Par Franck P
Le 02/04/2017
Course Ufolep organisée par l'Etoile Cycliste St-Clairoise.
TVS représenté par :
- Didier en 1ère caté
- Damien en 2ème caté
- Vincent en 3ème caté
- Gianni, Eric et Radu en 4ème caté (+ Antoine chez les jeunes)
Le compte-rendu de Didier (1ère caté)
(A venir)
Paré de son maillot de champion régional, Didier a tenté une sortie en début de course
Le compte-rendu de Damien (2ème caté)
Bon pour ma part c était la reprise de la saison(enfin!) et en 2 eme catégorie (un peu moins enfin!). Je suis seul dans cette catégorie donc pas de stratégie ou quoi que ce soit, j ai décidé de ne rien laisser passé et d être dans la"bonne" si il doit y en avoir une!
Pour cela Ben pas Le choixil faut sauter sur tout ce qui bouge sauf qu en 2 ben put... Ils tiennent pas 2 secondes tranquilles! (Ah oui j oublie aussi que dans les bosses ils roulent presque plus vite qu au plat) Bon pas de chance la bonne échappée ne verra jamais le jour et je me suis bien fait la peau pour rester aux Avants postes. Je préfère tout tenter et risquer le serrage moteur que de rester bêtement dans les roues pour finir au sprint où je n ai aucune chance! Ben tient ça tombe bien, au passage devant la cloche du dernier tour je sens la fin des haricots arriver au galop et me dis à ce moment "pourvu qu ils se calment dans la dernière bosse sinon je passe pas."... Et ben non ils l ont montée encore plus fort les salauds!
Voilà je finis dans les profondeurs du classement mais les sensations furent bonnes et l adrénaline au top pendant 1h30. Je suis content c est le principal, les résultats viendront plus tard.
Damien a souvent été présent aux avant-postes
Le compte-rendu de Vincent (3ème caté)
Le matin quand j’ai ouvert les volets, et que j’ai vu que le plafond était à peu près au niveau des fenêtres du premier étage, j’avoue ne pas avoir eu la motivation du siècle pour sortir le vélo. Mais première de la saison oblige. Et puis ce n’est pas comme si le calendrier Ufolep regorgeait de courses en ligne. Ma crainte, c’était surtout la route mouillée. Finalement on aura pas mal de chance de ce côté et ce sera relativement sec.
J’ai toujours un peu la pression qui monte sur la première de la saison. Cette année, ce ne sont pas spécialement les jambes qui m’inquiètent ; j’ai fait ce qu’il fallait cet hiver, encore que je pense franchement manquer d’efforts anaérobiques. Ca viendra avec les courses me dis-je… Ca se confirmera : un signe qui ne trompe pas : la crampe molle (copyright Chaléat 2015) à à peine la mi-course. Non, ce qui m’inquiète c’est toujours de me retrouver en paquet. N’étant pas un coursier de la première heure, j’ai toujours un temps d'adaptation pour me sentir de nouveau bien.
Je retrouve donc ma Zazatte pour 2 tours de chauffe dans le froid. Histoire de bien se mettre en confiance on se tapera chacun la glissade de l’arrière dans le pif-paf mouillé… Youhou!! Je me sens parfaitement dans mon élément! C’est sur, je vais faire une grande course, bien détendu!! Ah et pis au rang des mauvaises excuses (je vends actuellement un manuel “comment se fait-il que j’ai foiré ma course, pour les nuls” au prix modique de 10 euros) : j’ai choppé la crève cette semaine et ça mouche vert. En même temps avec la charge du WE dernier, ça n’était pas prévisible… c’était carrément prévu.
Comme convenu avec moi même, je suis hyper détendu! Tellement, que bien qu’ayant remonté le peloton (une quarantaine de coureurs) dans la première bosse, je me fais déborder de partout à l’amorce de la descente. Le truc normal quoi. Et c’est donc en bon dernier que j’amorce la partie plate du circuit. Je passe donc, le premier tour à remonter. J’évite la gamelle de justesse, un bidon me passe devant la roue à quelques centimètres… Faut dire que le circuit gratte un peu et que même avec 6 bars seulement, j’ai fini avec les vertèbres dans le désordre.
C’est donc avec la cuisse bien chaude que j’attaque la seconde itération de la bosse. Ca commence à piquer un peu (“ah mais ouaip, j’avais oublié cette sensation où plus rien ne t’intéresse sur la planète à part cette pu..in de roue juste devant). Rebelote dans la descente. Je décide de garder des jambes pour remonter le paquet dans la bosse suivante. Mais, je me fais un peu enfermer (je fais même un peu de cyclocross sur la pelouse, un spécialiste du zigzag intempestif pas encore repéré m’ayant fait une petite frayeur) et le coup part à 4 en haut sans que je puisse y avoir accès (Perret, t’es vraiment un crétin!)
Dans la relance après le pif-paf, il y a une ouverture ; j’embraye, passe le peloton comme un furieux, me retourne et vois qu’un gars du Fontanil a prit la roue. On a posé 30-40m, les échappés sont à 30m. On tente en se relayant de rentrer. On calera à quelques secondes d’eux. Patrick a beau dire qu’on a droit à 3 pétards, j’ai pas trouvé les 2 autres.
Derrière malgré des équipes plutôt … complètes, aucune ne s’organise pour rentrer. Dommage… Je fini en mode randonnée dans le paquet. Bien dans le rythme, de bonnes sensations, RAS.
Vincent à l'ouvrage
Le compte-rendu d'Eric (4ème caté) :
Dimanche 2 Avril : Ouverture des hostilités Ufolep
État des forces en présence : j'arrive sur les lieux du crime avec 1500 bornes au compteur, soit 1000 bornes de moins que l'an dernier, même époque.
Oui mais, cette année j'ai un coach perso : Vicenzo de la Véga del Pereto .
Donc, sous ses conseils avisés, j'ai passé mon hiver à regarder la DS3 de mon épouse dans le garage, à me faire les fesses sur 8450 heures de HT en SST.
Le pied !
Au total, et au vu des sorties communes, les jambes ne sont pas trop mals finalement.
Au registre des bad news, toutefois, une grosse gamelle la veille de la Corima qui m'a quand même bien secoué.
Secoué oui, mais je suis un Warrior, je vais quand même tout faire péter, non mais !
En tant que bon rital, seule la victoire est belle !!
Je suis largement le plus beau, le plus fort, les femmes vont se jeter sur moi en scandant mon nom, prénom et taille de mon... euh je m'égare, excusez-moi, c'est la testostérone de la basse Italie qui me reprend.
J'arrive donc sur la ligne de départ, plein badin, la bave aux lèvres, le souffle court et le mollet léger.
Je vois bien dans le regard du public qu'ils ont reconnu en moi le héros que je vais devenir, là, maintenant, sous leur yeux ébahis devant tant de classe et de pureté infinie !!
Le départ est donné, j'appuie sur les pédales... et je fais pas un mètre.
En moins de temps qu'il n’en faut pour dire zut, je me retrouve par terre, en sang, plaies, bosses, mal partout, cuisse, épaule, je suis complètement de travers.
Je vois bien que le regard des femmes a changé d'un coup, je lis sur les lèvres : Pov' bête va , y'a qu'à l'abattre , il souffrira moins !
Car la souffrance mes amis, à cet instant, est physique certes mais elle est avant tout morale, je me retrouve comme un c.., le vélo en miettes, la roue arrière s'étant détachée violemment, on ne sait plus si le dérailleur est à la place de la chaîne ou vice-versa.
Étant grand bricoleur moi-même devant l'éternel, je suis là comme un sac de poubelle laissé sur la chaussée, tout le monde en passant à envie de donner un coup de pied dedans !
C'est la fin de tout, je vais être la risée du monde entier.
Adieu ! Laissez-moi seul dans ce désert !
Et puis non, j'ai une fée bienveillante qui m'accompagne aujourd'hui.
2 hommes providentiels viennent à mon secours, le premier c'est Ju Marletaz qui, en 2 coups de cuillère à pot de confiture, remet le vélo à l'endroit.
St Julien (très bon vin au passage) comme tu es bon mon ami, ma reconnaissance sera éternelle, amen !
Et le deuxième c'est le directeur de course, on l'appellera St Maritain, qui, me voyant au bord du gouffre et ne voulant pas gérer une sépulture certes champêtre, me regarde froidement dans les yeux et me dit : allez mon gars, tu remontes sur le vélo et tu repars derrière le dernier du peloton.
Et tu essayes de faire 10 mètres. Si tu tombes pas et sur un malentendu tu peux peut-être arriver jusqu'au bout.
C'est mon prince j'ai envie de l'embrasser !
Or donc, me voilà tout ragaillardi, oublié l'humiliation publique, le déshonneur familial, je vais pouvoir faire la course !
Je récupère donc le peloton qui a fait un tour et je finirais je sais pas trop, 9, 19 ou 12.
La course en elle-même s'est passée ma foi bizarrement.
J'ai mis 3 tours pour sortir la chute de la tête, 3 tours pour savoir qui est qui, qui fait quoi, et les 3 derniers tours pour savoir comment on allait faire à la fin ?
Entre temps je suis resté quand même bien devant pour contrôler et au final on se fait balader par les plus expérimentés du peloton.
Forts aussi ils étaient mais il y avait la place pour faire bien mieux à priori, mais peut-être pas.
De toute façon il n'y a qu'à être meilleur que les autres et pis c'est tout.
Bon en tout cas, moi, ça m'a bien plu tout ça !
Je pense donc essayer la prochaine fois de moins me faire remarquer au départ et un peu plus à l'arrivée.
Quand il n'était pas par terre, Eric a plutôt été actif !
Le compte-rendu de Gianni (4ème caté) :
J’arrive sur cette première de la saison avec l’espoir de finir dans le peloton comme l’année dernière, ce qui n’est déjà pas mal vu d’où je viens.
Sur la ligne je retrouve Radu et Eric qui est habillé comme en plein hiver.
Je lui demande s’il ne va pas avoir trop chaud et il me dit : « ouais mais si je tombe ».
J’lui dis : « ben non, arrête... ». Il enlève alors ses jambières...
Bref la prochaine fois je ferme mon plomb…
On est côté à côte au départ et ça démarre.
Les cadets partent comme des balles, j’entends du fracas derrière moi et je me retourne. Y’a mon Zaza qui est déjà en train de faire le « show » en essayant de partir qu’avec la roue avant.
Le temps de me retourner de nouveau et ça fait déjà un trou car du monde a prit la roue des cadets.
Ca part fort et à l’issue du premier tour je vois mon Zaza qui s’apprête à repartir avec nous.
Mais nous, ça envoie et je me dis que même s’il fait un tour de moins, là il va cracher ses poumons.
Je sais qu’il est fort et je me dis que ça va peut-être le faire et ça le fait.
Après la course se déroule normalement et avec Radu et Eric, je trouve qu’on est quand même pas mal devant. Au moins on montre le maillot vu qu’on n’est pas des coursiers de métier.
On se doute bien que ça va se jouer à rien vu qu’à part Bernard de Gieres et Jesus de RIVES, les autres, on ne les voient pas souvent mener la chasse.
Juste avant le dernier tour, je dis à Zaza d’en mettre un coup dans la bosse car pour avoir rouler un peu avec lui cet hiver, je sais qu’il peut faire péter tout le monde.
Il essaye mais ça rentre. Je m’accroche et j’ai des crampes.
Je suis le dernier à m’accrocher et on se retrouve à 08 devant. Radu est juste derrière, pas loin.
Je dis à Zaza qu’on est plus que 8 mais les trois de RIVES roulent sans vraiment rouler et ça rentre.
A l’approche du sprint je vois Zaza qui emmène. Les gars de Rives sont juste derrière lui. Je me relève un peu car à ce rythme là ils vont nous sauter sur la fin.
Zaza croit que je suis dans sa roue mais c’est les gars de Rives qu’il emmène.
A l’approche du dernier virage j’ai des crampes et je suis environ 8ème.
Les Rivois, plus aguerris à la course et certains n’ayant pas pris un relais font 1, 2 et 3.
Je remonte un peu et doit finir 6. J’étais trop loin quand le sprint a été lancé et j’avais des points de contracture dans les cuisses.
Bon et bien on a prit une leçon de vélo mais avec mes deux coéquipiers, c’était la première fois qu’on roulait ensemble tous les trois. A un moment on s’est relayé pour revenir sur l’échappé avec Jésus de RIVES. C’était sympa.
Ce qui l’est moins c’est un coureur de cette équipe qui, non content de rester dans le paquet toute la course s’est moqué de nous à l’arrivée. C’est ça l’esprit UFOLEP ? Je ne pense pas.
Bon et bien voilà, on fera peut-être mieux une prochaine fois.
Cette année on va essayer d’apprendre à rouler ensemble et on verra l’année prochaine si c’est mieux !
Et depuis je cherche désespérément notre classement…
Gianni (au centre) a parfois serré les dents dans la bosse
Le compte-rendu de Radu (4ème caté) :
J’aborde cette course avec sérénité, mon objectif étant de me tester en ce début de saison. Après les émotions du départ (voir le CR d’Eric), un coureur de Pontcharra s’échappe rapidement avec les jeunes. Au deuxième tour, avec Gilbert C on se retrouve devant et on décide de le prendre en chasse car on l’aperçoit à 300 mètres. Puis les tours s’enchaînent sans qu’il se passe grande chose. Je surveille Gilbert et Jésus (ils ont l’air bien affûtés) mais ils ont décidé de contrôler le peloton plutôt que d’essayer une échappée. Je vois avec plaisir que Gianni est en grande forme, il prend des relais, regarde autour de lui, bref le métier commence à rentrer… Au bout d’un tour on récupère Eric. Il a le regard du guerrier qui cherche à abattre le premier ennemi se trouvant sur sa route, guerrier il restera jusqu’au bout de la course, généreux dans l'effort. Il a la pêche notre Eric. Je crois qu’il a pris goût aux vire-vires UFOLEP.
A trois on se débrouille pas si mal, mais on n’avait aucun plan de course, donc on improvise. Dans un des franchissements de la bosse, je décide de tester mes capacités à accélérer. Un œil sur ma puissance, l’autre sur les autres coureurs, je décide de mettre les watts juste à la fin de la bosse. Je fait le trou rapidement (100-150 mètres) et je profite que j’ai la route pour moi tout seul pour foncer dans le virages et maintenir l'écart. Au bout d’un kilomètre je décide de lever le pied, car je doutais un peu de mes capacités à rouler tout seul sur les 20 km qui restaient (je l’ai regretté après, mais dans le feu de l’action je n’arrivais pas à y voir clair). Des crampes apparaissent dans l’avant dernier franchissement de la bosse et je me dis que c’est cuit pour espérer quoi que ce soit. Du coup je décide de rester tranquille derrière le petit peloton (une dizaine d’unités). Dans le dernier franchissement de la bosse je sens à nouveau les crampes et je perds 20-30 mètres. Mais, avec l’aide d’un (jeune) coureur d’Aoste (merci !), j’arrive à rentrer. Je vois alors Eric se positionner en tête du peloton avec les trois Rivois derrière lui, et je ne comprends rien du tout ! Au lieu d’abattre ses ennemis, Eric leur facilite la tâche !
Au final, les trois TVS terminent un peu déçus et frustrés, car ils auraient pu mieux gérer la course et jouer un joli coup, mais confiants pour la suite de la saison.
Radu, le mors aux dents
Merci de laisser votre compte-rendu de course en commentaire
JuP — 03 avril 2017, 08:43
Merci pour les photos Franck ! Au plaisir de te revoir. Ju
Bravo Vincent, à défaut d'avoir glané un grand résultat, tu as réussi un récit de course très sympa ! ;)
J adore toujours les commentaires de Vincent!
Eric, merci de m'avoir offert mon premier rire du matin ! A TVS, on n'est pas toujours très bons à vélo, mais qu'est-ce qu'on est bons en récits de courses !
Et si vous avez quelques minutes devant vous, je vous incite aussi à lire le récit de Laurent Derain, auteur d'un véritable coup de force en première catégorie, et qui a forcé l'admiration de tous les observateurs présents sur le bord de la route.
J'avoue m'être franchement marré à lire ta prose ma Zazatte surtout la chute : "Je pense donc essayer la prochaine fois de moins me faire remarquer au départ et un peu plus à l'arrivée"
J'ai trouvé la formule qui convient : Zazatte ou l'art de faire de la chantilly avec un litre de lait écrémé.
Quand j'y repense, je n'arrête pas de rigoler. C'est quand même trop bon le gag du mec qui s'est entraîné comme un dingue tout l'hiver, qui arrive sur première course remonté comme un coucou, et qui se casse la gueule sur la ligne de départ, sans même avoir parcouru 1 mètre ! Même dans "Le vélo de Ghislain Lambert", ils n'auraient pas osé une telle audace scénaristique ! Zaza, tu es ma nouvelle idole !
Nan, mais le top c'est que je fini ma course. Je passe devant l'ambulance et là je vois le trek jaune sur l'ambulance... Je me dis merde, le con s'est pété la gueule. La dernière fois que je l'ai vu il était pourtant sur le vélo quand on l'a doublé pendant la course. Je m'imagine que ce héro a fait le sprint, a frotté un peu fort et est mort au combat dans une chute collective.
Ben nan, je demande au gars dehors qui me dit : nan rien de grave il s'est cassé la gueule au départ... Ca m'a rassuré soudain.
Zaza — 04 avril 2017, 12:45
Ben écoutez tant mieux si ca vous à fait rigoler.
Moi j'aurai largement préféré gagner votre estime sur le vélo !
Mais bon , ma victoire Prochaine n'en sera que plus belle !!
La prochaine fois je ferais 3 mètres !
Record pulvérisé
A défaut de résultat, bravo pour vos récits!!!
Eric, j'ai éclaté de rire en te lisant. EXCELLENT!!!
Je ne sais pas ce que tu as pris avant d'écrire mais c'est de la bonne...
Juste un petit conseil pour la prochaine inter-saison hivernale, prends un coach en mécanique, çà peut servir des fois...
Allez, je te souhaite une meilleure réussite pour les prochaines courses, mais s'il te plait, fais nous encore des récits comme çà et peut être qu'on pourra te décerner à la fin de la saison le challenge du récit UFOLEP de l'Isère....
Zaza — 04 avril 2017, 17:43
Ben tu vois je savais pas tout ça mon Gianni .
J'aurais pu en remettre une couche en Haut de la bosse et dans toutes les autres petites bosses ,mais j'y ai pas cru.
Et à la fin je croyais vraiment que tu étais juste derrière .
Bon Ben c'est pas grave , on aura notre revanche .
je confirme qu au challenge ufolep des commentaires tvs tord tout le monde!!!
Bravo à tous. Mention spéciale à Zaza pour sa course et son résumé, putain vous avez mis la barre haute niveau compte rendu. Finalement content de ne pas courir en 2017. Je blague, j'aurai préféré aider mon garagiste à bagarrer les Alpin's Whels. Vivement 2018
Merci fracky. C est vrai que les alpins Wheels sont intouchables la!
Bravo vous êtes des champions, vos récits de courses sont au top. On se demande presque si tout cela n'est pas scénarisé et préparé avec soin des semaines avant la course... Que rajouter, que Vincent fort ou pas, glissant ou pas, on fait la course devant, que Gianni je vois ce que tu veux dire (et même je pense savoir de qui tu parles) et Zaza, ce qui t'est arrivé semble être le classique "manque de serrage de la roue avant qui se fait remarquer au départ de la course". C'est un classique mais en général ça ralentit, voir ça arrête, mais pas plus. La tu nous l'as fait en grand !
Serge — 05 avril 2017, 12:10
Bravos pour vos prestations et surtout chapeau pour vos compte-rendus, tops, avec une mention spéciale pour celui de Zaza, trop bon!
A noter, aussi la belle victoire de Laurent le samedi au chrono d'Aiton où ce fut ma journée de galère entre les bouchons, la pluie et le matos.
Va falloir perfectionner vos début de saison car c'est la 2eme année que je ramasse un tvs à St clair!!
Non sans déc il s'en est mis une bonne 😀
Vivement la prochaine course ;)
Serge, j'ai créé la page dédié au CLM d'Aiton. Tu nous ajoutes ton compte-rendu ?
Serge — 07 avril 2017, 00:21
Julien, tout ça pour humilier Eric (qu'on voit tomber bien comme il faut), c'est pas sympa ! ;)
Plus sérieusement, ça ne m'étonne pas que tu aies mal partout, Eric, ta chute a été lourde. Encore du bol que tu ne te sois rien cassé !
Zaza — 09 avril 2017, 18:10
Ben oui 2 grosses de suite à 15j d'intervalle à 57 ans , euh j'ai vu vu mieux
Je pense Quand même que les côtes ont reçu
Zaza — 09 avril 2017, 18:10
Ben oui 2 grosses de suite à 15j d'intervalle à 57 ans , euh j'ai vu vu mieux
Je pense Quand même que les côtes ont reçu
bravo les gars pour vos résumer. ils me font bien marrer ( et envie aussi bien sur)
bonne saison a tous
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