Par Franck P
Le 05/05/2013
Course organisée par le Club de Chatonnay sur un circuit (très !) vallonné de 3,2 km.
TVS représenté par 5 coureurs :
- Patrick et Franck P en 1ère catégorie
- Vincent en 2ème catégorie
- Gabriel en 3ème catégorie
- Gianni en 4ème catégorie
En résumé :
En 1ère catégorie, 31 coureurs en lice. Le départ est rapide sous l'impulsion de Nicolas Bonnefond (UC Pontcharra) qui s'échappe dès le 1er tour. D'autres coureurs s'extirpent à leur tour et s'est un groupe de 5 coureurs qui se dispute la victoire (Olivier Picard s'impose détaché). Patrick et Franck P tiennent bon et sont plutôt actifs dans un peloton qui perd des éléments à chaque tour. Le paquet arrive pour la 10ème place (à confirmer) et Patrick se classe 12e. Franck termine 16e.
En 2ème caté (20 partants), le peloton s'écrème aussi au fil des tours. Ce qui reste du groupe initial se dispute l'arrivée au sprint et Vincent, les jambes un peu lourdes, se classe 8ème.
En 3ème caté (43 partants), Gabriel tient un bon moment dans le peloton avant de se faire décrocher après qu'un coureur ait mal négocié son virage et provoqué une cassure fatale...
En 4ème caté (20 partants), Gianni tient le premier tour puis décroche. Il finit mieux qu'il a commencé et, comme a son habitude, va jusqu'au bout pour prendre la 16ème place !
Les commentaires de Patrick :
Depuis toujours St Anne est pour moi une course de préparation par excellence. Enfin surtout ces dernières années ou l'entrainement se limite aux courses et au stage de Pâques. Dans mes meilleures années j'ai fait la course dans les échappées devant, pour terminer bien placé mais jamais gagnant. Au départ cette année j'avais un petit espoir de partir un moment avec les costauds pour faire un bout de chemin devant. Je laisse passer la première attaque, Nicolas qui fait le départ. Ensuite, Jérôme nous a fait des accélérations dans la bosse avec une facilité déconcertante, sans aucune violence, la force tranquille, et ça m'a tué le moral, en plus pile au passage, toujours le même, ou les jambes avaient mal. Restait Olivier. C'est parti doux aussi, j'aurais pu y aller, mais à force de me dire je bouche ou pas (ma vielle technique, laisser se former les échappés, et si c'est "la bonne", rentrer en injection, seul), j'ai fini par me dire "c'est trop tard". Ma vieille technique n'est plus au gout de mes vieilles jambes, et/ou de mes vieux neurones. Bref, la course était faite, rester a faire des watt. Notre peloton était assez dynamique, au moins au début, et je pense qu'il était composé de pas mal d’équipiers modèles, plus enclin à rouler sur ce qui bougeait qu'a tenter des choses. Enfin de toutes les manières la course était pliée depuis longtemps. J'ai fait des watt plus qu'espéré. Il faut remonter 5 ans en arrière au championnat Rhône-Alpes de Tain pour voir des puissances normalisées aussi hautes. Mais j'ai 3kg en plus qui s'accrochent trop bien cette année. Ca doit être le manque de soleil. Bref, vive le wattmètre qui permet de valoriser une course au résultat moyen...
Voila, reste à courir les objectifs 2013 : les 2 courses avec les vieux et une course à étape. Ca devrait aller, limite, mais on devrait pouvoir "faire" la course !
Patrick a fait mal à tout le monde lors d'une attaque à la mi-course
Les commentaires de Franck P :
Nous sommes 31 au départ et je ne m'attends pas à une partie de plaisir avec cette bosse casse-pattes à grimper 23 fois. Pas vraiment le profil que j'affectionne.
Les deux premiers tours sont difficiles, je suis en queue de peloton, à la planche, limite rupture, et je me demande bien comment je vais pouvoir tenir. L'idée d'abandonner m'effleure même l'esprit... Heureusement, le 3ème tour me rassure un peu : je remonte en tête de peloton et me sens mieux, même si l'ascension de la bosse, qui revient toutes les 5 minutes, est une vraie torture.
Entre temps, Nicolas Bonnefond, lourd comme deux allumettes, s'est déjà envolé dès le 1er tour avec un coureur de Rives dans sa roue. Ils seront rejoints par 3 autres coureurs partis en contre : Jérôme Giraud (Villard Bonnot), Laurent Lejeune (Voiron), et Olivier Picard (SCALE) que j'ai vu démarrer dans la bosse mais que je n'avais pas la force de suivre (c'est quand même plus facile de s'accrocher à sa roue quand c'est tout plat !).
Les 5 fuyards prennent de l'avance à chaque tour et l'on comprend assez vite qu'on ne les reverra pas, d'autant que notre peloton maigrit à vue d’œil à chaque tour : nous passons de 25 à 20, puis à 15 avant même la mi-course.
Patrick comme moi tentons quelques accélérations par moments, mais ça ne donne rien. Patrick est tout de même à deux doigts de me faire sauter à mi-course lorsqu'il choisit d'attaquer la bosse à bloc... Notre peloton se scinde en 3 groupes et il nous faut presque un tour de circuit pour le reconstituer. Je lui glisse un "enfoiré" quand je reviens à sa hauteur, et ça le fait bien rire.
Plusieurs coureurs parviennent toutefois à s'intercaler entre les échappées et le peloton. A deux tours de l'arrivée, je tente ma chance en attaquant dans le faux-plat descendant, juste histoire de me tester car il n'y a plus grand chose à gagner dans l'affaire. Je suis rejoint par un coureur de St-Martin d'Hères (Grégory Lutz) dans le faux-plat montant précédant la bosse. Je sais, pour l'avoir déjà vu à l'oeuvre, qu'il passe cette bosse bien plus facilement que moi et je ne suis donc pas surpris de le voir me décrocher dans la partie la plus raide. Ce qui reste du peloton me reprend à la fin de la bosse, alors qu'il ne reste plus qu'un tour à parcourir. Le coureur de St-Martin d'Hères, lui, ne sera pas rattrapé.
Dans le dernier tour, les plus costauds du paquet montent la bosse très fort et je ne suis pas loin de parvenir à les suivre. Il me manque juste 5 mètres au sommet pour rester au contact. Un groupe de 5, comprenant Patrick, s'est détaché dans l'opération et se lance dans un sprint d'assez loin, m’ôtant tout espoir de retour. Je finis à bloc quelques encablures derrière eux, pas mécontent d'en terminer et surtout satisfait d'avoir tenu jusqu'au bout sur une course pas taillée pour des gabarits comme le mien. C'est sûr, la forme n'est pas trop loin.
Félicitations à Olivier Picard, parti à contretemps alors que des échappées s'étaient déjà formées et qui, non content de les avoir rattrapées, s'est offert le luxe de les décrocher puis de les atomiser à quelques tours de l'arrivée pour terminer en solitaire. Depuis le temps qu'il était tout près d'une gagne, il la méritait bien !
Franck a tenu bon jusqu'au bout, c'était pas gagné d'avance !
Les commentaires de Vincent :
En observant la course de Gabriel et des 3ème catégorie, je ne pus m’empêcher de me faire la remarque d'Henrich Himmeler: "aujourd'hui, ça va chauffer". Attention, qu'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dit, ce n'est pas parce que je reprends les propos de cette immonde gargouille, que je lui voue un culte véritable. Cependant c'était un garçon doué d'une grande concentration, nous ne pouvons qu'en convenir.
En effet ça chauffe, sous l'impulsion des costauds du Scale (François et Basile), le peloton explose dès les premiers tours, de façon irrémédiable.
C'est ma première participation ici, et dès l'échauffement, je sais que la bosse me ramènera irrémédiablement vers mes petits "manque" de cette saison. L'entrainement n'étant pas optimal cette année, tant sur l'intensité que sur la profondeur, la course allait être dure pour moi. Je n'avais qu'à me défoncer un peu plus ce dernier mois et cet hiver en général.
Comme je l'avais susurré au creux de l'oreille de mes fidèles collègues rois de la pédale, le petit serviteur que j'avais été à Cras était dans un bon jour, sur un circuit qui n'était qu'à moitié difficile, la bosse s'avalant en injection avant de récupérer sur toute la portion restante du parcours. Hors ici, dans le milieu d'une campagne chatoyante et verdoyante perdue entre deux villages aux noms aussi terriblement vomitifs qu'une mémère du 16ème arrondissement sortant son petit vietnamien adopté qui n'en finit plus de lui ressembler depuis qu'elle s'est mise à la chirurgie plastique, ici, disais-je, la petite motte de terre sur lequel a poussé le pâturage bovidé, et séparé de façon inégale par un mélange de cailloux, de sable, de pétrole et d'eau (bref la bosse du parcours), allait faire très mal aux jambes, et je ne l'ai d'ailleurs jamais vraiment bien "senti".
Dans les premiers tours, nous sommes 20, puis ça flingue comme dans un western à chaque passage de bosse, et un petit jeune qui lui me fusillait du regard au départ se retrouve sur le carreau (physiquement) et j'assiste à son enterrement de première à chaque passage de la ligne (ma seule jubilation de la journée : oui je suis fourbe). Une fois que nous ne sommes plus que 8, les grimpeurs se calment un peu, et nous roulons à bon train, malgré quelques coups de canons de temps à autre. Je sens à 4 tours de la fin que c'est plié pour moi. Quand ça démarre j'ai toutes les peines du monde à m'accrocher. Jacques Vial est dans le même cas que moi, et dans la dernière bosse, les petits mollets mettent du gros, et je ne peux pas suivre, à bout de souffle et fatigué, je termine avant-dernier du groupe.
De sacrés costauds présents, ou alors j'étais un peu en dedans. Certes un soccer-five m'avait bousillé les articulations vendredi soir, et j'étais encore bien courbaturé ce dimanche, mais je crois que je n'ai simplement pas le niveau du vainqueur du Fontanil (NDLR : Victor Letreguilly), qui monte en première catégorie, et qui sera une valeur sure. Je me suis déçu sur un circuit qui est plutôt taillé pour mes caractéristiques, alors forcement je n'étais pas bien joyeux hier soir. Avant la course, Patrick m'a dit pourquoi j'étais mal en point : simplement parce que je mange une heure avant le départ, et mon estomac me pompe trop d’énergie. Quel visionnaire ce Patrick. J'essayerai de manger plus tôt la prochaine fois, on verra ce que ça donne.
Quant à Oliver, et son sacré numéro: ça m’épate, et pas seulement des Panzani. Arriver à distancer si facilement des grands noms de l'UFOLEP, c'est tout simplement de la haute voltige. Quand je pense que je devrai rivaliser avec lui dimanche prochain au départemental... Si encore il n'était pas accompagné de Romaric, de François et de Basile, j'aurai peut-être pu avoir quelques ambitions de podium, mais là ça parait compromis. Mais sait-on jamais, je ne me démonterai pas pour autant. En attendant les RDB (NDLR : Routes du Bourbonnais), grosse semaine pleine de kilomètres au programme, ça me fera du bien.
Vincent a du serrer les dents à plus d'une reprise
Les commentaires de Gabriel :
Quel beau circuit et quelle belle journée pour faire du vélo. Ma course s'est vite résumée à un entraînement rythmé suite à 3 petits incidents de parcours. Dommage mes jambes du jour m'auraient certainement permis de tenir dans le peloton assez longtemps . Mais bon c'était pas mon jour.
Cette course s' est donc transformée en une sympathique balade rythmée en compagnie d' Edwin ( duSCALE) puis de Gianni. Donc pas trop de regrets.
Gabriel et Gianni ont fini par se retrouver pendant quelques kilomètres
Les commentaires de Gianni :
Hey, les gars, je suis pas dernier!!!!!!!
Alors je vais vous dire comment s'est réalisé cet exploit!
Au début, premier tour et première bosse, et pan ! Bon dernier mais pas trop loin.
Le problème c'est que comme je forçais je n'ai pas pu me refaire dans le début du deuxième tour. En plus mon 50/12 avait l'air un peu petit surtout que côté cadence de pédalage, c'est loin d'être ça.
En plus y'avait des virages à angle droit et j'avais plus ou moins la trouille.
Jusque là tout va bien.
Donc je saute dans le deuxième tour dans la bosse.
je me retrouve avec un minime de Gillonay avec qui je fais deux ou trois tours. Lui il m'explose dans la bosse mais je reviens sur les portions roulantes avec mon 50/12 (lui il doit être en 49/16 si je ne m'abuse).
Il me lâche dans la bosse car lui il arrive à prendre la roue de 03éme cat.
Ensuite j'arrive à prendre deux ou trois roues de 03éme cat. et je reviens sur un 04éme qui était devant moi depuis quelques tours.
Et puis je rejoins Gabriel qui est bien gentil de m'attendre et on roule avec un gars d'Echirolles (sympa ce gars en plus, Gabriel me dira comment il s'appelle...)
Je roule avec eux jusqu'à la fin et reprend quelques 04ème cat. dont Loic ANGOT (sympa lui aussi).
Dons je ne suis pas dernier et c'est déjà mieux.
J'ai même roulé avec un gars de Pontcharra qui d'habitude me passe sans me regarder? c'est dire...
J'étais mieux à la fin qu'au début et aurait pû faire quelques tours de plus à ce rythme (d'ailleurs avec le gars de Pontcharra on s'est un peu planté et on en a fait un de plus)
Voilà.
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Karl — 06 mai 2013, 08:13
Bravo quand même. Sainte Anne est une course très difficile et vos états de fatigue le prouve encore une fois.
@Vincent : le dernier repas, c'est minimum 3 heures avant la course !
Je sais bien Franck, mais en faisant ça j'ai toujours un très vilain coup de barre et un début de fringalle pendant la course. Ou alors je mange 2h30/3h avant, et je remplis les poches de pates de fruits. je testerai la formule au dép.
Vincent, si tu as un début de fringale pendant la course, cela n'a rien à voir avec ton dernier repas. En effet, celui-ci ne sert qu'à te remplir le ventre et à éviter de puiser dans les stocks avant la course. Tu dois faire le plein de sucre lent (glycongène) pendant les 2 jours qui précèdent la course en accentuant le dernier jour : petit déjeuner, déjeuner et dîner (surtout) doivent comprendre des pâtes, du riz ou des céréales complètes dans les 3 cas. Le matin de la course, un gros petit déjeuner et un déjeuner plus léger mais effectivement achevé au moins 3 heures avant le départ.
Par exemple, dans mon cas, il m'arrive de prendre un gros petit déjeuner (céréales weetabix + flocons d'avoine cuits dans du lait de soja et sucré au miel) vers 8h30 ou 9h puis une colation vers 10h (pain d'épices) et après plus rien. Je n'ai ni faim, ni fringale pendant la course. Au contraire j'ai tout le flux sanguin disponible pour les muscles.
Samuel a raison. Surtout pour une course nerveuse de moins de 2h, manger dans les 4 h avant ou pendant ne sert a rien. L'impression de faim ne veut pas dire que tu manques d'énergie stockée.
Oui mais Vincent, la veille de course, il remplace les sucres lents par du Ti'punch et du rosé, alors...
Là ce samedi c'était une boisson plus sucrée mais moins calorique: le shrubb antillais. Vous essayerez au prochain stage de Pâques.
@Patrick : moi j'ai trouvé que le "vieux" "pas entraîné" avait quand même de beaux restes... Quant à moi, je suis prêt à faire le super équipier dimanche et sauter "sur tout ce qui bouge" !
Radu — 06 mai 2013, 15:32
Moi je fais comme Samuel. Je fais le plein de glycogène les deux jours avant la course. Une bonne solution (peu coûteuse) est de boire 1.5l d'eau avec du fructose (de la marque Vivis, 2.5€ la boîte dans tous les supermarchés) ou du maltose (un autre sucre lent) et de manger des pâtes al dente (détail important) midi et soir.
@Vincent : avec ces conseils tu pourras mettre au point un punch au fructose et au musli et ne pas avoir d'excuses de ne pas faire un podium au départemental !
Karl — 06 mai 2013, 18:45
@Samuel et Radu : Très bien ces petits conseils diététiques!
Et après, une bonne binouse!!!
Salut TVS !
Tout d'abord merci pour la qualité de votre site, de vos articles et des commentaires de chacun, c'est un véritable plaisir chaque lendemain de course (surtout aujourd'hui :) )
@Vincent : J'ai reconnu le parcours du départemental ce matin et c'est relativement atroce, celui de St Anne est plat à côté. Alors il va falloir s'allier contre le SCALE ;)
A dimanche ! Avec une bonne nutrition :)
Salut Victor, bravo pour ta victoire. C'est ce qu'on appelle un retour gagnant ! J'imagine que, désormais, tu vas courir en 1 ?
Quant au circuit d'Autrans, ce ne sont pas de bonnes nouvelles. Je pensais qu'on avait vécu le pire à Ste-Anne, mais visiblement ce n'est pas le cas !
Il me reste moins d'une semaine pour perdre 5 kilos, ça risque d'être un peu juste !
Je comprends très bien Vincent, c'est pas facile d'entendre parler de diététique quand on vient du pays du camembert, du livarot, du pont l'évêque ou encore de la sauce vallée d'Auge. Juste un petit conseil Anquetil-lais : remplacer le shrubb par une goutte de calva dans le bidon pour la digestion.
Merci Victor pour les infos. Ce devrait donc être un bon parcours à ta convenence. Au moins, comme souvent, les championnats sacrent des costauds, et ce sera donc encore le cas. Alliance de circonstance effectivement, pour contrer l'armada SCALE. On s'entendra sur les différents scénarios de course d'ici peu ;)
Encore bravo à toi pour cette belle victoire.
Franck, ça va le faire pour toi t'es dans une forme olympique à ce que j'ai vu. Je te ferai une tariflette à l'andouille de Vire et au Camenbert, les soirs de course aux Bourbonnais, tu en réclameras à ta femme en rentrant.
Gianni, les deux premières lignes de ton récit m'ont bien fait marrer. Tu seras plus à l'aise sur des cyclos dans quelques semaines. Là c'est sur, tu seras pas dernier.
Oui Franck je monte en 1 ! Je crains que ce soit plus délicat de gagner, vu les monstres que vous êtes.. :)
Et oui le circuit du départemental est vraiment très très difficile, avec plusieurs bosses dont une de 400m à plus de 10% (arrivé au sommet de celle-ci). On va en chier comme il se doit.
Salut les TVS
Merci pour vos récits de course! J'ai particulièrement apprécié les petites touches de Vincent et de Franck ;) Surtout venant du club qui m'a donné tant de mal à Gillonnay, Rives et à ... Cras (là c'était un Must!). Pour confirmer tout ça il me manque encore une victoire face à Pierre ou (je n'ose pas trop le "et") Manu. En dépit des commentaires, je me suis fait sacrement mal ce dimanche (faut dire que Cras m'avait bien motivé!!).
A dimanche prochain sur la bosse à 14%!!
Vincent si tu manges encore des pâtes à 1/2h de la course, pour nous y a pas de pb!! ;)
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