135 km à vélo, ça use, ça use...

(:video taille=640x480:)

Dimanche 10 août 2008. A l'initiative du formidable et néanmoins majestueux Patrick Chaleat %font-size=8pt%('''Patrick:''' N'en fait pas trop Franck, ca va se voir)%%, 9 petits hommes verts et blancs (Ndlr : en fait les 9 n'étaient pas réellement tous en vert et blanc et, en plus, il y avait aussi une femme dans le lot, alors voilà un article qui débute de façon fort approximative, si je puis me permettre !) ont rendez-vous à l'aube (oui, bon, d'accord... 8h30) pour une virée de 135 bornes à travers le Vercors Drômois...

Bref, tout débute dans la joie et la bonne humeur si l'on excepte un problème d'ordre pneumatique pour Olivier au bout de 500 mètres (une chambre à air qui cherche à prendre "un pneu" l'air) puis un problème d'ordre mécanique pour Manu au bout de 2 km (une histoire de chaine toute neuve qui se coince), nous voilà déjà au pied de la première difficulté du jour : la montée de Tamée.

Bref, en fin de compte, nous partîmes 9, mais par un prompt renfort, nous nous vîmes, bah, toujours 9 finalement, en arrivant aux voitures !

%center%'''Patrick''': C'est pas Proncel, mais plutot St Alexis... Mais bon avec 10 cols, on peut se mélanger les cols !%%

Ne cherchez pas le plat du jour, le menu ne nous réserve que bosses et descentes : grimpée plein sud par la montée de Tamée, pas un col mais 15km d'ascension quand même, traversée de la bien nommée commune de la Vacherie avant de redescendre du plateau par le col de Bacchus.

%center%(:photo parcours.jpg:)

%center%(:photo aout-071.jpg hauteur=200;lien=visu:)

Le col du Proncel n'est alors qu'une formalité (voir vidéo 3), mais celui de Carri est une autre paire de manches, carrément jugé "en trop" par certain (non, non, je ne livrerai pas de nom !) qui s'en seraient bien passé, finissant à l'agonie.

%center%(:photo Aout 08 094.jpg hauteur=200;lien=visu:)

La suite est plus tranquille jusqu'à la pause déjeuner. Notre planning ne nous autorise pas plus d'1h30 de halte mais le patron de l'établissement, visiblement un peu dépassé par les évènements, ne l'entend pas de cet oreille et ne nous permet de reprendre la route que près de 2h30 plus tard...

%center%(:photo aout-095.jpg hauteur=200;lien=visu:)

Dimanche 10 août 2008. A l'initiative du formidable et néanmoins majestueux Patrick Chaleat, 9 petits hommes verts et blancs (Ndlr : en fait les 9 n'étaient pas réellement tous en vert et blanc et, en plus, il y avait aussi une femme dans le lot, alors voilà un article qui débute de façon fort approximative, si je puis me permettre !) ont rendez-vous à l'aube (oui, bon, d'accord... 8h30) pour une virée de 135 bornes à travers le Vercors Drômois...

(:video:)

La suite est plus tranquille jusqu'à la pause déjeuner. Notre planning ne nous autorise pas plus d'1h30 de halte mais le patron de l'établissement, visiblement un peu dépassé par les évènements, ne nous permet de reprendre la route que près de 2h30 plus tard...

Dimanche 10 août 2008. A l'initiative du formidable et néanmoins majestueux Patrick Chaleat, 9 petits hommes verts et blancs (Ndlr : en fait les 9 n'étaient pas réellement tous en vert et blanc et, en plus, il y avait aussi une femme dans le lot, alors voilà un article qui commence fort mal, si je peux me permettre !) ont rendez-vous à l'aube (oui, bon, d'accord... 8h30) pour une virée de 135 bornes à travers le Vercors Drômois...

Dimanche 10 août 2008. A l'initiative du formidable et néanmoins majestueux Patrick Chaleat, 9 petits hommes verts et blancs NDLR : en fait les 9 n'étaient pas réellement tous en vert et blanc et, en plus, il y avait aussi une femme dans le lot, alors voilà un article qui commence fort mal, si je peux me permettre !)ont rendez-vous à l'aube (oui, bon, d'accord... 8h30) pour une virée de 135 bornes à travers le Vercors Drômois...

Comme nous le vantait si bien Patrick, ça fait beaucoup de cols, mais ils ne laissent pas trop de traces sur le profil, ce sont de "gentils cols"...
Gentils mon cul, ouais ! Pardonnez-ici cette grossièreté, mais après avoir passé plus de 6 heures à en chier sur une selle, l'expression me semble tout à fait indiquée.

'''''Quelques photos de notre excursion... Les vidéos seront mises en ligne un peu plus tard.'''''

%center%(:photo aout-071.jpg hauteur=160;lien=visu:)

%center%(:photo aout-095.jpg hauteur=160;lien=visu:)

(:vignettes taille=150:)

Dimanche 10 août 2008. A l'initiative du formidable et néanmoins majestueux Patrick Chaleat, 9 petits hommes verts et blancs '''-(NDLR : en fait les 9 n'étaient pas réellement tous en vert et blanc et, en plus, il y avait aussi une femme dans le lot, alors voilà un article qui commence fort mal, si je peux me permettre !)-''' ont rendez-vous à l'aube '''-(8h30, merde, c'est quand même super matinal!)-''' pour une virée de 135 bornes à travers le Vercors Drômois...
Ne cherchez pas le plat du jour, le menu ne nous réserve que bosses et descentes : grimpée plein sud par la montée de Tamée, pas un col mais 15km d'ascension quand même, traversée de la bien nommée commune de la Vacherie avant de redescendre du plateau par le col de Bacchus. Passage par Beaufort où le grand père de Patrick fut cantonnier '''-(et ne lui dites-pas que vous vous en foutez sinon il va se fâcher)-''' puis direction l'est en passant sous les falaises sud du Vercors pour rejoindre Die via les cols de la Croix et de Marignac.

Comme nous le vantait si bien Patrick, ça fait beaucoup de cols, mais ils ne laissent pas trop de traces sur le profil, ce sont de "gentils cols"... Gentils mon cul, ouais ! Pardonnez-ici cette grossièreté, mais après avoir passé plus de 6 heures à en chier, je crois qu'on peut se permettre ce genre d'écart.

Bref, tout débute dans la joie et la bonne humeur si l'on excepte un problème d'ordre pneumatique pour Olivier au bout de 500 mètres puis un problème d'ordre mécanique pour Manu au bout de 2 km (une histoire de chaîne neuve qui se coince), nous voilà dé"jà au pied de la première difficulté du jour : la montée de Tamée. Chacun choisit d'évoluer à son propre rythme : 15 à 20 km/heure pour les uns, quasiment le double pour Patrick et Manu qui, après avoir provisoirement solutionnés les problèmes mécaniques sus-cités, se lancent dans une remontée fantastique, façon motos du Tour de France. Impressionnifiant !

La suite est plus tranquille jusqu'à la pause déjeuner. Notre planning ne nous autorise pas plus d'1h30 de pause mais le patron de l'établissement, visiblement un peu dépassé par les évènements, ne nous permet de reprendre la route que près de 2h30 plus tard...
Entre temps, patrick prendra le temps de graisser la chaîne de Manu... à la crème fraîche... A la guerre comme à la guerre, hein ! Parait que ce fut efficace...

C'est donc en pleine digestion que nous attaquons les 18 kilomètres du Col du Rousset. Il est presque 15h00 et le soleil tape fort : près de 38° par moments, de quoi se mettre sérieusement la cervelle en ébullition.
Tandis que la majorité du groupe monte à sa main, Manu, Patrick et Laurent nous refont le coup des motos au cours d'un exercice destiné à faire monter les watts (voir vidéo 1). Exercice visiblement concluant.

Le col du Proncel n'est alors qu'une formalité (voir vidéo 3), mais celui de Carri est une autre paire de manche, carrément jugé "en trop" par certain (non, non, je ne livrerai pas de nom !) qui s'en seraient bien passé, finissant à l'agonie.

Quelques photos de notre excursion... Les vidéos seront mises en ligne un peu plus tard.

(:vignettes taille=150:)

Dimanche 10 août. A l'initiative du formidable et néanmoins majestueux Patrick Chaleat, 9 petits hommes verts et blancs (NDLR : en fait les 9 n'étaient pas réellement tous en vert et blanc et, en plus, il y avait aussi une femme dans le lot, alors voilà un article qui commence fort mal, si je peux me permettre !) ont rendez-vous à l'aube (8h30, merde, c'est quand même super matinal!) pour une virée de 135 bornes à travers le Vercors Drômois... Ne cherchez pas le plat du jour, le menu ne nous réserve que bosses et descentes...
Grimpée plein sud par la montée de Tamée, pas un col mais 15km d'ascension quand même, traversée de la bien nommée commune de la Vacherie avant de redescendre du plateau par le col de Bacchus. Passage par Beaufort ou le grand père de Patrick fut cantonnier (et ne lui dites-pas que vous vous en foutez sinon il va se fâcher) puis direction l'est en passant sous les falaises sud du Vercors pour rejoindre Die via les cols de la Croix et de Marignac. Ensuite, après une pause déjeuner amplement méritée, remontée vers le nord par le col de Rousset (18 bornes de montée continue sous près de 38° !). Puis, toujours vers le nord, traversée du plateau par une petite série de petit cols (St Alexis, Proncel et col de Carri) pour descendre une dernière fois par les cols de de la Machine et de Gaudissart. Comme nous le vantait si bien Patrick, ça fait beaucoup de cols, mais ils ne laissent pas trop de traces sur le profil, ce sont de "gentils cols"... Gentils cols mon cul, ouais ! Pardonnez-ici cette grossièreté, mais après avoir passé plus de 6 heures à en chier, je crois qu'on peut se permettre ce genre d'écart.
Tout débute dans la joie et la bonne humeur, chacun montant à son propre rythme : 15 à 20 km/heure pour les uns, le double pour Patrick et Manu qui, après avoir provisoirement solutionnés les problèmes mécaniques sus-cités, se lancent dans une remontée fantastique, façon motos du Tour de France. Impressionnifiant !

Tandis que la majorité du groupe monte à sa main, Manu, Patrick et Laurent nous refont le coup des motos au cours d'un exercice destiné à faire monter les watts (voir vidéo 1 et 2). Exercice visiblement concluant.
Le col du Proncel n'est qu'une formalité (voir vidéo 3), mais celui de Carri est jugé "en trop" par certain (non, non, je ne livrerai pas de nom !) qui s'en seraient bien passé, finissant à l'agonie.
Ne reste plus qu'à enquiller la longue descente vers St-Jean en Royans via une route remarquable permettant points de vue et pointes de vitesse (aux alentours de 70 par endroits).
bref, en fin de compte, nous partîmes 9, mais par un prompt renfort, nous nous vîmes, bah, toujours 9, en arrivant aux voitures !