique du moment et m invite à rester prudent. Avec seulement 1000 bornes au compteur cette saison, il ne s'agit pas de s'enflammer ! Du coup, je reste calé dans un bon groupe et termine 145ème en 3h29. De retour à la maison avant 13h00, j'ai même pu célébrer la fête des mères... finalement, c'était ça le challenge !"


Pour Radu, engagé sur le grand parcours, la course semble n'avoir été qu'un long fleuve tranquille :
"Cette année le grand parcours était très difficile, avec une remontée sur Herbouilly, tout à la fin, soit 169km. J'ai eu des crampes 3km avant Méaudre, ce qui m'a un peu ralenti, suffisamment pour rater le brevet d'or de 2 minutes ! Je termine en 7h14min38s. Je ne connais pas encore mon classement."
Radu se classe 285ème.


Pierre, lui, a souffert mais a réussi, en fin de compte, un beau Challenge :
"Je termine 39ème sur le grand parcours. J'aurais sans doute pu mieux faire si je n'avais pas tétanisé dans la descente d'Herbouilly et celle des Grands Goulets qui a suivi, ce qui m'a empêché de rester avec le 1er ou 2eme groupe. Les jambes faisaient mal au bout d'un moment dans les parties peu pentues et puis j'ai finalement retrouvé de très bonnes sensations dans la dernière montée (pentue) d'Herbouilly qui est apparue comme l'épouvantail de la course, en retardant la grosse bagarre qui a lieu généralement plus tôt par son autre versant après le départ."
Pierre boucle le grand parcours en 5h19, à 27 minutes du vainqueur.



Mais la palme de la plus belle galère (et du récit le plus palpitant) revient incontestablement à Marc pour qui le Challenge du Vercors s'est terminé... dans le décor ! Appréciez plutôt :
"Et oui, grosse chute à près de 70 km/h dans le bas de la descente d'Herbouilly (le fameux virage à droite qui se ferme... et que je sais être hyper piégeur). Cette fois c'est moi qui suis tombé dans les mailles du filet lancé par la grande faucheuse.
Les détails techniques ? Petit blocage de la roue arrière, boyau qui éclate et qui déjante, et là, plus de contrôle sur ce verglas virtuel et un brave plongeon dans le talus avec une culbute sur 10 mètres en contrebas, heureusement amortie par les feuilles et la mousse.
Je reste sonné quelques minutes, complètement seul et ignoré du reste de la course. Personne ne sait que je suis là et, un bref instant, je me dis que cela aurait fait une belle mort, là, à la fraîche, paisible au milieu des oiseaux qui gazouillent et des senteurs d'humus.
Mais non, je me ressaisis, on n'est pas des poètes chez TVS, il faut reprendre le vélo pour finir la course : un rapide contrôle sur le R3, rien n'a bougé à part le boyau déchiqueté et la jante en carbone passablement écornée, ça va le faire. Tout à coup une douleur fulgurante aux côtes m'en dissuade, je dois avoir quelque chose de fêlé. Je me lance finalement comme défi de remonter cette pente herbeuse pas si évidente avec des cales aux pieds.
Au bout d'une minute à ahaner avec le vélo sur l'épaule et les pieds dans la gadoue, je triomphe de mon "Alpe d'Huez" du jour en rejoignant ce cher bon vieux bitume.
Après quelques minutes d'attente passé avec un suiveur sympa du Team Chamrousse, voici les gentils secouristes qui m'embarquent, moi et mon R3, dans le fourgon sanitaire.
FIN DE LA COURSE
Bon. Vous vous demandez comment j'en suis arrivé là (dans le talus, je veux dire) ? Eh bien, pour cela, il faut rembobiner le film de la course...
Départ hyper rapide comme prévu. Mal placé au départ, je remonte rapidement les groupes dans la plaine vers Autrans. Déjà un premier avertissement de la dame en noir : presque devant moi, un groupe de 7 à 8 coureurs s'emmêle et chute, certains basculant tête bêche la tête la première dans le champ sur le côté. Pas le temps de s'arrêter, de toute façon ils sont assez visibles pour les secours.
La grimpée du col de la Croix-Perrin est très rythmée : je monte à 360-370 watts, soit légèrement au-dessus de mon seuil, avec même une pointe au-dessus de 400 watts sur la fin. Je dépasse Franck qui n'a pas l'air au mieux. Je bascule et entame la descente facile mais relativement rapide. Là, deuxième avertissement : dans le dernier virage à gauche un peu serré, 3 gars chutent devant moi, je freine et passe à 1 mètre du désastre. Mais, comme le dit si bien Patrick, "le vélo est un sport d'hommes" et il m'en faut plus pour m'émouvoir...
Au pied du col d'Herbouilly, je suis dans un bon groupe d'une quarantaine d'unités, apparemment le deuxième derrière celui dans lequel se trouve Pierre, 1 à 2 minutes devant nous. Là, je gère, je fais un peu l'élastique en fin de paquet, car je ne veux absolument pas me mettre dans le rouge, je sais qu'il faut garder de l'énergie pour le final retour d'Herbouilly. Donc, je me limite à 340/350 watts (mon seuil anaérobie), et pour en rajouter une couche, je m'oblige à mettre mon plus petit développement (34x25) dans le dernier kilomètre, très pentu, afin de bien tourner les jambes.
Je suis à 20 mètres de l'arrière du paquet, mais là, voilà que les gars accélèrent en vue du sommet. Mais qu'est-ce qu'ils s'imaginent ? Qu'il y a les points du meilleur grimpeur trophée Chocolat Poulain à récupérer ? Qu'ils vont faire le trou alors qu'il y a 25 km de descente derrière ? Je laisse faire mais j'enrage car le mal de jambes est bien présent.
D'accord, ils vont voir à qui ils ont affaire...
Une fois dans la descente, je les aperçois en fil indienne, 80 mètres devant moi. Je sais que je vais les reprendre, la descente est hyper technique et dangereuse.
Pour faire bonne mesure, je suis accompagné d'un gars visiblement dans les mêmes dispositions que moi. Nous faisons durer le plaisir et ne forçons pas dans les premiers faux plats descendants. Nous leur laissons même prendre un peu plus d'avance, environ 150 mètres.
Puis, tout à coup cela descend vraiment. Nous sommes dans une portion à 10%. Je lâche les chevaux, balance le vélo de droite à gauche alternativement dans les enchaînements : ivresse de la vitesse, sentiment de maîtrise absolue, freinages tardifs, relances toniques, et surtout position de recherche de vitesse le plus profilé possible dans les grands bouts droits le long de la falaise. Mon Cervélo surfe sur les petites bosses comme sur les vagues de l'océan. Je me prends pour un aigle qui fond littéralement sur les petits agneaux apeurés du peloton. J'en rigole intérieurement, moi je suis décidément un brave, pas comme eux !
Pour finir de les impressionner, je slalome entre les derniers du paquet que nous reprenons les uns après les autres. La fin de la descente approche, je suis bien, il va falloir songer à bien récupérer jusqu'au pied du col de la Machine, je vais faire de la patinette.
Tiens, voici le dernier virage serré à droite dans lequel, tous les ans, tant et tant de maladroits ou d'inconscients se sont gamellés. Pas question que je me plante moi aussi, alors je vais ralentir : coup de frein, petit blocage de la roue arrière et... on connait la suite !
(P.S. : c'est fou comme le cerveau travaille à 100 à l'heure lorsqu'on est sur le vélo !)

Aux dernières nouvelles, notre "cascadeur" a passé une radio de contrôle et s'en sort avec trois côtes cassées... Son objectif qui était de remonter au plus vite sur son vélo pour poursuivre la préparation de la Marmotte (et aussi pour chasser le plus vite possible l'appréhension qui risque de germer dans sa tête en descente) est peut-être compromis. Le vélo, à priori, n'a rien, seule la roue arrière est amochée.


DIDIER30 mai 2011, 11:03

Ah Marc j'espère que tu vas bien et tu m'as bien faire rire. Beau récit, du coup ils n'ont pas vu à qui ils avaient affaire !!!!

Patrick30 mai 2011, 13:22

Article très intéressant sur vos vécus de la course. Bravo a tous !
Et notamment bravo a Marc pour son récit particulièrement détaillé. J'y suis très sensible ayant déja vécu des situations identiques, de gestion de fin de bosse, de sensations de voler en descente avec un sentiment de maîtrise absolue, de chutes par dépassements des limites (parfois en rigolant en pensant "moi je suis décidément un brave, pas comme eux !"), l’étonnement d'être encore vivant assis a coté de son vélo après un gros vol ...
Par contre, je ne peux pas dire "le vélo est un sport d'hommes" avec ces mots... Ca passe pas à la maison... Mais je confirme l'avis, faut pas se laisser émouvoir, toute chute évitée est à oublier tout de suite comme si rien ne s’était passé. Les chutes non évitées aussi, mais là ça prend plus de temps... (je connais une femme qui sait faire, et qui l'a montré bien trop souvent !)
J’espère que toi et ton vélo vont toujours bien aujourd'hui. Les mauvaises surprises se découvrent souvent les jours suivants. En tout cas, ça m'a vraiment l'air de ce que l'on peut faire mieux comme chute, un environnement remarquable, de la vitesse, un envol exceptionnel, et tout compte fait, des dégâts raisonnablement limités. En tout, à la lecture de ton récit on peut dire que la tête va bien !
Mais c'est que ca commence a faire une belle série de chutes pour les TronchaVéloiS cette saison !
Et puis quand même bravo à Pierre pour sa performance. C'est dommage de perdre des places dans les descentes. Mais c'est comme pour les watt de la montée, la descente, ca se travaille. Marc va te montrer comment se lâcher un peu !

Franck P30 mai 2011, 13:45

@Patrick : aaah, je savais que tu ne serais pas insensible au récit de Marc ! Et dire qu'il ne souhaitait pas le rendre public, ce récit, pensant que les lecteurs allaient le prendre pour un barge. En ce qui me concerne, c'est l'un des meilleurs récits de course (et d'accident) qu'il m'ait été donné de lire ! Cela dit, Marc, je préfèrerais que, à l'avenir, tu ne t'envoies pas trop souvent en l'air, même si ça fait de supers articles sur le site Web du club à l'arrivée !

Karl30 mai 2011, 21:14

Ahlala, j'ai comme l'impression que les galères viennent souvent perturber les Tronchois. Marc ton récit est palpitant, bravo aux autres pour avoir bien fini, et dommage pour la crevaison d'Eddy après...5km.
En tout cas merci, n'ayant pas participé à une cyclo, je peux maintenant mesurer toutes les difficultés qu'il peut y avoir à s'y engager, donc euh... je vais y réfléchir!

Voyard30 mai 2011, 22:41http://voyard.free.fr/pmwiki

Moi ça me rappelle des souvenirs ! Je décide de faire une descente en vélo d'un col des Pyrénées (oui, je suis un peu branleur et préfère descendre que monter). Mon pot prend le volant de ma Panda mais ne prend pas le temps de trouver la 2eme. Tête sous le tableau de bord, il cherche ! Il démarre et je commence à déjà bien rouler. J'entends subitement le moteur de la panda bien trop présent à mes oreilles. Je tourne la tête ! Putain ! Il est sur moi ! Je gueule comme un putois ! Qu'une solution ultime ! Le fossé ! Je déboule, roule et me fais brosser par les ronces et les orties ! Je ne ressemble plus à rien ou à pas grand chose... Je crois que je lui en veux un peu...

Pedro

Patrick30 mai 2011, 22:45

@Eddy : C'etait ta petite pompe en carbone ? Ouais, faut faire gaffe avec ces petites pompes. Ce n'est pas fait pour des crevaisons dans les premiers km, il reste trop encore trop d'énergie...

Pierre31 mai 2011, 06:55

Bravo à tous les participants. Les premières Ufolep étaient pas fameuses cette année, et puis cela est monté en puissance par la suite. Le groupe des cyclos TVS va sûrement prendre le même chemin. Oui Patrick, les descentes se travaillent et si je veux faire un résultat sur une course en montagne, je fais au moins une fois la descente à l'entrainement mais là ce ne fut pas le cas et la différence s'est sentie.

Eddy02 juin 2011, 11:35

@Patrick : Oui. Depuis, elle est changée par quelque chose de plus solide, mais un peu plus lourd évidemment ....! On ne peut pas tout avoir ! Enfin, je préfère ma mésaventure à celle de l'ami Marc !

roderic05 juin 2011, 11:31

Bravo à tous les participants,l'essentiel est de prendre du plaisir!!!!Marc rétablis toi bien,au niveau des côtes j'ai déjà donné.Le plus gênant c'est quand tu te mets en danseuse.En tous cas très beau récit!!
Eddy t'as vraiment pas de chance sur ce coup là,en plus tu pètes ta pompe,te connaissant tu devais être très joyeux sur l'instant!!!De mon côté je ne la ramène pas trop,hier j'ai fait la Claudio Chiappucci,en côte d'or.Un parcours de 161 kms,avec 2000 mètres de dénivelé et de très nombreuse portions à 9,10%.Le tour bouclé en 5h30 environ,pas trop préparé pour cette distance,j'ai fait un malaise une demi heure après l'arrivée,une chute de tension!!La distance+la chaleur y sont pour quelque chose à mon avis.
Benoît,je suis d'accord avec toi,il valait mieux que tu crève au pied du col plutôt qu'en descente!!tu aurait pu faire un sacré soleil!!!
Franck C dommage que tu n'es pas encore la condition,je t'ai vu grimper les cols au stage,même si tu étais un peu court,tu n'amusais pas le terrain!!!!Tu aurais pu faire une bonne place sur cette cyclosportive.

Radu06 juin 2011, 10:42

Eddy, sans vouloir polémiquer, quelle est la différence de poids entre tes deux pompes et quelle est le rapport entre cette différence et le poids total (vélo + bonhomme) ? Si la différence entre les deux pompes est de 20gr et le poids total est de 80kg (10+70), cela fait un rapport en poids de 0,00025 soit un gain de 0,025% (ou 0.25 pour mille)! On peut s'amuser à calculer le gain énergétique sur 170km tenant compte des montées, des descentes et des parties plates, mais je laisse cet exercise aux spécialistes ! Ceci dit, pas de veine que la pompe casse sur une course. J'espère que tu vas pouvoir prendre ta revanche sur les cyclos à venir.

Patrick06 juin 2011, 13:21

Oui, la focalisation des cyclistes sur le poids du vélo fini vite par atteindre des niveaux peu rationnels. Mais le poids a l'avantage de se mesurer très simplement de manière fiable, ce qui n'est pas le cas de bien d'autres aspects impactant la performance. Et une pompe, c'est un poids mort qui ne sert à rien, dans quasi 100% des sorties... Du coup j'ai plein de pompes légères, dont certaines avec lesquelles je n'aimerai pas crever tout seul... Ceci dit je connais une personne capable de rendre hors d'usage en un instant une bonne vraie pompe normale et lourde en alu. Je ne donnerai pas son nom, mais simplement un indice, il est plein d'énergie et il casse régulièrement d'autres trucs comme des manivelles... Eviter de lui prêter vos pompinettes en carbone...

Radu06 juin 2011, 21:51

D'accord avec toi Patrick, mais je me dis, en bon vieux montagnard, qu'une pompe sert a gonfler correctement les pneus après une crevaison, et que des pneus mal gonflés c'est dangereux : donc une bonne pompe est un élément de sécurité ! Mais je comprends aussi la course aux grammes !

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Page créée le 30/05/11 par Franck P, mise à jour le 21/06/2011 00:45 par Franck P