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Sur les Routes du BourbonnaisHistorique de Articles15.SurLesRoutesDuBourbonnaisCacher les modifications mineures - Affichage du code 18/05/2016 02:39
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18/05/2016 : Ajout de 61 nouvelles photos retrouvées 1 an après sur le forum des organisateurs et où l'on peut constater que les 2 TVS ont été sur tous les fronts ! 18/05/2016 02:36
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Andre Chaleat — 22 mai 2015, 14:2021/05/2015 22:23
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>Ah tu es le gars au bidon sur la selle. Mais ca va pas, tu passes toutes les bosses sur le petit plateau ? en:
>Ah tu es le gars au bidon sur la selle. Mais ça va pas, tu passes toutes les bosses sur le petit plateau ? 21/05/2015 22:22
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Lignes 161-179 modifiées:
(A venir) en:
J'ai dormi comme cela ne m'est pas arrivé depuis longtemps. Je suis détendu. J'ai faim, je prends un gros petit déjeuner (Franck me le fait remarquer). Et en sortant mon vélo du lycée pour aller à la voiture, je m'entends penser "aujourd'hui je gagne". Je connais ce sentiment, je ne sais pas trop comment expliquer. C'est un état de "non stress" qui fait que je ne vois aucun problème, ce sont quelques secondes de sérénité tranquille que je traduis dans le contexte d'une course de vélo par un "je gagne", je ne vois ce qui peut m'en empêcher. Rassurez-vous cela ne m'arrive pas souvent et cela ne dure pas longtemps... Et puis même le parcours plus roulant et n'arrivant pas en bosse est avec moi. Et puis je n'ai rien à perdre, je ne suis engagé dans aucun classement...
Comme le dit très bien Franck plus bas, cette épreuve est remarquable. J'ai passé 3 jours extra en bonne compagnie, 3 jours 100% vélo où rien d'autre ne comptait. A refaire, avec du renfort ce serait encore mieux. Il faut se faire une course à étape par an entre copains, c'est indispensable, autant que le stage de Pâques ! Mon vélo et son bidon, ainsi que mon usage du petit plateau auront fait parler :
21/05/2015 22:18
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Lignes 36-37 modifiées:
(A venir) je suis un peu largué, je bouche le trou des que possible en:
Assez rapidement je m’aperçois que la course ne va pas être facile, d'abord il fait froid, le vent souffle fort, on ne connait pas grand monde, et sur un parcours inconnu de type montagnes russes, à chaque coup de cul tout bouge, et tout rentre dans le rang dans la descente. Mais sur une bosse suivie d'un faux plat, un coup s'en va, et ira au bout. Je ferais quelques tentatives, mais sans résultat. On note que le copain d'Alain, Olivier D qui a un équipier devant fait la chasse avec une efficacité remarquable. Arrive la dernière descente avant la dernière montée. J'avais imaginé tenter une sortie dans cette descente, mais ça descend peu, et sans virage. En plus il y a quelques vraies remontées au milieu qui mettront un terme à ma tentative, car le principe avant la bosse finale était de s'échapper sans forcer, grace à mon vélo qui fend la bise... Comme j'ai pu voir que les coureurs du coins sont de vrais puncheurs qui font mal, j'attaque la bosse devant pour assurer un train et éviter les démarrages trop violents. Ca marche à peu près (j'aurais du/pu forcer plus), il y a aura quand même des démarrages, mais avec le sprint tous seront repris.
Lignes 71-72 modifiées:
(A venir) en:
J'ai peu dormi, et je suis un peu mou au départ de cet étape. Le principe est de garder des forces pour faire un chrono correct avec mon nouveau vélo qui sans être un vélo de chrono est le meilleur vélo que j'ai jamais utilisé pour faire un chrono. Le profil est encore plus montagnes russes (ils commencent a bien faire ces Russes, déjà qu'ils nous prennent notre Samuel), la tache s'annonce difficile. Franck à l'air bien, en tout cas il n'a pas peur et se lance dans une échappée juste avant les premières difficultés, c'est à dire tout de suite. On le rattrapera en pleine bosse et comme je ne le verrai plus j'ai cru jusqu'à l'arrivée que cela lui avait été fatal. Revenons à la course, un coup part bizarre, des costauds mélangés à des moins costauds et quand tout se décante et se trie, c'est cuit, les costauds sont devant. Bon alors je vais me concentrer sur l'économie. A l'attaque d'un coup de cul, le maillot jaune (lors des 3 étapes les échappées qui iront au bout auront toutes laissées le leader au chaud dans le paquet), attaque fort, mais comme on voit le sommet (on est dans un village), je laisse filer en douceur pour arriver au sommet dans les derniers. Mais la virage à gauche et horreur la bosse continue, et on ne voit même pas le sommet... le paquet explose en trois, et il me faudra 4km pour revenir sur le paquet de devant, avec l'aide de 2 ou 3 coureurs, paquet réduit à 25 suite à cet épisode Juste un peu plus tard on traverse un lieu dit "Les boules" (je n'ai pas rêvé : C'est ici), et quelques centaines de mètres plus loin, le motard qui signale un danger a remplacé son drapeau jaune par une petite culotte jaune. Je ne comprends pas bien ces signes. Arrive enfin la dernière bosse, qui à mon gout se monte plutôt tranquille, et je ne fais le sprint que pour garder le contact avec la tête. C'est à ce moment que j'apprends que Franck a crevé et sans attendre on me parle de problème pour le ramener dans paquet derrière la voiture. C'est pas très clair mais j'en conclus qu’il a eu du mal à gérer le derrière voiture sur ce parcours, c'est la faute des Russes quoi. Et c'est après une longue attente et son arrivée que j'ai pu avoir toutes les explications...
Lignes 118-121 modifiées:
(A venir) en:
C'est avec comme seule modification l'ajout de prolongateurs que je prends le départ. Je choisis de ne pas descendre la potence (je n'aime pas bricoler mon vélo pendant les courses), je suis un peu haut, mais "étroit", et je suis bien, l'effort est facile. Je n'ai reconnu le parcours qu'en voiture, il n'y pas de difficulté technique à priori, et Franck qui vient de terminer me le confirme. Je sais que mon problème sera de maintenir les watt dans les parties descendantes car en plus le revêtement n'est pas très bon. Je visais dans mon canapé comme puissance cible (la puissance à essayer de maintenir) 350w, révisée à 320w suite aux 2 premières étapes qui ont fait mal aux jambes, re-révisé à 350w au bout de 30s de course car finalement ça va pas plutôt bien. Au final j'ai fait 319w de moyenne, avec le sentiment d'avoir souvent été à plus de 350. Le relâchement dans la descente bosselée a du être important (il faut que je prenne le temps de regarder les données, mais c'est certain, je ne sais pas forcer quand ça secoue trop*). Le classement est bon, je voulais entrer dans les 10. Mais l’écart avec le premier (Jean-Luc P, le vice champion de France, derrière Pierre) reste énorme. Je me console en voyant que les 3 gars devant moi sont accessibles (1s/km à gagner, reco = meilleure gestion = +5w, plus un vrai casque CLM ?)...
21/05/2015 19:16
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Lignes 88-90 ajoutées:
(:photo FP01.jpg:)
Lignes 169-171 supprimées:
(:photo FP01.jpg:)
21/05/2015 19:14
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Ligne 169 modifiée:
Franck, lors de son échappée (crédit photo : http://teamcycliste-chatelguyon.xoo.it/t505-Les-Routes-du-Bourbonnais-15-16-17-mai-2015.htm?start=15#p4779|Team cycliste Chatelguyon) en:
Franck, lors de son échappée (crédit photo : Team cycliste Chatelguyon) 21/05/2015 19:14
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Lignes 167-169 ajoutées:
(:photo FP01.jpg:)
21/05/2015 18:49
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Lignes 335-346 ajoutées:
Olivier D — 21 mai 2015, 18:49 — http://teamcycliste-chatelguyon.xoo.it/index.php20/05/2015 08:24
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Ligne 170 modifiée:
A ce propos, celui du bonheur des cyclistes, une petite anecdote personnelle pour terminer : Cela se passe au cours d'une descente lors de la dernière étape des Routes du Bourbonnais. Je suis en plein cœur d'un peloton qui file à vive allure à travers la campagne. Sur le bord de la route, les habitants d'un hameau applaudissent à notre passage. Il y a des parents et leurs enfants. Et tout autour de moi, la ruche vibrante et multicolore des coureurs, parmi lesquels j'observe les maillots à damier très distinctifs d'un club local, dont le design a été volontairement calqué sur celui de la glorieuse équipe Peugeot de la fin des années 70, début des années 80... Bernard Thevenet, Michel Laurent, Gilbert Duclos-Lassalle... Et soudain, je retrouve l'enfant de 10 ans que j'étais, celui qui regardait assidûment le Tour de France à la télé tous les étés chez ses grand-parents et rêvait plus tard d'y participer (et même, avouons-le, de le gagner !)... et voilà qu'avec ce beau peloton, ces motos ouvreuses, ces ardoisiers qui nous renseignent sur les écarts, ces voitures suiveuses, ces quelques spectateurs qui nous encouragent et surtout, donc, ces maillots à damier, j'ai l'impression d'y être enfin. J'ai 45 balais bien tassés et je concrétise un peu mes rêves de gosses. Les larmes qui montent aux yeux, bouffée de bonheur furtif... en:
A ce propos, celui du bonheur des cyclistes, une petite anecdote personnelle pour terminer : Cela se passe au cours d'une descente lors de la dernière étape des Routes du Bourbonnais. Je suis en plein cœur d'un peloton qui file à vive allure à travers la campagne. Sur le bord de la route, les habitants d'un hameau applaudissent à notre passage. Il y a des parents et leurs enfants. Et tout autour de moi, la ruche vibrante et multicolore des coureurs, parmi lesquels j'observe les maillots à damier très distinctifs d'un club local, dont le design a été volontairement calqué sur celui de la glorieuse équipe Peugeot de la fin des années 70, début des années 80... Bernard Thevenet, Michel Laurent, Gilbert Duclos-Lassalle... Et soudain, je retrouve l'enfant de 10 ans que j'étais, celui qui regardait assidûment le Tour de France à la télé tous les étés chez ses grand-parents et rêvait plus tard d'y participer (et même, avouons-le, de le gagner !)... et voilà qu'avec ce beau peloton, ces motos ouvreuses, ces ardoisiers qui nous renseignent sur les écarts, ces voitures suiveuses, ces quelques spectateurs qui nous encouragent et surtout, donc, ces maillots à damier, j'ai l'impression d'y être enfin. J'ai 45 balais bien tassés et je concrétise un peu mes rêves de gosses. Et d'un coup, la chair de poule, les larmes qui montent aux yeux, bouffée de bonheur furtif... 19/05/2015 23:09
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Ligne 170 modifiée:
A ce propos, celui du bonheur des cyclistes, une petite anecdote personnelle pour terminer : Cela se passe au cours d'une descente lors de la dernière étape des Routes du Bourbonnais. Je suis en plein cœur d'un peloton qui file à vive allure à travers la campagne. Sur le bord de la route, les habitants d'un hameau applaudissent à notre passage. Il y a des parents et leurs enfants. Et tout autour de moi, la ruche vibrante et multicolore des coureurs, parmi lesquels j'observe les maillots à damier très distinctifs d'un club local, dont le design a été volontairement calqué sur celui de la glorieuse équipe Peugeot de la fin des années 70, début des années 80... Bernard Thevenet, Michel Laurent, Jean-Pierre Danguillaume... Et soudain, je retrouve l'enfant de 10 ans que j'étais, celui qui regardait assidûment le Tour de France à la télé tous les étés chez ses grand-parents et rêvait plus tard d'y participer (et même, avouons-le, de le gagner !)... et voilà qu'avec ce beau peloton, ces motos ouvreuses, ces ardoisiers qui nous renseignent sur les écarts, ces voitures suiveuses, ces quelques spectateurs qui nous encouragent et surtout, donc, ces maillots à damier, j'ai l'impression d'y être enfin. J'ai 45 balais bien tassés et je concrétise un peu mes rêves de gosses. Les larmes qui montent aux yeux, bouffée de bonheur furtif... en:
A ce propos, celui du bonheur des cyclistes, une petite anecdote personnelle pour terminer : Cela se passe au cours d'une descente lors de la dernière étape des Routes du Bourbonnais. Je suis en plein cœur d'un peloton qui file à vive allure à travers la campagne. Sur le bord de la route, les habitants d'un hameau applaudissent à notre passage. Il y a des parents et leurs enfants. Et tout autour de moi, la ruche vibrante et multicolore des coureurs, parmi lesquels j'observe les maillots à damier très distinctifs d'un club local, dont le design a été volontairement calqué sur celui de la glorieuse équipe Peugeot de la fin des années 70, début des années 80... Bernard Thevenet, Michel Laurent, Gilbert Duclos-Lassalle... Et soudain, je retrouve l'enfant de 10 ans que j'étais, celui qui regardait assidûment le Tour de France à la télé tous les étés chez ses grand-parents et rêvait plus tard d'y participer (et même, avouons-le, de le gagner !)... et voilà qu'avec ce beau peloton, ces motos ouvreuses, ces ardoisiers qui nous renseignent sur les écarts, ces voitures suiveuses, ces quelques spectateurs qui nous encouragent et surtout, donc, ces maillots à damier, j'ai l'impression d'y être enfin. J'ai 45 balais bien tassés et je concrétise un peu mes rêves de gosses. Les larmes qui montent aux yeux, bouffée de bonheur furtif... 19/05/2015 22:29
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Lignes 170-171 modifiées:
A ce propos, celui du bonheur des cyclistes, une petite anecdote personnelle pour terminer : ça se passe au cours d'une descente lors de la dernière étape. Je suis dans le peloton qui file à vive allure. Sur le bord de la route, les habitants d'un hameau avec des parents et des enfants qui applaudissent à notre passage. Autour de moi, la ruche multicolore des coureurs, parmi lesquels j'observe les maillots à damier très distinctifs d'une équipe, dont le design a été volontairement calqué sur ceux de la glorieuse équipe Peugeot de la fin des années 70, début des années 80... Et soudain, je retrouve l'enfant de 10 ans que j'étais, celui qui regardait assidûment le Tour de France tous les étés chez ses grand-parents et rêvait plus tard d'y participer (et même, avouons-le, de le gagner !)... et voilà qu'avec ce beau peloton, ces motos ouvreuses, ces ardoisiers qui nous renseignent sur les écarts, ces voitures suiveuses, ces quelques spectateurs qui nous encouragent et surtout, donc, ces maillots à damiers, j'ai l'impression d'y être enfin. J'ai 45 balais bien tassés et je concrétise un peu mes rêves de gosses. Plaisir intense, les larmes qui montent soudainement aux yeux, bouffée de bonheur total.
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A ce propos, celui du bonheur des cyclistes, une petite anecdote personnelle pour terminer : Cela se passe au cours d'une descente lors de la dernière étape des Routes du Bourbonnais. Je suis en plein cœur d'un peloton qui file à vive allure à travers la campagne. Sur le bord de la route, les habitants d'un hameau applaudissent à notre passage. Il y a des parents et leurs enfants. Et tout autour de moi, la ruche vibrante et multicolore des coureurs, parmi lesquels j'observe les maillots à damier très distinctifs d'un club local, dont le design a été volontairement calqué sur celui de la glorieuse équipe Peugeot de la fin des années 70, début des années 80... Bernard Thevenet, Michel Laurent, Jean-Pierre Danguillaume... Et soudain, je retrouve l'enfant de 10 ans que j'étais, celui qui regardait assidûment le Tour de France à la télé tous les étés chez ses grand-parents et rêvait plus tard d'y participer (et même, avouons-le, de le gagner !)... et voilà qu'avec ce beau peloton, ces motos ouvreuses, ces ardoisiers qui nous renseignent sur les écarts, ces voitures suiveuses, ces quelques spectateurs qui nous encouragent et surtout, donc, ces maillots à damier, j'ai l'impression d'y être enfin. J'ai 45 balais bien tassés et je concrétise un peu mes rêves de gosses. Les larmes qui montent aux yeux, bouffée de bonheur furtif...
19/05/2015 22:15
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Ligne 36 modifiée:
(A venir) en:
(A venir) je suis un peu largué, je bouche le trou des que possible 19/05/2015 22:11
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Ligne 161 modifiée:
Une ou deux tentatives de sortie rapidement avortées avant que Patrick prenne la poudre d'escampette en compagnie de deux grosses cylindrées. Leur trio prend rapidement du champ (1'00, puis 1'40 annoncées par l'ardoisier en moto) si bien que je me borne à rester en tête de peloton, dans la roue du maillot jaune, pour contrôler les éventuels fuyards supplémentaires. Cela n'empêchera toutefois pas un groupe de 5 coureurs à sortir après 20 km et a finalement rejoindre le groupe de Patrick pour finir à 8. en:
Une ou deux tentatives de sortie rapidement avortées avant que Patrick prenne la poudre d'escampette en compagnie de deux grosses cylindrées. Leur trio prend rapidement du champ (1'00, puis 1'40 annoncées par l'ardoisier en moto) si bien que je me borne à rester en tête de peloton pour contrôler les éventuels volontaires à la fuite en avant. Cela n'empêchera toutefois pas un groupe de 5 coureurs de sortir après une vingtaine de kilomètres et a finalement rejoindre le groupe de Patrick pour finir à 8. Lignes 163-165 modifiées:
Plus les kilomètres s'accumulent et plus j'acquiers la certitude que Patrick va faire un truc et l'emporter.
en:
Plus les kilomètres s'accumulent et plus j'acquiers la certitude que Patrick va faire un truc.
19/05/2015 22:08
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Lignes 79-81 modifiées:
A peine 3 kilomètres plus tard, alors que je m'évertue à remonter dans le peloton pour éviter toute déconvenue, je m'aperçois que ma roue avant est presque à plat, crevaison lente. Pas le choix, faut s'arrêter et attendre la voiture d'une autre équipe qui a pris l'une de nos paire de roues dans son coffre.
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A peine 3 kilomètres plus tard, alors que je m'évertue à remonter dans le peloton pour éviter toute déconvenue, je m'aperçois que ma roue avant est presque à plat, crevaison lente. Pas le choix, faut s'arrêter et attendre la voiture d'une autre équipe qui a emporté l'une de nos paires de roues.
Lignes 85-86 modifiées:
Les minutes s'égrènent et j'en arrive à me demander ce que je fous-là, à me dire que j'aurais mieux fait de rester à la maison plutôt que de faire 3 heures de bagnole pour ça, et à regretter de ne pas avoir mon appareil photo avec moi pour réaliser quelques clichés du joli paysage environnant. Dans les derniers kilomètres, je finis tout de même par rattraper puis laisser derrière moi deux autres coureurs lâchés, mais ça n'est même pas une consolation.
en:
Les minutes s'égrènent et j'en arrive à me demander ce que je fous-là, à me dire que j'aurais mieux fait de rester à la maison plutôt que de faire 3 heures de bagnole pour ça, et à regretter de ne pas avoir mon appareil photo sur moi pour réaliser quelques clichés du joli paysage environnant. Dans les derniers kilomètres, je finis tout de même par rattraper puis laisser derrière moi deux autres coureurs lâchés, mais ça n'est même pas une consolation.
19/05/2015 22:03
par -
Ligne 42 modifiée:
Plutôt bien dans la course malgré quelques moments plus délicats où il a fallu serrer les dents pour tenir dans le paquet qui se réduisait au fil des difficultés, je me fais surprendre dans la bosse finale (que nous n'avions hélas pas reconnu... en fait, nous n'avions reconnu que les 3 derniers kilomètres de l'étape alors que la vraie difficulté se situait juste avant, ce que nous ignorions...) un peu longue pour moi. en:
Plutôt bien dans la course malgré quelques moments plus délicats où il a fallu serrer les dents pour tenir dans le paquet qui se réduisait au fil des difficultés, je me fais surprendre dans la bosse finale (que nous n'avions hélas pas reconnu... en fait, nous n'avions reconnu que les 3 derniers kilomètres de l'étape alors que la vraie difficulté se situait juste avant, ce que nous ignorions...) un peu trop longue pour moi. 19/05/2015 21:57
par - 19/05/2015 21:20
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Lignes 160-168 modifiées:
Un peu requinqué par le relatif bon chrono de la veille, j'espère réaliser une bonne dernière étape mais ne veut pas tenter quelque chose trop tôt compte-tenu de la longueur de cette ultime épreuve qui fait un peu peur à tout le monde avec la fatigue accumulée depuis le vendredi.
en:
Un peu requinqué par le relatif bon chrono de la veille, j'espère réaliser une dernière étape correcte malgré la fatigue accumulée depuis le vendredi.
19/05/2015 19:21
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Ligne 32 modifiée:
Une étape faite d'une succession de bosses et autres coups de cul comme le seront toutes celles de cette édition 2015 des RDB. Après un écrémage successif au fil des kilomètres, il ne reste plus qu'une petite cinquantaine de coureurs à l'amorce de la dernière bosse du jour où l'étape se joue. Patrick tient le rythme des meilleurs et se classe 14ème tandis que Franck cède à 4 km de l'arrivée et perds 1'15 sur le peloton. en:
Une étape faite d'une succession de bosses et autres coups de cul comme le seront toutes celles de cette édition 2015 des RDB. Après un écrémage successif au fil des kilomètres, il ne reste plus qu'une petite cinquantaine de coureurs à l'amorce de la dernière bosse du jour où l'étape se joue. Patrick tient le rythme des meilleurs et se classe 14ème tandis que Franck cède à 4 km de l'arrivée et perd 1'15 sur le peloton. 19/05/2015 18:08
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(:title Sur les Routes du Bourbonnais:) en:
(:photo Bandeau.jpeg taille=700 lien=visu:) Ligne 7 modifiée:
(:photo Bandeau.jpeg taille=700 lien=visu:) en:
19/05/2015 18:07
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Lignes 7-8 ajoutées:
(:photo Bandeau.jpeg taille=700 lien=visu:) Lignes 12-16 ajoutées:
Le contexte général : TVS espérait présenter une équipe d'au moins 5 coureurs et un directeur sportif pour cette 7ème édition des Routes du Bourbonnais mais les contraintes familiales des uns et la malchance des autres (la vilaine fracture d'Alain 15 jours seulement avec la course) ont contraint les verts et blancs à revoir leurs ambitions à la baisse avec la seule présence de Patrick et Franck et l'absence (qui s’avérera préjudiciable) d'une véritable voiture suiveuse. Une équipe minimaliste, donc, que cela n'aura toutefois pas empêcher de briller. Lignes 22-27 supprimées:
Le contexte général : TVS espérait présenter une équipe d'au moins 5 coureurs et un directeur sportif pour cette 7ème édition des Routes du Bourbonnais mais les contraintes familiales des uns et la malchance des autres (la vilaine fracture d'Alain 15 jours seulement avec la course) ont contraint les verts et blancs à revoir leurs ambitions à la baisse avec la seule présence de Patrick et Franck et l'absence (qui s’avérera préjudiciable) d'une véritable voiture suiveuse. Une équipe minimaliste, donc, que cela n'aura toutefois pas empêcher de briller. Lignes 174-175 ajoutées:
(:photo Peugeot02.jpeg taille=350 lien=visu:) 19/05/2015 17:44
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Ligne 171 modifiée:
A ce propos, celui du bonheur des cyclistes, une petite anecdote personnelle pour terminer : ça se passe au cours d'une descente lors de la dernière étape. Je suis dans le peloton qui file à vive allure. Sur le bord de la route, les habitants d'un hameau avec des parents et des enfants qui applaudissent à notre passage. Autour de moi, la ruche multicolore des coureurs, dont les maillots à damier très distinctifs d'une équipe, dont le design a été volontairement calqué sur ceux de la glorieuse équipe Peugeot de la fin des années 70, début des années 80... Et soudain, je retrouve l'enfant de 10 ans que j'étais, celui qui regardait assidûment le Tour de France tous les étés chez ses grand-parents et rêvait plus tard d'y participer (et même, avouons-le, de le gagner !)... et voilà qu'avec ce beau peloton, ces motos ouvreuses, ces ardoisiers qui nous renseignent sur les écarts, ces voitures suiveuses, ces quelques spectateurs qui nous encouragent et surtout, donc, ces maillots à damiers, j'ai l'impression d'y être enfin. J'ai 45 balais bien tassés et je concrétise un peu mes rêves de gosses. Plaisir intense, les larmes qui montent soudainement aux yeux, bouffée de bonheur total. en:
A ce propos, celui du bonheur des cyclistes, une petite anecdote personnelle pour terminer : ça se passe au cours d'une descente lors de la dernière étape. Je suis dans le peloton qui file à vive allure. Sur le bord de la route, les habitants d'un hameau avec des parents et des enfants qui applaudissent à notre passage. Autour de moi, la ruche multicolore des coureurs, parmi lesquels j'observe les maillots à damier très distinctifs d'une équipe, dont le design a été volontairement calqué sur ceux de la glorieuse équipe Peugeot de la fin des années 70, début des années 80... Et soudain, je retrouve l'enfant de 10 ans que j'étais, celui qui regardait assidûment le Tour de France tous les étés chez ses grand-parents et rêvait plus tard d'y participer (et même, avouons-le, de le gagner !)... et voilà qu'avec ce beau peloton, ces motos ouvreuses, ces ardoisiers qui nous renseignent sur les écarts, ces voitures suiveuses, ces quelques spectateurs qui nous encouragent et surtout, donc, ces maillots à damiers, j'ai l'impression d'y être enfin. J'ai 45 balais bien tassés et je concrétise un peu mes rêves de gosses. Plaisir intense, les larmes qui montent soudainement aux yeux, bouffée de bonheur total. 19/05/2015 14:49
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Lignes 142-143 modifiées:
3ème étape : Souvigny-Souvigny, 99 km, 1110m de D+ en:
4ème étape : Souvigny-Souvigny, 99 km, 1110m de D+ Ligne 194 supprimée:
Lignes 231-232 supprimées:
Ligne 233 modifiée:
Pierre — 17 mai 2015, 21:02en:
Manu — 18 mai 2015, 10:01Lignes 235-238 modifiées:
4ème étape:
Superbe victoire de Patrick (quel devin ce Benoît!), on a hâte de lire vos exploits. en:
Félicitations à vous deux, très belle course! Et pour une fois, Patrick ne tire pas la langue sur la ligne d'arrivée! Ligne 241 modifiée:
Pierre — 17 mai 2015, 21:02en:
Alain — 18 mai 2015, 10:02Lignes 243-245 modifiées:
Général:
en:
Superbe victoire de notre Patrick national, qui m'a donné les frissons hier en fin d'am en lisant les résultats. Cela me donne encore + de regrets de ne pas avoir pu courir avec les copains :-(
Lignes 247-248 modifiées:
(:photo img0022.png taille=800;lien=visu:) en:
Ligne 250 modifiée:
Manu — 18 mai 2015, 10:01en:
Franck P — 18 mai 2015, 11:36Lignes 252-253 modifiées:
Félicitations à vous deux, très belle course! Et pour une fois, Patrick ne tire pas la langue sur la ligne d'arrivée! en:
Non Alain, au mieux j'aurais fini dans les 30. Eh oui, ton collègue Olivier Dumont est non seulement très sympa mais c'est aussi un super coureur qui aurait pu l'emporter au général avec un peu plus de réussite.
Ligne 259 modifiée:
Alain — 18 mai 2015, 10:02en:
VincentP — 18 mai 2015, 11:39Lignes 261-262 modifiées:
Superbe victoire de notre Patrick national, qui m'a donné les frissons hier en fin d'am en lisant les résultats. Cela me donne encore + de regrets de ne pas avoir pu courir avec les copains :-(
en:
Et en plus, si j'en juge à la langue parfaitement rentrée, sans forcer!!! Ligne 267 modifiée:
Franck P — 18 mai 2015, 11:36en:
Patrick — 18 mai 2015, 12:44Lignes 269-270 modifiées:
Non Alain, au mieux j'aurais fini dans les 30. Eh oui, ton collègue Olivier Dumont est non seulement très sympa mais c'est aussi un super coureur qui aurait pu l'emporter au général avec un peu plus de réussite.
en:
Alain, ton copain est très sympa. C'est aussi un coureur remarquable, dont la réputation dans la région n'est plus à faire. On nous l'a décrit (notre compagnon de chambrée, celui qui occupait ton lit...) comme impossible à décrocher et redoutable au sprint. En tout cas on a pu s'en rendre compte il sait courir... C'est aussi le seul coureur à avoir fait les 7 éditions des routes du Bourbonnais.
Ligne 277 modifiée:
VincentP — 18 mai 2015, 11:39en:
Franck P — 18 mai 2015, 13:01Lignes 279-297 modifiées:
Et en plus, si j'en juge à la langue parfaitement rentrée, sans forcer!!! (:nl:)>>messagehead<< Patrick — 18 mai 2015, 12:44(:nl:)>>messagehead<< Franck P — 18 mai 2015, 13:01en:
Ah ben tu vois, ça faisait pas 95 km ! :) Au fait, tu as bien fait de mettre le nouveau maillot pour la dernière étape, c'était mieux pour la photo dans le journal ! 19/05/2015 14:48
par -
Ligne 188 modifiée:
Franck P — 19 mai 2015, 14:41en:
Benoit — 17 mai 2015, 16:43Lignes 190-195 modifiées:
Au fait, Patrick, tu as bien fait de mettre le nouveau maillot pour la dernière étape, c'était mieux pour la photo dans la presse ! en:
Bravo mon Patrick
Lignes 197-305 ajoutées:
VincentP — 17 mai 2015, 19:19Franck C — 17 mai 2015, 19:48Eddy — 17 mai 2015, 20:17Gianni — 17 mai 2015, 21:02Pierre — 17 mai 2015, 21:02Pierre — 17 mai 2015, 21:02(:photo img0022.png taille=800;lien=visu:) Manu — 18 mai 2015, 10:01Alain — 18 mai 2015, 10:02Franck P — 18 mai 2015, 11:36VincentP — 18 mai 2015, 11:39(:nl:)>>messagehead<< Patrick — 18 mai 2015, 12:44(:nl:)>>messagehead<< Franck P — 18 mai 2015, 13:0119/05/2015 14:40
par -
Lignes 41-42 modifiées:
C'est d'abord Patrick qui assure le train du peloton dans cette grimpée, derrière un groupe de 4 échappés, et je ne suis pas loin derrière, bien accroché dans les roues. Mais ça se gâte lorsque des accélérations se produisent dans la deuxième moitié de la côte où je cède ensuite rapidement du terrain pour arriver 1'15 derrière le peloton et plus de 2'00 derrière le vainqueur du jour, un peu déçu par ce coup de moins bien sur le final. en:
C'est d'abord Patrick qui assure le train du peloton dans cette grimpée, derrière un groupe de 4 échappés, et je ne suis pas loin derrière, bien accroché dans les roues. Mais ça se gâte lorsque des accélérations se produisent dans la deuxième moitié de la côte et où je sens le moteur se serrer... Je cède ensuite rapidement du terrain pour arriver 1'15 derrière le peloton et plus de 2'00 derrière le vainqueur du jour, un peu déçu par ce coup de moins bien au moment crucial de la course. Lignes 64-65 modifiées:
Une échappée comptant 5 coureurs se dessine vers le 25ème kilomètre et va jusqu'au bout avec une étape remporté par un Isérois d'adoption (mais originaire de l'Allier), le Rivois Romain Dekaezmaker. Patrick termine à la 5ème place du peloton (12e de l'étape) qui arrive 2'30 derrière les fuyard. Franck, échappé pendant une dizaine de kilomètres en début d'étape est victime d'une crevaison et de l'absence de voiture dédiée pour le ramener. Il parcours les 55 derniers kilomètres seul et perd 20 minutes dans l'affaire. en:
Une échappée comptant 5 coureurs se dessine vers le 25ème kilomètre et va jusqu'au bout avec une étape remporté par un Isérois d'adoption (mais originaire de l'Allier), le Rivois Romain Dekaezmaker. Patrick termine à la 5ème place du peloton (12e de l'étape) qui arrive 2'30 derrière les fuyards. Franck, échappé pendant une dizaine de kilomètres en début d'étape est victime d'une crevaison et de l'absence de voiture dédiée pour le ramener. Il parcourt les 55 derniers kilomètres seul et perd 20 minutes dans l'affaire. Lignes 74-83 modifiées:
La course est annoncée comme difficile avec une succession discontinue de bosses et de descentes, un vrai circuit de montagnes russes ! Les sensations sont bonnes au départ de cette 2ème étape et malgré la déception de la veille, je me sens prêt à faire la course qui démarre pourtant sur un rythme d'enfer lors des premiers kilomètres, très éprouvants pour l'organisme. Je tente une première attaque au bout de 8 km en compagnie d'un costaud du coin mais nous sommes repris 2 km plus loin. Deux kilomètres de plus et, à la faveur d'une descente, je me retrouve à remonter à l'avant du peloton emmené par Patrick. Je profite de l'an pour placer une nouvelle accélération et me retrouve de nouveau échappé, rapidement rejoint par 3 autres coureurs. Nos relais ne sont pas assez appuyés à mon goût et notre escapade ne prend jamais plus de 25 secondes d'avance. Cela dure tout de même 8 km avant que nous nous fassions logiquement rattraper à l'entame d'une bosse. Les efforts fournis au cours de ces 8 kilomètres font que je peine à reprendre le rythme du paquet qui vient d'accélérer. Je raccroche les toutes dernières roues et me fait véritablement la peau pour ne pas me faire éjecter.
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La course est annoncée comme difficile avec une succession discontinue de bosses et de descentes, un vrai parcours de montagnes russes ! Les sensations sont bonnes au départ de cette 2ème étape et malgré la déception de la veille et un départ pied au planché rapidement éprouvant pour les organismes, je me sens prêt à faire la course et à tenter des choses.
Lignes 108-109 modifiées:
TVS a fait honneur à sa réputation de rouleur avec Patrick qui, avec son vélo traditionnel mais très aéro, réussit la performance de se classer 7ème en 12'15, une cinquantaine de secondes derrière le vice-champion national de CLM (derrière Pierre ! en 2014. Pour sa première compétition avec le vélo de CLM, Franck prend la 26ème place en 12'47, après avoir conservé le meilleur temps provisoire pendant une vingtaine de minutes et l'arrivée des cadors. en:
TVS a fait honneur à sa réputation de club de rouleurs avec Patrick qui, avec son vélo traditionnel mais très aéro, réussit la performance de se classer 7ème en 12'15, une cinquantaine de secondes derrière le vice-champion national de CLM (derrière Pierre en 2014 !). Pour sa première compétition avec un vélo de CLM, Franck prend la 26ème place en 12'47, après avoir conservé le meilleur temps provisoire pendant une vingtaine de minutes et l'arrivée des cadors. Lignes 118-120 modifiées:
Tellement démotivé après ma mésaventure du matin, j'hésite même à mettre ma combinaison de chrono, mais une bonne sieste et les encouragements de Patrick suffisent finalement à me remotiver pour tenter quand même de ne pas être trop mauvais sur cet exercice du contre-la-montre. Le circuit est un peu vallonné et en proie à pas mal de vent, favorable sur la première moitié du parcours, défavorable sur sa partie finale. Une reconnaissance à vélo me permet de bien repéré les braquets à utiliser les trajectoires à prendre. Je comprends aussi qu'il va ne surtout pas se laisser griser par la première partie avec vent dans le dos et en garder sous la pédale pour la partie finale où ce sera vraisemblablement très dur d'aller vite si on gère mal son effort.
en:
Tellement démotivé après ma mésaventure du matin, j'hésite même à mettre ma combinaison de chrono, mais une bonne sieste et les encouragements de Patrick suffisent finalement à me remotiver pour tenter quand même de ne pas être trop mauvais sur cet exercice du contre-la-montre. Le circuit est un peu vallonné et en proie à pas mal de vent, favorable sur la première moitié du parcours, défavorable sur sa partie finale. Une reconnaissance à vélo me permet de bien repérer les braquets à utiliser et les trajectoires à prendre. Je comprends aussi qu'il va ne surtout pas falloir se laisser griser par la première partie avec vent dans le dos et en garder sous la pédale pour la partie finale où ce sera vraisemblablement très dur d'aller vite si on gère mal son effort.
Lignes 122-123 modifiées:
Juste le temps de filer à la voiture, accrocher le vélo et suivre Patrick en voiture pour assister à sa très belle course. C'est beau de voir un rouleur à l'oeuvre rouler, jugez plutôt dans la vidéo ci-dessous ! en:
Juste le temps de filer à la voiture, d'accrocher le vélo et de suivre Patrick en voiture pour assister à sa très belle course. C'est beau de voir un rouleur à l'oeuvre, jugez plutôt dans la vidéo ci-dessous ! Lignes 142-143 modifiées:
3ème étape : Noyant-Noyant, 79 km, 1130m de D+ en:
3ème étape : Souvigny-Souvigny, 99 km, 1110m de D+ Lignes 148-149 modifiées:
Patrick s'échappe dès le 5ème kilomètre d'une étape qui en compte 100 ! Il part en compagnie de 2 autres costauds et parcourt 40 km avant d'être rejoint par 5 coureurs partis en contre, dont le futur vainqueur de l'épreuve (Romain Dekaezmaker). L'échappée à 8 arrive avec 2 minutes d'avance sur le peloton et Patrick la joue très fine pour l'emporter au sprint. Derrièe, Franck reste aux avant-postes du peloton pour contrôler ce qui est contrôlable et ne pas risquer de se faire piéger dans une cassure. Il se classe 24ème de l'étape. en:
Patrick s'échappe dès le 5ème kilomètre d'une étape qui en compte 100. Il part en compagnie de deux autres costauds et parcourt 40 km avant d'être rejoint par 5 coureurs partis en contre, dont le futur vainqueur de l'épreuve (Romain Dekaezmaker). L'échappée à 8 arrive avec 2 minutes d'avance sur le peloton et Patrick la joue très fine pour l'emporter au sprint. Derrière, Franck reste aux avant-postes du peloton pour contrôler ce qui est contrôlable et ne pas risquer de se faire piéger dans une cassure. Il se classe 22ème de l'étape. Lignes 159-161 modifiées:
Je me retrouve malgré tout à tenter une sortie dès le 4ème kilomètre mais le peloton ne l'entend pas de cette oreille et revient rapidement sur mes basques. C'est alors qu'un coureur part seul et que je vois Patrick prendre quelques mètres d'avance dans la descente et s'échappé à son tour, rapidement rejoint et relayé par l'un des meilleurs rouleurs du peloton et qui n'est autre que notre compagnon de chambrée, qui a lui aussi un coup à jouer au général. Leur échappée prend rapidement du champ (1'00, puis 1'40 annoncées par l'ardoisier en moto). Je me borne à rester en tête de peloton, dans la roue du maillot jaune qui se retrouve bien esseulé pour rouler sur les échappés, seulement aidé par le maillot bleu (premier des 2ème caté). Je tente bien de partir dans un contre avec le maillot vert, mais ça ne le fait pas car le leader ne nous laisse pas filer. C'est finalement un autre groupe de 5 qui parviendra à sortie après 20 km et a finalement rejoindre les échappés pour finir à 8.
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Je me retrouve malgré tout à sortir sans l'avoir vraiment cherché dès le 4ème kilomètre mais le peloton ne l'entend pas de cette oreille et revient rapidement sur mes basques.
Lignes 166-170 modifiées:
Pour avoir reconnu les 4 dernières bornes, effectuées quasiment en descente, je sais qu'il faudra être placé pour espérer bien figuré au sprint mais, rapidement, les coureurs font un peu n'importe quoi, de nombreux écarts, et plusieurs gros coup de frein m'incitent à ne pas y aller franco pour ne pas de risquer connement la chute. Je prends donc une modeste 14e place du paquet, 22e de l'étape.
Pour conclure, d'énormes remerciements à l'ensemble des organisateurs et bénévoles des RDB. Cette épreuve est magnifique mais hélas menacée par les derniers règlement Ufolep qui ont fait chuté la participation de pratiquement 40% en un an. C'est, quoiqu'il en soit, l'épreuve la mieux organisée de toutes celles auxquelles j'ai pu participer depuis que je suis licencié Ufolep (soit près de 15 ans) avec un niveau relevé, une ambiance extra, une sécurité au top, des parcours superbes, une logistique impressionnante, une accueil des coureurs excellents, bref une épreuve où l'on sent bien que tout a été prévu pour faire le bonheur des cyclistes engagés.
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Pour avoir reconnu les 4 dernières bornes, effectuées quasiment en descente, je sais qu'il faudra être placé pour espérer bien figurer au sprint mais, rapidement, les coureurs font un peu n'importe quoi, de nombreux écarts, et plusieurs gros coups de frein m'incitent à ne pas y aller franco pour ne pas de risquer connement la chute. Je prends donc une modeste 14e place du paquet, 22e de l'étape.
Pour conclure, d'énormes remerciements à l'ensemble des organisateurs et bénévoles de ces Routes du Bourbonnais. Cette épreuve est magnifique mais hélas menacée par les derniers règlements Ufolep qui ont fait chuter la participation de pratiquement 40% en un an. C'est, quoiqu'il en soit, l'épreuve la mieux organisée de toutes celles auxquelles j'ai pu participer depuis que je suis licencié Ufolep (soit près de 15 ans) avec un niveau relevé, une ambiance extra, une sécurité au top, des parcours superbes, une logistique impressionnante, un accueil des coureurs excellent, bref une épreuve où l'on sent bien que tout a été prévu pour faire le bonheur des cyclistes engagés. A ce propos, celui du bonheur des cyclistes, une petite anecdote personnelle pour terminer : ça se passe au cours d'une descente lors de la dernière étape. Je suis dans le peloton qui file à vive allure. Sur le bord de la route, les habitants d'un hameau avec des parents et des enfants qui applaudissent à notre passage. Autour de moi, la ruche multicolore des coureurs, dont les maillots à damier très distinctifs d'une équipe, dont le design a été volontairement calqué sur ceux de la glorieuse équipe Peugeot de la fin des années 70, début des années 80... Et soudain, je retrouve l'enfant de 10 ans que j'étais, celui qui regardait assidûment le Tour de France tous les étés chez ses grand-parents et rêvait plus tard d'y participer (et même, avouons-le, de le gagner !)... et voilà qu'avec ce beau peloton, ces motos ouvreuses, ces ardoisiers qui nous renseignent sur les écarts, ces voitures suiveuses, ces quelques spectateurs qui nous encouragent et surtout, donc, ces maillots à damiers, j'ai l'impression d'y être enfin. J'ai 45 balais bien tassés et je concrétise un peu mes rêves de gosses. Plaisir intense, les larmes qui montent soudainement aux yeux, bouffée de bonheur total. 19/05/2015 13:24
par -
Ligne 162 modifiée:
A l'arrive je retrouve Patrick qui me dit qu'il a gagné. Je suis heureux, pas seulement parce que c'est un coéquipier, mais aussi et surtout parce que c'est un ami et qu'il demeure à mes yeux comme un vrai champion. en:
A l'arrivée je retrouve Patrick qui me dit qu'il a gagné. Je suis heureux, pas seulement parce que c'est un coéquipier, mais aussi et surtout parce que c'est un ami et qu'il demeure à mes yeux comme un vrai champion. Ce fut d'ailleurs un grand plaisir de participer à cette belle aventure en sa compagnie. 19/05/2015 11:29
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Ligne 18 modifiée:
%TVS espérait présenter une équipe d'au moins 5 coureurs et un directeur sportif pour cette 7ème édition des Routes du Bourbonnais mais les contraintes familiales des uns et la malchance des autres (la vilaine fracture d'Alain 15 jours seulement avec la course) ont contraint les verts et blancs à revoir leurs ambitions à la baisse avec la seule présence de Patrick et Franck et l'absence (qui s’avérera préjudiciable) d'une véritable voiture suiveuse. Une équipe minimaliste, donc, que cela n'aura toutefois pas empêcher de briller. en:
TVS espérait présenter une équipe d'au moins 5 coureurs et un directeur sportif pour cette 7ème édition des Routes du Bourbonnais mais les contraintes familiales des uns et la malchance des autres (la vilaine fracture d'Alain 15 jours seulement avec la course) ont contraint les verts et blancs à revoir leurs ambitions à la baisse avec la seule présence de Patrick et Franck et l'absence (qui s’avérera préjudiciable) d'une véritable voiture suiveuse. Une équipe minimaliste, donc, que cela n'aura toutefois pas empêcher de briller. 19/05/2015 11:28
par -
Ligne 74 modifiée:
Les sensations sont bonnes au départ de cette 2ème étape et malgré la déception de la veille, je me sens prêt à faire la course qui démarre pourtant sur un rythme d'enfer lors des premiers kilomètres, très éprouvant pour l'organisme. Je tente une première attaque au bout de 8 km en compagnie d'un costaud du coin mais nous sommes repris 2 km plus loin. Deux kilomètres de plus et, à la faveur d'une descente, je me retrouve à remonter à l'avant du peloton emmené par Patrick. Je profite de l'an pour placer une nouvelle accélération et me retrouve de nouveau échappé, rapidement rejoint par 3 autres coureurs. Nos relais ne sont pas assez appuyés à mon goût et notre escapade ne prend jamais plus de 25 secondes d'avance. Cela dure tout de même 8 km avant que nous nous fassions logiquement rattraper à l'entame d'une bosse. Les efforts fournis au cours de ces 8 kilomètres font que je peine à reprendre le rythme du paquet qui vient d'accélérer. Je raccroche les toutes dernières roues et me fait véritablement la peau pour ne pas me faire éjecter. en:
La course est annoncée comme difficile avec une succession discontinue de bosses et de descentes, un vrai circuit de montagnes russes ! Les sensations sont bonnes au départ de cette 2ème étape et malgré la déception de la veille, je me sens prêt à faire la course qui démarre pourtant sur un rythme d'enfer lors des premiers kilomètres, très éprouvants pour l'organisme. Je tente une première attaque au bout de 8 km en compagnie d'un costaud du coin mais nous sommes repris 2 km plus loin. Deux kilomètres de plus et, à la faveur d'une descente, je me retrouve à remonter à l'avant du peloton emmené par Patrick. Je profite de l'an pour placer une nouvelle accélération et me retrouve de nouveau échappé, rapidement rejoint par 3 autres coureurs. Nos relais ne sont pas assez appuyés à mon goût et notre escapade ne prend jamais plus de 25 secondes d'avance. Cela dure tout de même 8 km avant que nous nous fassions logiquement rattraper à l'entame d'une bosse. Les efforts fournis au cours de ces 8 kilomètres font que je peine à reprendre le rythme du paquet qui vient d'accélérer. Je raccroche les toutes dernières roues et me fait véritablement la peau pour ne pas me faire éjecter. Lignes 133-134 modifiées:
La classement général après la 3e étape en:
Le classement général après la 3e étape Lignes 146-147 modifiées:
Une échappée comptant 5 coureurs se dessine vers le 25ème kilomètre et va jusqu'au bout avec une étape remporté par un Isérois d'adoption (mais originaire de l'Allier), le Rivois Romain Dekaezmaker. Patrick termine à la 5ème place du peloton (12e de l'étape) qui arrive 2'30 derrière les fuyard. Franck, échappé pendant une dizaine de kilomètres en début d'étape est victime d'une crevaison et de l'absence de voiture dédiée pour le ramener. Il parcours les 55 derniers kilomètres seul et perd 20 minutes dans l'affaire. en:
Patrick s'échappe dès le 5ème kilomètre d'une étape qui en compte 100 ! Il part en compagnie de 2 autres costauds et parcourt 40 km avant d'être rejoint par 5 coureurs partis en contre, dont le futur vainqueur de l'épreuve (Romain Dekaezmaker). L'échappée à 8 arrive avec 2 minutes d'avance sur le peloton et Patrick la joue très fine pour l'emporter au sprint. Derrièe, Franck reste aux avant-postes du peloton pour contrôler ce qui est contrôlable et ne pas risquer de se faire piéger dans une cassure. Il se classe 24ème de l'étape. Lignes 156-165 modifiées:
Les sensations sont bonnes au départ de cette 2ème étape et malgré la déception de la veille, je me sens prêt à faire la course qui démarre pourtant sur un rythme d'enfer lors des premiers kilomètres, très éprouvant pour l'organisme. Je tente une première attaque au bout de 8 km en compagnie d'un costaud du coin mais nous sommes repris 2 km plus loin. Deux kilomètres de plus et, à la faveur d'une descente, je me retrouve à remonter à l'avant du peloton emmené par Patrick. Je profite de l'an pour placer une nouvelle accélération et me retrouve de nouveau échappé, rapidement rejoint par 3 autres coureurs. Nos relais ne sont pas assez appuyés à mon goût et notre escapade ne prend jamais plus de 25 secondes d'avance. Cela dure tout de même 8 km avant que nous nous fassions logiquement rattraper à l'entame d'une bosse. Les efforts fournis au cours de ces 8 kilomètres font que je peine à reprendre le rythme du paquet qui vient d'accélérer. Je raccroche les toutes dernières roues et me fait véritablement la peau pour ne pas me faire éjecter.
en:
Un peu requinqué par le relatif bon chrono de la veille, j'espère réaliser une bonne dernière étape mais ne veut pas tenter quelque chose trop tôt compte-tenu de la longueur de cette ultime épreuve qui fait un peu peur à tout le monde avec la fatigue accumulée depuis le vendredi.
Pour conclure, d'énormes remerciements à l'ensemble des organisateurs et bénévoles des RDB. Cette épreuve est magnifique mais hélas menacée par les derniers règlement Ufolep qui ont fait chuté la participation de pratiquement 40% en un an. C'est, quoiqu'il en soit, l'épreuve la mieux organisée de toutes celles auxquelles j'ai pu participer depuis que je suis licencié Ufolep (soit près de 15 ans) avec un niveau relevé, une ambiance extra, une sécurité au top, des parcours superbes, une logistique impressionnante, une accueil des coureurs excellents, bref une épreuve où l'on sent bien que tout a été prévu pour faire le bonheur des cyclistes engagés.
Lignes 170-173 modifiées:
Le classement de la 2ème étape Le classement général après la 2e étape en:
Le classement de la dernière étape Le classement général final Lignes 176-177 modifiées:
(:photo RDB02.png:) en:
(:photo Montagne.png:)
19/05/2015 10:54
par - u
Lignes 1-192 ajoutées:
(:table:)
(:photo 2015-05-16-09h2429.jpg taille=650;lien=visu:)
Le contexte général : %TVS espérait présenter une équipe d'au moins 5 coureurs et un directeur sportif pour cette 7ème édition des Routes du Bourbonnais mais les contraintes familiales des uns et la malchance des autres (la vilaine fracture d'Alain 15 jours seulement avec la course) ont contraint les verts et blancs à revoir leurs ambitions à la baisse avec la seule présence de Patrick et Franck et l'absence (qui s’avérera préjudiciable) d'une véritable voiture suiveuse. Une équipe minimaliste, donc, que cela n'aura toutefois pas empêcher de briller. 1ère étape : Cressanges-Cressanges, 68 km, 820m de D+ (:photo : Profil Cressanges V3.jpeg:) En résumé : Une étape faite d'une succession de bosses et autres coups de cul comme le seront toutes celles de cette édition 2015 des RDB. Après un écrémage successif au fil des kilomètres, il ne reste plus qu'une petite cinquantaine de coureurs à l'amorce de la dernière bosse du jour où l'étape se joue. Patrick tient le rythme des meilleurs et se classe 14ème tandis que Franck cède à 4 km de l'arrivée et perds 1'15 sur le peloton. Les commentaires de Patrick : (A venir) Les commentaires de Franck P : Plutôt bien dans la course malgré quelques moments plus délicats où il a fallu serrer les dents pour tenir dans le paquet qui se réduisait au fil des difficultés, je me fais surprendre dans la bosse finale (que nous n'avions hélas pas reconnu... en fait, nous n'avions reconnu que les 3 derniers kilomètres de l'étape alors que la vraie difficulté se situait juste avant, ce que nous ignorions...) un peu longue pour moi.
Le classement de la 1ère étape (:photo RDB01.png:) 2ème étape : Noyant-Noyant, 79 km, 1130m de D+ (:photo : Profil_noyant-Etape2.jpeg:) En résumé : Une échappée comptant 5 coureurs se dessine vers le 25ème kilomètre et va jusqu'au bout avec une étape remporté par un Isérois d'adoption (mais originaire de l'Allier), le Rivois Romain Dekaezmaker. Patrick termine à la 5ème place du peloton (12e de l'étape) qui arrive 2'30 derrière les fuyard. Franck, échappé pendant une dizaine de kilomètres en début d'étape est victime d'une crevaison et de l'absence de voiture dédiée pour le ramener. Il parcours les 55 derniers kilomètres seul et perd 20 minutes dans l'affaire. Les commentaires de Patrick : (A venir) Les commentaires de Franck P : Les sensations sont bonnes au départ de cette 2ème étape et malgré la déception de la veille, je me sens prêt à faire la course qui démarre pourtant sur un rythme d'enfer lors des premiers kilomètres, très éprouvant pour l'organisme. Je tente une première attaque au bout de 8 km en compagnie d'un costaud du coin mais nous sommes repris 2 km plus loin. Deux kilomètres de plus et, à la faveur d'une descente, je me retrouve à remonter à l'avant du peloton emmené par Patrick. Je profite de l'an pour placer une nouvelle accélération et me retrouve de nouveau échappé, rapidement rejoint par 3 autres coureurs. Nos relais ne sont pas assez appuyés à mon goût et notre escapade ne prend jamais plus de 25 secondes d'avance. Cela dure tout de même 8 km avant que nous nous fassions logiquement rattraper à l'entame d'une bosse. Les efforts fournis au cours de ces 8 kilomètres font que je peine à reprendre le rythme du paquet qui vient d'accélérer. Je raccroche les toutes dernières roues et me fait véritablement la peau pour ne pas me faire éjecter.
Le classement de la 2ème étape Le classement général après la 2e étape (:photo RDB02.png:) 3ème étape : Tronget-Tronget, CLM de 8,5 km, 67m de D+ (:photo : Profil_tronget-Etape3.jpeg:) En résumé : TVS a fait honneur à sa réputation de rouleur avec Patrick qui, avec son vélo traditionnel mais très aéro, réussit la performance de se classer 7ème en 12'15, une cinquantaine de secondes derrière le vice-champion national de CLM (derrière Pierre ! en 2014. Pour sa première compétition avec le vélo de CLM, Franck prend la 26ème place en 12'47, après avoir conservé le meilleur temps provisoire pendant une vingtaine de minutes et l'arrivée des cadors. Les commentaires de Patrick : (A venir) Les commentaires de Franck P : Tellement démotivé après ma mésaventure du matin, j'hésite même à mettre ma combinaison de chrono, mais une bonne sieste et les encouragements de Patrick suffisent finalement à me remotiver pour tenter quand même de ne pas être trop mauvais sur cet exercice du contre-la-montre. Le circuit est un peu vallonné et en proie à pas mal de vent, favorable sur la première moitié du parcours, défavorable sur sa partie finale. Une reconnaissance à vélo me permet de bien repéré les braquets à utiliser les trajectoires à prendre. Je comprends aussi qu'il va ne surtout pas se laisser griser par la première partie avec vent dans le dos et en garder sous la pédale pour la partie finale où ce sera vraisemblablement très dur d'aller vite si on gère mal son effort.
QUELQUES IMAGES DE NOTRE PERIPLE DANS LE BOURBONNAIS :
(:video https://www.youtube.com/watch?v=qNTIQSZRQto taille=800x530:) Le classement du CLM La classement général après la 3e étape 3ème étape : Noyant-Noyant, 79 km, 1130m de D+ (:photo : Profil_souvigny-Etape4.jpeg:) En résumé : Une échappée comptant 5 coureurs se dessine vers le 25ème kilomètre et va jusqu'au bout avec une étape remporté par un Isérois d'adoption (mais originaire de l'Allier), le Rivois Romain Dekaezmaker. Patrick termine à la 5ème place du peloton (12e de l'étape) qui arrive 2'30 derrière les fuyard. Franck, échappé pendant une dizaine de kilomètres en début d'étape est victime d'une crevaison et de l'absence de voiture dédiée pour le ramener. Il parcours les 55 derniers kilomètres seul et perd 20 minutes dans l'affaire. Les commentaires de Patrick : (A venir) Les commentaires de Franck P : Les sensations sont bonnes au départ de cette 2ème étape et malgré la déception de la veille, je me sens prêt à faire la course qui démarre pourtant sur un rythme d'enfer lors des premiers kilomètres, très éprouvant pour l'organisme. Je tente une première attaque au bout de 8 km en compagnie d'un costaud du coin mais nous sommes repris 2 km plus loin. Deux kilomètres de plus et, à la faveur d'une descente, je me retrouve à remonter à l'avant du peloton emmené par Patrick. Je profite de l'an pour placer une nouvelle accélération et me retrouve de nouveau échappé, rapidement rejoint par 3 autres coureurs. Nos relais ne sont pas assez appuyés à mon goût et notre escapade ne prend jamais plus de 25 secondes d'avance. Cela dure tout de même 8 km avant que nous nous fassions logiquement rattraper à l'entame d'une bosse. Les efforts fournis au cours de ces 8 kilomètres font que je peine à reprendre le rythme du paquet qui vient d'accélérer. Je raccroche les toutes dernières roues et me fait véritablement la peau pour ne pas me faire éjecter.
Le classement de la 2ème étape Le classement général après la 2e étape (:photo RDB02.png:)
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